Manoeuvre d'homme a la mer

Bonjour, je debute dans la voile et j'ai un soucis de comprehention avec la manoeuvre d'homme a la mer..
1- est ce le meme enchenement de "manoeuvres" pour recuperer l'homme quelque soit la direction du bateau ou du vent?
2- Y-a t-il un moyen pour faire facilement cette manoeuvre??
merci tous..F.B.

L'équipage
20 juin 2012
20 juin 2012

1 : non.... oui je sais c'est un peu cour mais la 2eme répond

2 : on affale tout, on vérifie qu'il n'y ai pas de boute à l'eau pouvant se prendre dans l'hélice... et on met le moteur

20 juin 201220 juin 2012

Bonsoir,
pas si simple... ça dépend si on est au près ou au portant.
Au près, c'est facile, on largue la perche IOR, ou tout autre moyen de repérage, on vire de bord sans toucher à rien, barre sous le vent, et normalement, on revient à peu près sur la position de l'abruti qui s'est mis à l'eau, et on ajuste pour le récupérer. Au portant, il faut larguer aussi la perche IOR, ou tout autre moyen de repérage, surtout ne pas perdre de vue ledit abruti parce que ça va très vite, même si nos voiliers de croisière marchent à la vitessse du vélo rouillé, tout en affalant les voiles et revenir sur lui au moteur après s'être assuré que rien ne traîne dans l'eau qui puisse se prendre dans l'hélice. Ce sont des manoeuvres que nous avons répétées des dizaines de fois avec le club à toutes les allures, mais par mer maniable. Par mer forte ou de nuit, jamais, donc on ne sait pas comment cela peut se passer ( voir Tabarly ) . Quand même, le mieux, c'est que tous les équipiers sur le pont soient équipés de harnais, longe courte, de manière à ne pas pouvoir tomber à l'eau, et là, le problème est réglé.

20 juin 2012

merci des conseils, mais quand les ecoles nous imposent la manoeuvre, abruti ou pas, faut savoir etre reactif et faire vite (et sans moteur!!!),
un homme qui tombe a l'eau, est un homme qui n'a pas sa place sur le bateau..................(disait Tabarly)

20 juin 2012

Mort d'être tombé à la mer...

22 juin 2012

on vire de bord sans toucher la voile d'avant mais on choque en grand la grand voile plutôt ?

20 juin 201220 juin 2012

Au risque de contredire aegir, il faut mettre un bout à l'eau et faire une boucle autour du naufragé, seul moyen sur de le coincer dans la "nasse"...
Tout cela est explicité très clairement et très pédagogiquement dans un Voiles & Voiliers de l'année passée.

20 juin 2012

bonsoir pour l'avoir vécu il faut avant toute chose jeter à la mer ce que l'on veut mais qui flotte, parebattage, bouée ou même matelas. Ensuite ne pas perdre de vue le naufragé, en ce qui concerne les bouts il ne devrait pas en avoir plus à la mer un homme ou une femme par dessus bord. Ensuite faire 1/2 tour à la voile ou au moteur, se mettre sous le vent de la personne le bateau dérivant plus vite que le naufragé et ensuite faire comme on peut pour le remonter à bord, échelle de bain bout sous les aisselles et bôme comme palan.
Mais comme déjà dit l'important ce n'est pas ce que l'on fait pour l'homme à la mer mais bien d'éviter de tomber.
Gilles
PS : en solo tu es mort à moins de t'appeler F. Artaud.

21 juin 2012

hop ! Gilles tu te contredis là je suis d'accord dans le principe de faire demi-tour comme tu peux (voiles ou moteur) mais te mettre au vent parce que ta (perche, bouée ....) dérivera sous le vent et comme tu le dis si bien le bato dérive plus vite que le naufragé donc si tu veux le rencontrer pour l'embrasser il vaut mieux être à son vent.
Perso comme décrit par Anacharsis faire le tour avec un bout flottant est la meilleure solution si le naufragé n'est pas inconscient.
S'il a en plus pris un coup de bôme et qu'il est inconscient ça complique tout parce le temps est compté. Il faut faire pareil virer du côté du vent.
Il y a une chose que je ne comprend pas quand tu passes le permis bateau on te dit de venir au vent de la victime et quand tu fais de la voile on te dis l'inverse alors que tu as toutes les chances dans ce cas de t'éloigner( fardage, voiles, panique...).

