Fusibles ou disjoncteurs?

Devant refaire toute le circuit electrique, je me demande si l'installation de disjoncteurs présente un réel avantage sur de bêtes fusibles?
Sur le plan financier il n'y a pas photo, mais sur le plan technique ?
Question incidente : les disjoncteurs CC coutent 2 a 3 fois plus cher que ceux pour l'alternatif... Justifié????

L'équipage
30 mars 2005
30 mars 2005

je vais faire hurler
les pros !!!

C'est pas moi, c'est le précédent proprio qui était.......électricien !!! qui a monté des disjoncteurs bi polaires sur un vrai tableau domestique s'il vous plait, ceux que l'on trouve couramment partout pour le 220 du secteur et qui m'a dit que l'important était l'ampérage.

Ce n'est peut-être pas complètement vrai, mais çà marche et quand çà saute, tu n'as pas à te demander où t'as rangé les fusibles de secours.

Pour le plaisir, sur l'un des circuits, j'avais installé une ampoule un peu plus forte (40 watts) et quand je l'allume avec les autres consommateurs du circuit, je dépasse l'ampérage du disjoncteur et clac. Alors le matos spécifique en DC .......

30 mars 2005

calibration
bonjour
mon avis perso
je dirai fusible sur le courant continu et disjoncteur sur le 220V
avec des disjoncteurs il est difficile de bien calibre les circuits
le choix est plus grand avec des fusibles pour le courant continu
prévoir les modifications futur (disjoncteur on le remplace; fusible on change de calibre)
je ne suis pas un spécialiste en bateau mais je crois qu'il y a aussi les moteurs en CC
prendre des fusibles temporisés
mon installation comporte que des fusibles calibrés au plus juste

voici un lien d'un autre forum sur le même sujet

www.abcelectronique.com[...]d.phtml

30 mars 2005

pascallac
merci du lien, tres bon site ;-)

30 mars 2005

Encore des légendes...
Un fusible, tout comme un disjoncteur fonctionne en intensité, pas en tension.

Temporisation : existent aussi bien pour les fusibles que pour les disjoncteurs.

Choix : le même pour les deux. Simplement, on aura du mal a trouver un disjoncteur en dessous de un ampère... mais qui va utiliser un tel disjoncteur dans un tableau ?

Avantage du disjoncteur par rapport au fusible : on a la protection plus l'interrupteur en un seul morceau !

Les disjoncteurs industriels conviennent parfaitement à un montage CC, le seul inconvéniant est l'aspect nettement moins joli que l'équivalent "marine"...

30 mars 2005

Sur le contre torpilleur
c'est ce que j'ai et j'en suis super content. evidement, ca fait un peu "annees 60' " mais, c;est super efficace.
Le suel defaut, c'est tres cher......

30 mars 2005

Attention de ne pas appliquer
le même raisonnement avec les contacts fixes (interrupteur, relais,...) ou le Continu EST réellement différent en terme de chaleur,... que l'Alternatif.

30 mars 2005

merci Tilikum
donc mon électricien avait raison. En tout cas, çà fonctionne super bien.

30 mars 2005

Fragiles, les disjoncteurs ?
Je vis à bord depuis 1987, 350 jours par an, j'estime donc avoir quelque recul quand à la fiabilité du matériel industriel utilisé en plaisance... je n'ai jamais eu a remplacer le moindre élément de mon tableau !

Allez donc voir les tableaus électriques chez Nauticat, Swann et bien d'autres chantiers réputés.

Ceci dit, chacun a bien le droit d'écrire ce qu'il veut, tant que ce n'est pas dangeureux pour autrui... (amha)

