Contrôle et suivi des brassières autogonflantes

Et ne pas oublier de les gonfler de temps en temps (avec un gonfleur, pas avec la bouche ) pour vérifier les éventuelles fuites (en général sur les pliages)
A+ JM

@ecumeur gonflé ou peut-être débutant.... mais la prudence m'a amené à ne pas chercher la polémique (d'autant plus qu'ils étaient périmés)!!!

D'autres avis sur ces textes (virtuels!) ?

La division 240 (240-A.3 et A.4)indique, pour les navires de formation et à ceux proposés à la location, un registre doit notamment indiquer la date et le détail des interventions sur les équipements individuels.
C'est peut-être à cela que le gendarme faisait allusion.

Un ship m'a dit que la date de péremption c'était du flan, qu'on pouvais la dépasser. Ce qui était important c'est que la pastille soit verte.
Qu'est-ce que vous en pensez ?

Le gendarme qui m'a contrôlé, très minutieusement, cette année, s'est contenté de vérifier que les gilets en question étaient bien étiquetés "CE".
Cependant j'ai toujours à bord des brassières classiques 150 N, qui ne servent jamais, mais qui me couvre légalement.

Cet été, j'ai eu la surprise de voir deux de ces systèmes se déclencher tout seuls.
Le premier est une bouée autogonflante. Certes elle "vit" à l'année sur le balcon arrière mais là, elle s'est déclenchée de nuit, au port, alors qu'elle n'avait pris ni pluie ni mer depuis longtemps. Une nuit, 'jai donc été réveiller par un choc : c'était le container de la bouée qui s'éjectait du support sous la pression du gonflage. A l'analyse, le système de déclenchement UML était périmé depuis 1 an.
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Le deuxième est mon gilet "pour invité" qui n'est plus sorti du coffre (parfaitement sec, ventilé et chauffé) depuis l'an dernier. Un soir au mouillage pendant que nous dînions dans le cockpit on a entendu un gros pschhhhhit sous nous fesses. C'était le gilet à pastille de sel qui avait décidé de s'éclater. c'est un "vieux" gilet basique et la cartouche était périmée depuis 4 ans et bien rouillée. Ici, c'est la pastille de sel qui est partie en miettes (sèches) et qui a provoqué le déclenchement.
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Dans les deux cas, le gonflement était efficace et la tenue en pression était excellente. Ces deux machins auraient donc été efficaces s'ils avaient dus servir en conditions réelles.
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Ceci pour dire que, même s'il n'y a pas d'inspection obligatoire, une vérification et un entretien ne font vraiment pas de tort.

Le gendarme qui m'a contrôlé a effectivement vérifié le marquage et la flottabilité à 150N des brassières autogonflantes.
Bien sûr, en dehors de toute contrainte légale la vérification et l'entretien doivent être réalisés sur ces équipements sensibles.
Je trouve dommage d'acheter en plus et de garder à bord des gilets classiques 150N pour être sûr d'être dans la légalité, d'où ma question initiale sur les textes et règlements encadrant l'entretien des brassière autogonflantes.

A lire vos réponses, j'en conclu que pour un plaisancier (hors location) il n'y a pas de contraintes !!
Super, je vais maintenant aller peser les bouteilles (je précise pour les héonautes à l'esprit tordu: de gaz pas de rouge!!!)...

Je n'ai pas acheté les brassières classiques en plus...mais les auto-gonflables en plus (nous sommes deux).
Comme dit plus haut, elles sont peu encombrantes et servent aussi de harnais.
Les classiques restent à bord, en cas de présence d'invités...outre la légalité.