estimation bateau

Si tu n'étais pas un habitué, je dirais 'pub déguisée'.
Regarde sur lbc dans la taille et la qualité du matos, par rapport à votre bateau, cela te donneras une fourchette de prix.

Je pense moi aussi qu'une expertise par quelqu'un de sérieux vous fournira un bonne base de départ concernant un tarif.
Il parait sympa ce bateau.

Je continue mes recherches et comparaisons et je chiffre les travaux à faire pour un éventuel acheteur, mais s'il n'est pas manuel ça va chiffrer dans un chantier! je connais très bien ce bateau et ça me ferais chier de le voir chez un autre... à suivre

Il me faut trouver une solution. Ce bateau est plutot bien né, relativement raide à la toile, on peut porter sa GV haute ( triradial lattée de bonne facture, génois tri aussi) sans qu'il soit ardent excessif jusqu'à 6 Bf mais la barre est un 'camion' du à la non compensation du safran et la stabilité est aléatoire...
Yes, me voila en plein reves!!!!!!!!!!!!!

Ce bateau à l'air superbe.
J'aime bien ce genre de construction amateur (très éclairé).

Puisque tu l'as acheté, peux-tu nous en dire davantage et envoyer des photos ?
Tu parles d'un système de quille hydraulique et de gros échantillonnage.
J'aimerais beaucoup voir ça.
Tu as aussi des photos du bateau posé sur béquilles ?
Où navigueras-tu ?

Vincent

Si tu persistais à vouloir compenser le safran, il y aurait peut-être moyen de créer un axe de rotation incliné différemment ? (Auquel cas il faudrait j'imagine transformer le pivot actuel en glissière pour relever le safran)
...
Comprenne qui a l'esprit aussi tordu que moi :-)

Si le safran ne peut pas être compensé facilement, la meilleur solution est une dérive sabre juste devant.
Elle est en principe au fond du cockpit, sous la barre.
Son action sur l'équilibre du bateau est formidable.
Je parle bien d'une dérive d'équilibrage, assez petite, pas d'un système à double dérive somme sur le Trismus 37.

J'ai navigué plusieurs années dans l'indien sur un Maracuja 42, qui en était équipé.
Sans dérive, barre franche très dure, et bateau difficilement tenable, malgré une barre très longue.
Avec dérive, une vrai plaisir. Toute douce, bateau équilibré et barré par un pilote de barre franche Navico TP 32.

Si l'hélice ne sort pas trop près du safran, et qu'il y a un mètre libre sous la voute, c'est une solution à étudier.
Un profil NACA symétrique en CP époxy va très bien, dans un puits équipé de patins verticaux en ertalon. La dérive s'enfonce et se relève à la main, avec une simple poignée. Bout de blocage en position basse. Goupille traversante en position haute.

Attention à l'échantillonnage de l'avant du puits. Le Maracuja 42 en question a coulé à cause de ça, mais la dérive centrale était complètement relevée, et la dérive arrière descendue.

A la vue du l'aileron complet, tu pourrais simplement tenter d'en augmenter la surface vers l'avant.

Sur cette photo, le bateau fait beaucoup penser au Mopélia IOR dessiné par Charles Chauveau au début des années 70.