30 mars 2005

voilelec
un copier coller d'un site
Tableau électrique

Le tableau électrique ne concerne que les petites puissances du bord. Il ne doit jamais commuter des courants de plus de 10 ampères pour éviter les échauffements. Tous les gros consommateurs, en particulier le guindeau, auront leur propre commutateur au plus près des batteries. Si vous concevez un tableau neuf, vous avez le choix entre disjoncteurs thermiques et fusibles.
N'hésitez jamais, éliminez les disjoncteurs ! Ils sont chers, plus fragiles, moins fiables et plus lents que les fusibles. Multipliez les fusibles, en séparant les circuits, d'intensité bien adaptée à la charge. Il est impératif d'utiliser des porte-fusibles de qualité, graisser légèrement contacts des fusibles et filetages.
Il faut dimensionner exactement les fusibles au plus près des valeurs normalisées classiques. Les valeurs de 1, 2, 4, 6.3 et très exceptionnellement 10 A (à éviter) suffisent. Conservez des rechanges à bord, dans le tableau chaque valeur dans une boite de film 35 mm étiquetée. Il ne faut pas surdimensionner les fusibles.
Pour les débutants : Un feux de mât par exemple utilise une ampoule 4 watts. P=V*I. Le courant consommé en 12 V sera donc de I= P/V = 4/12= 0.3 A. Dimensionnez au double du nominal, dans ce cas utilisez un fusible de 1 A pour éviter de multiplier les références.
En gros tout ce qui consomme moins de 0.5 A sera protégé par un 1 A.
Il faut parfois utiliser des matériels branchés en permanence, même coupe-batteries coupées. Ce ne doit être que très marginal. Ces exceptions doivent consommer très peu de courant, comme par exemple un récepteur Navtex. Il sera alors alimenté par un fusible dédié, au départ de la batterie, exactement calibré cette fois à deux fois le courant maximal (de quelques dizaines de milliampères). Il faudra toujours préférer un montage comportant ses propres accumulateurs NiMh, chargés sur l'alimentation générale.

voici le lien
www.voilelec.com[...]gie.php

30 mars 2005

Voilelec...
« N'hésitez jamais, éliminez les disjoncteurs ! Ils sont chers, plus fragiles, moins fiables et plus lents que les fusibles. »

Mmmm !
- chers ? oui (pas pour moi c’est gratos…)
- fragile ? pas vraiment mais risques d'oxydation accrue du mécanisme en milieu marin.
- Lent ? Alors la non c’est justement l’avantage d’un disjoncteur par rapport au fusible.
Le fusible déclenche bien moins rapidement que le disjoncteur, ce qui peut être avantageux pour un courant de pointe mais gênant contre la surchauffe.
Et en plus un disjoncteur se ré-arme d'un leger coup de doigt féminin.
Alors que changer un fusible, là....

30 mars 2005

Pareils ou différents ?
Il y a des différences de fonctionnement entre un fusible et un disjoncteur.

Le fusible est thermique (il fond).

Le disjoncteur peut être thermique , mais il peut aussi être magnétique. La partie magnétique ne marchera pas de la même façon en continu ou en alternatif. D'autre part, le pouvoir de coupure (étincelle endommagente) en continu à l'ouverture des contacts n'est pas la même en continu qu'en alternatif.

Les courbes de réponses (vitesse de réaction) sont aussi différentes entre l'un et l'autre.

Mais ... toutes ces différences ont-elles vraiment de l'importance dans notre usage ? Pas sûr ;-)

Aussi on peut bien utiliser l'un ou l'autre. Le résultat sera un peu différent, mais on peut difficilement dire que l'un des deux sera meilleur que l'autre.

Une vraie réponse de Normand, mais qui, je crois, correspond à la réalité des faits.

30 mars 2005

Euh Robert...
""le pouvoir de coupure (étincelle endommagente) en continu à l'ouverture des contacts n'est pas la même en continu qu'en alternatif""

Certes, mais as-tu observé la réalité en 12 ou en 24 volts ? Négligeable !

Les contacteurs industriels CC de forte puissance, (quelques centaines d'ampères) sont équipés de protections à partir de 50 volts

Pour les courbes de réponse, l'avantage de l'industriel c'est que justement, il y a le choix. Pour les fusibles aussi d'ailleurs :-)

30 mars 2005

Classe...
Si vraiment on veut être sûr de son installation, on peut choisir des disjoncteurs de courbe A ou AC. Ceux-ci sont spécialement étudiés pour réagir aux courants continus délivrés par les MAL, sèches-linges et autres plaques à induction dont l'électronique laisse filtrer des harmoniques.
Il faudra aussi choisir l'autre coté du porte-feuille, celui où sont stockés les gros billets....