Mettez le harnais c'est un minimum.

Cdlt

21 juin 2012

"PS : en solo tu es mort à moins de t'appeler F. Artaud."

Ben pas toujours, je ne m'appelle pas Florence, et en solo, de nuit, en hiver, PLOUF. Les Glénans qui passent par là 1/4 d'heure plus tard et hop l'incident est clos.

20 juin 2012

C'est bizarre...
Pour moi la première chose à faire absolument c'est d’arrêter le bateau.
Sur un voilier cela veut dire mise à la cape....facile à faire avec seulement une personne sur le pont, à la barre.
Après...c'est une autre histoire.
Mais ça laisse le temps de préparer la manœuvre sans s'éloigner. Et souvent la possibilité de revenir à la nage pour la personne tombé à l'eau.

20 juin 2012

La cape au près, tu reviens sur la personne à l'eau. La cape au portant, tu t'en éloignes. Et le gars à l'eau, il ne rattrappera jamais le bateau par ses propores moyens.

22 juin 2012

la cape au portant c'est comment ?

20 juin 2012

Holof, "barre sous le vent", précise que c'est une barre à roue ou indique que le safran, la pelle doit être à fond dans le sens du foc ou génois, parallèle. Sinon, quelqu'un qui mélange un peu va se tromper.
J'ai appris trois méthode, celle dont Holof parle, excellente au portant et utilisée massivement par les Néo-zélandais, ensuite une autre méthode mixant voile et moteur (en roulant le génois lors du retour, puis la dernière, au moteur seul.
On a essayé les sling line, rescue line, et autres gadget, par mer formée, très difficile, alors qu'en théorie ou par mer belle, ça va... mais je plains le naufragé qui se demande ce que fiche le bateau à tourner en rond pour la troisième fois.
Peut-être qu'on était nul, mais ces manoeuvres avec accessoires, on les a faites des dizaine de fois...

21 juin 2012

Ça dépend des situations...

Si un jour ma belle-mère tombe à l'eau, je hisse le spi. :heu:

21 juin 2012

Ma modeste contribution. En cas d'homme a la mer, larguer l'annexe si on la remorque.

21 juin 2012

en fonction du bateau de l’équipage et de l’électronique a bord nous ne ferons pas les mêmes choses.
car un virement sur un first 21 n'est pas tout a fait la même chose que sur un voilier a gréement ancien.
dans l hypothèse ou le bateau est bien équiper et que l on est plus de deux.
la personne qui donne l alerte homme a la mer lance un objet flottant et pointe du doigt la direction sans jamais faire autre chose car dans 4m de vague sous un bord de largue le temps de faire demi tour tu ne vois plus ni perche ni boue ni l'homme a la mer
le plus prés du chart ploter a l annonce du message homme a la mer appuis sur la fonction MOB du dit chart ploter ou sur opencpn ou sa tablette tactile. et releve le point gps sur un papier.

en fonction du bateau et de l état de la mer ou on affale on vire au moteur ou on vire tout simplement.
car affaler par calme plat sur un petit voilier est très simple mais par 4 metres de creux.......
La encore si il y a du monde a bord la manoeuvre sera plus simple car si au départ vous étiez 3 et qu'il y en a 1 a la mer et que tu ne veux pas que le second lâche le mec a l'eau de vu ça deviens de suite plus rock en roll surtout si il fait nuit.
Perso je préfère revenir au moteur mais la encore si tu dois faire un demi mile dans 4M de creux vent dans le nez .......
Ensuite tu mets ton bateau entre l'homme a la mer et les vagues, ça évitera que ton homme a la mer vienne s’éclater sur la coque pousser par une vague.