30 mars 2005

Pas de problème Tilikum ...
on est d'accord ;-) Je voulais juste dire que des différences certaines existent entre fusibles et disjoncteur, mais que cela ne doit pas faire éliminer l'un ou l'autre. Pour le matériel industriel d'accord aussi, c'est toujours préférable (c'est ce que j'ai fait sur mon bateau ;-) ).

P.S.: en pratique, un contact d'ouverture donné pour X ampères en alternatif tiendra environ (de mémoire) la moitié en continu sans endommagement, parce que l'étincelle en alternatif s'auto-éteint au moment du passage par zéro, alors qu'en continu il n'y a pas de passage par zéro, donc elle s'éteint moins vite et est donc plus endommageante pour le contact.

30 mars 2005

avez vous pensé à l'esthétiques
mes connaissance en électricité sont industriel

mais je me renseigne en effectuant des recherches
biensur à chacun d'interprète ce qu'il veut
(voilelec parle des disjoncteurs thermique non des disjoncteurs magneto-thermique utilisé en industrie)

mais il reste la question esthétiques

entre nous un tableau électrique n'est pas jojo
surtout qu'il doit être accessible

j'ais trouvé un inter-disjoncteur (spécial marine)pas trop cher 15€ unipolaire

www.e-t-a.com[...]0_f.pdf

le tarif toujours le même chez pochon la rochelle
www.pochon.com[...]ite.pdf page 13

je vais etudier le prix de mon nouveau tableau

30 mars 2005

Au risque de me répeter
Les disjoncteurs et fusibles protègent les installations et non les appareils (qui eux doivent avoir un fusible interne).
Quand je lis ""les appareils qui consomment 0,5Amps seront protégés par un fusible de 1A""
ça me fait un peu peur.
Les disrupteurs, disjoncteurs, interrupteurs et fusibles au tableau seront taillés en fonction du cablage qui se trouve en aval.Ils sont là uniquement pour éviter un court-circuit et un incendie.
Regardez comment sont conçus vos installations terrestres : vous ne pouvez pas branchez une MAL sur une ligne 10 Amps...et vous ne pouvez pas mettre un fusible ou un thermorupteur 16Amps sur une ligne 10Amps. Respectons ça sur nos bateaux, et curieusement, tout fonctionnera bien mieux.

30 mars 2005

Disjoncteur, etc...
Le sectionneur :

Son nom est connu depuis l’antiquité. Le sectionneur fut consacré par les Romains, qui en firent un vocable utilisé pour scinder leurs troupes en de multiples groupes, appelés manipules et composés d’environ 150 à 200 légionnaires. Les manipules disparurent, mais le terme de sectionneur a été repris par certains scientifiques, vers les années 1850, qui après avoir compris les phénomènes électriques, ont été obligés de donner un nom aux différents appareils utilisés. Le nom de sectionneur fut retenu, car il englobait la totalité de la fonction d’empêcher le passage du courant électrique, sans avoir la fonction noble et valorisante d’analyse et de décision de coupure sous tension dévolue au disjoncteur. Malgré de nombreuses tentatives et initiatives, toutes vouées à l’échec, jamais il ne put supplanter le disjoncteur qui par les connaissances et capacités acquises lors de multiples sessions de contrôle et du fait de ses nombreuses relations hautement placées, dites « bureaux techniques », se permet de servir à deux fonctions essentielles, à savoir la fonction de surveillance magnétique ainsi que celle thermique. C’est donc comme simple auxiliaire de coupure que le sectionneur et toute sa famille (sectionneur- général, sectionneur à pré-coupure, sectionneur simple etc.) coule des jours heureux, nourri continuellement d’un flux constant et régulé d’électrons actifs et est également, privilège rare, logé en tête dans une armoire électrique, bien à l’abri des courants d’air, des poussières et de l’humidité.

Le relais thermique :

Le relais thermique est une espèce rare, dont le biotope est essentiellement localisé dans un environnement métallique, appelé armoire. Sa distance de rayonnement à la recherche de nourriture est nulle. Il ne se déplace pratiquement jamais, sauf très exceptionnellement, du haut vers le bas. On dit qu’il tombe…Il développe des nervures cuivrées qui lui apportent l’énergie sans laquelle il ne peut vaquer à sa fonction principale qui est de contrôler et de régir le fonctionnement d’un appareil consommant de l’énergie électrique. Sa patience est légendaire et il est capable de fermer un œil sur une consommation temporairement plus élevé que celle prescrite. Il est capable de surveiller en même temps, deux ou trois sources d’alimentation et d’analyser l’égalité des quantités de nourriture consommée. Ceci lui confère un statut supérieur et lui vaut une attention toute particulière de son tuteur, lequel lui voue une reconnaissance quasi affective. Il arrive que par suite d’une trop grande charge de travail, il s’échauffe. Il délaisse alors momentanément ses fonctions pour prendre du repos. Très souvent il est lâchement dénoncé par un surveillant nommé « le voyant ». Le regard perçant de l’homme lui permet de déceler une anomalie sous sa petite jupe de plastique transparente et c’est avec des gestes doux et précis, qu’il manipule sa petite rondelle bleue, afin de lui redonner goût à la vie et de reprendre du service. Cette rondelle étant réglable, il est à noter que certains maniaques dont je tairais par pudeur le nom, y passent de longs moments, une petite calculette à la main, sous le fallacieux prétexte de régler au plus juste la dite rondelle.

Le disjoncteur :

Depuis l’antiquité, les hommes ont cherché à canaliser l’énergie électrique naturelle, sans y réussir. Bien avant qu’apparaissent les Phéniciens il y a 35 siècles environ, quelques rares civilisations, particulièrement abouties, avaient su mettre en place un système de captage de l’énergie, par des piquets en bois plantés dans le sol. Entourée de troncs d’arbres, la foudre permettait d’embraser le bûcher improvisé et de fabriquer de façon empirique du charbon de bois. Les vestiges laissés par ces peuplades, ont permis aux Sumériens d’étudier l’énigme suite aux dégâts divers causés par la grande intensité développée. Les Assyriens n’ayant pas mieux résolu le problème, les Grecs reprirent le flambeau. Mais n’ayant su matérialiser, ils passèrent le relais aux Romains. Ceux-ci, ordonnés et méthodiques, commencèrent à nommer la chose : DISJUNGERE.
Ensuite, les théoriciens se mirent à l’œuvre pour réaliser l’objet. Malheureusement, la décadence s’installa rapidement avec l’arrivée des femmes au pouvoir, comme dans toutes les civilisations précédentes et mêmes suivantes comme nous le démontre l’histoire, et rien ne fut concrétisé. Au moyen Age, quelques tentatives ont été observées, mais vite réduites à néant grâce aux efforts obstinés de quelques esprits très éclairés, soutenus par une organisation ; l’inquisition. Il se murmure que les croisades n’ont eu pour but que la recherche du secret de fabrication du disjoncteur. La peste, le choléra, la variole et le rhume, rien n’arrêta la science dans sa quête de la domestication de l’énergie électrique.
La volonté de Louis XIV, dit le roi soleil, celle de Napoléon lui-même, enfin l’acharnement d’Erasme Jules TOUCHEMOLIN, obscur chandelier de l’empereur, fondateur de la confrérie des lampistes, n’y suffit pas.
Vers l’année 1831, un physicien, FARADAY posa les jalons d’un système d’appareil qui permit d’interrompre le flux d’énergie. Cet objet fut appelé disjoncteur par égard pour l’inventeur. Ensuite, après de longues recherches, il a été amélioré et la famille s’est agrandie. Est venu au monde le disjoncteur différentiel, le disjoncteur magnéto-thermique, etc.… Les différentes familles s’étant multipliées, leur nombre est assez conséquent. Ont particulièrement prospéré les familles HAGER, MERLIN-GERIN, LEGRAND. Elles sont parmi les plus connues et réputées pour leur efficacité. Il est à noter que le disjoncteur différentiel, comme son nom l’indique et contrairement aux autres disjoncteurs classiques, détecte un défaut de phase ou une simple fuite de courant, ce qui le qualifie pour être élu parmi l’élite des disjoncteurs. Bon prince, il protège contre les courts-circuits, les surcharges et les courants de fuite. Ceci 24 /24, les jours ouvrables ainsi que les jours fériés et ce, sans supplément ou indemnité compensatrice, ce qui est remarquable de nos jours. Par cousinage, il existe sous la forme élaborée de disjoncteur différentiel de 500 à 10 mA. Le modèle 30 mA est intéressant, car il est capable sans faillir, de surveiller les locaux humides et notamment les salles de bains, sans même être présent sur les lieux. De nos jours, il est devenu indispensable et presque tout à chacun possède, sans le savoir, cet instrument. Certains, visiblement d’avant-garde, en portent en collier, en sautoir, en boucles d’oreilles. On les appelle des disjonctés. Il en existe d’autres, qui les ayant seulement touchés, disjonctent sans arrêt. J’invite, celles et ceux, qui comme moi, aspirent à connaître les bienfaits de la fée électricité, à se munir de ces gri-gri, sans lesquels rien de sérieux ne peut se faire dans ce bas monde…Et comme dit le dicton : avec un disjoncteur chez soi, tout est possible, même l’impossible.