Je crois que cette manoeuvre est en fonction de chacun ses compétences le bateau et l'état de la mer.

pour confirmer ce qui a ete dit plus haut gilet et sangle semblent être indispensable dans certaines conditions.

j'ai former ma compagne a faire la manoeuvre seule sans aucune aide car même si nous avons tous une bonne dose d'ego en se disant moi a la mer jamais ..... "je préfères prévenir que guerire"

perso a chaque nouvelle personne a bord je fais un rappel puis systématiquement une simulation avec un parre batage une fois sortie du port en donnant un rôle a chacun. et je montre comment activer la fonction MOB a tout le monde.

souvent cela se fait dans la bonne humeur surtout si c'est calme plat mais il n'est jamais exclus de prendre de bon coup de vents ou orages sévères en soirée et tout le monde s'accorde a dire qu il était malin de perdre une demi heure en début d'aprem
bon vent a tous

21 juin 2012

Procédures de retour sur un homme tombé à la mer:

1)... ne pas tomber à la mer
2)... ne pas tomber à la mer
3)... ne pas tomber à la mer

21 juin 2012

pour pendruig: heu, c'est pas "au vent de la personne" plutot que sous le vent qu'il faut venir ??? c'est comme ca que j ai appris, et puisque le bateau dérive plus vite que le MoB...

enfin, une autre question: on dit tjs de jetter tout ce qui flotte pour aider au marquage. il est meme mentioné plus haut l'annexe.
et pourquoi pas la survie (si facilement accessible/larguable) ??? ca permet de marquer la position, mais surtout si le MoB est conscient il peut facilement atteindre une survie qui dérive moins non?? et ses chances de survie sont alors bien meilleures.

donc on parle jamais de déclancher la survie. des raisons valides???

merci d'avance
en espérant que tout le monde reste a bord ;-)

21 juin 2012

oui tu as raison il faut se mettre au vent afin de protéger la personne. Le bateau fera écran et s'il y a de la mer il cassera les vagues
Gilles

21 juin 2012

si il y a du vent,pas la peine de larguer l’annexe,elle derivera très vite et sera perdu.

21 juin 2012

Garder son sang froid et faire au mieux. VJAC (voir-Juger-Agir-Contrôler)...

21 juin 2012

Garder son sang froid en Manche, en hiver...facile.

21 juin 2012

bon, en fait, aucune methode simple, rapide et ..... qui marche a 100%. De toute facon celui qui a deja perdu un chapeau, un pare-battage ou autre et a essayé de le récupérer par mer assez forte, sait de quoi il parle, à 90% ou plus .... C est perdu !!!! Donc ......
Le mieux c est de ne pas tomber, donc et surtout de ne faire QUE des manoeuvres dont on est capable et de s attacher court ..... Ce que je ne fais jamais d ailleurs, car trop emmerdant de batailler avec tout ca par mer forte. Mais je sais : J AI TORT !!!! Pour les maladies, on se protege, pour la mer, aussi .... Bonne chance a tous !!!!

21 juin 2012

Pour 100non
On ne parle jamais de la survie car rien ne dit que tu vas retrouver le gars et même si tu le retrouves tu as un bateau sans survie et si il arrive un pépin tout le monde y reste. C'est donc la loi de la conservation qui s'applique. Mieux vaut perdre un homme a lamer que faire périr l’équipage en mer surtout si l'homme a la mer est ta belle mère "je dis cela mais j'ai de la chance la mienne est charmante"
bon vent!

21 juin 2012

franckette14 a disparu ?

Juste pour redire, comme sur d'autres fils, que si l'initiateur consultait son cours des Glénans (Bible que tout un chacun DEVRAIT avoir chez lui et à bord) il aurait les réponses à ses questions et pas des avis contradictoires ou variés dont il ne saura lequel mettre en oeuvre le moment venu.

22 juin 2012

ce qui est amusant c'est l'évolution dans le temps du guide des glénans ...
en 1970 on commençait une nav avec un point précis marqué, un top horaire etc ...
dans la dernière édition on arrête à tout prix le bateau (quitte à sacrifier un spi)
ce qui est amusant c'est que cette dernière option était déjà enseignée à l'UCPA il y a trente ans

26 juil. 2012

Vagabond... Comme tu le sais, les maronniers sont malade et celui là est bien mort.
Parmis les administrateurs de L'UCPA, il ya des administrateurs de Glénans.
Le N°2 de l'UCPA est devenu le Délégué Général des Glénans.

Il n'existe actuellement plus aucune compétition entre les deux structures. seulement une collaboration pour des offres de loisir et de formations différentes.