30 mars 2005

Chapeau
J'en reste baba... :-D

30 mars 2005

P.... !
Trois fois que je le relis, et trois fois que je dois essuyer mes lunettes ! :-D

30 mars 2005

Vengeance…

A l’occasion d’un exercice, le prof avait donné 3 sujets au choix.
Le relais thermique, le disjoncteur ou le sectionneur.

J’avais choisi le disjoncteur et j’avais fait une ligne assez succincte là-dessus.

Y m’a mis 1 / 20 pour « l’encre et le papier » et m’a demandé « plus long pour demain ».

L’a pas été déçu et m’a plus jamais rien demandé !!!

30 mars 2005

Inter vs Disjoncteur Différentiel
Petite observation dans les rayons brico :

Une première famille de composants, baptisés "Disjoncteurs différentiels" est en général largement mise en évidence dans les gondolles, avec un prix de vente plutot prohibitif.

Nettement plus discrets, mais 3 à 4 fois moins chers, on trouve la famille des "interrupteurs différentiels"

Hum hum

D'après vous, c'est quoi la différence ?

A ce que j'ai pu comprendre, la seconde famille assure exactement la même fonction de sécurité que la première.
Les interrupteurs seraient plus fragiles (risques de destruction du composant lui même en cas de CC par exemple).

31 mars 2005

Gros sous...
C'est uniquement pour une raison de coût.
L'inter diff (de la bonne valeur) permet de protéger une rangée de disjoncteur.

Je vois mal (du point de vue portefeuille) une installation entièrement en digi diff.
A 50-70 roro la bête...

Encore que chez moi c'est presque comme ça...

01 avr. 2005

differentiel
Non le differentiel fonctionne aussi sans prise de terre... car il mesure simplement si l'intensité de la phase est differente de celle du neutre et ,dans le cas d'un 30MA, elle ne doit pas etre superieure a cette valeur; Si c'est toi qui sert de conducteur vers la terre ou la mer...le différentiel agira avant que tu n'aies de gros ennuis....et ceci sans prise de terre....
DOM

31 mars 2005

differenciel
slt
le diffenciel protege les perssone contre les courant de fuite 10mA ou 30mA 300mA 500mA

le differenciel fonctionne seulement si votre instalation a une mise a la terre (tension &gt50V)

il y a aucune utilisation en 12V ou sans terre ou masse

01 avr. 2005

non desole
bonjour
dom désolé vous avez faux
si le générateur n' est pas relie à la terre le différentiel ne sert à rien

je ne parle pas du réseau d' habitation E.D.F.

je parle de groupe électrogène; transfo; etc production autre que E.D.F.

vous avez raison lorsque vous annonce "il mesure simplement si l' intensité de la phase est différente de celle du neutre "
mais la différence ne peut se faire que pas un retour par la terre ou masse donc si le générateur n' est pas relie à la terre pas de retour
exemple en sécurité électrique soit on installe des différencie soit on installe des transfo d' isolement (transfo non relies a la terre)

dans le cas dans transfo ou générateur isolé (masse terre) vous n' avez aucun danger a touche la phases
le danger seras seulement si vous touche les 2 conducteur donc phase neutre en même temps

maintenant je ne connaît pas votre installation doit' on faire une mise a la masse ou pas il faut voire les réglementation installation marine (je pense)

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