24 juil. 2012

aupileau, ca sent le troll... ca me semble tellement grotesque que je n'y crois pas une seconde !!

sans pages scannées de ta bible de l'époque ce n'est qu'une contribution de plus au maronnier glénans vs ucpa.

24 juil. 2012

Tu as raison Melody dans les Glénant il y a ce qu'il faut faire mais surtout ce qu'il ne faut pas faire comme par exemple sauter sur le démarreur avant d'avoir tout vérifier (écoute dans l'eau)

24 juil. 2012

les glénans disent de sauter sur le démarreur ?? de mieux en mieux !

retroll...

24 juil. 2012

c'est clair...

21 juin 2012

salutatous
si il y a des avis différents (contradictoires ? il ne me semble pas) c'est que le sujet n'a pas de réponse unique
même aux glénans, le débat a été lancé il y a peu et n'est pas vraiment encore refermé même si il y a une manoeuvre officielle
listons d'abord ce qu'il faut faire, on verra pour la manoeuvre ensuite :
- ne pas perdre de vue le HLM et baliser sa position (perche IOR, feux à retournement,...),
- noter sa position GPS,
- éviter qu'un autre équipier ne tombe à l'eau donc port des harnais,
- arêter le bateau,
- ne pas empanner (car c'est une souce de sur-accident),
- ne pas affaler les voiles : au moins la GV car c'est une perte de temps et un voilier est plus stable sous voile que sans voile,
- vérifier qu'il n'y a pas de bouts à l'eau avant de démarrer le moteur.

si l'on est au portant, il n'y a qu'à loffer pour revenir sur lui; si on a le spi, on largue les trois points du spi et le spi s'envole

si on est au près, le plus rapide est de se mettre à la cape instantanément; on analyse la situation, (si on est très proche de lui pas la peine d'engager une manoeuvre alors qu'un lancer de boué avec halin va suffire, peut être)

les américains, encore eux, ont testés toutes la manoeuvres existantes ou pas et ont défini la méthode la plus rapide

c'est la méthode Quickstop, qui est la méthode officielle aux glénans depuis 2 ans, mais qui a quand même des lacunes ...

  • je loffe en démarrant le moteur, (comme je loffe, toutes les voiles sont bordées très serrées),
  • je vire de bord en laissant la voile d'avant à contre,
  • j'abats très vite sans toucher aux voiles et de façon à ce que la voile d'avant reste à contre,
  • je descends sous le vent de l'HLM,
  • j'affale la voile d'avant (comme elle a été gardé à contre, elle tombe naturellement sur le pont),
  • j'ai vérifié qu'il n'y a pas de bout à l'eau, j'empanne et je remonte sur l'homme à la mer au moteur et face au vent, je lance une bouée avec un hâlin

le grand intérêt c'est que c'est la seule que l'on peut faire de nuit, en perdant de vue l'HLM car, en remontant face au vent, on est face au vague et donc , on sait à peu près où se situe l'HLM (tout cela dit avec plein de conditionnels)

l'autre intérêt, c'est que ça va vite, le moteur aide à ne pas louper la manoeuvre, la voile d'avant ne risque pas de blesser quelqu'un par des mouvements intempestifs des écoutes, la GV est bloquée dans l'axe

si on est au portant, on affale devant et on remonte au moteur

mais, ça marche que si l'HLM est conscient, quid quand il est inconscient ? (si il ne l'est pas, je préfère revenir vers lui à la cape courante pour être arréter et avoir le temps de prendre l'HLM sous le vent)

et toutes las variantes sont possibles, si on a un enrouleur devant etc etc ...

mais, avant tout, se rappeler qu'à partir de 5/6 B, les chances de le ramener à bord sont quasiment nulles ...

cordialités maritimes
larent le hareng

21 juin 2012

tout est dit

mais je rajouterai deux choses .
-maintenant tout le monde a un bouton "homme à la mer" sur son gps autant l'utlisé il vous permettera de connaitre le cap pour revenir sur le point de chute .
-deuxieme chose prevenir le Cross et là c'est Wayday ...car personne ne sait dans quel état vous aller recuperé HLM et chaque minute compte ....quitte a annuler l'appel .

et une chose doit etre faite chaque saison pour connaitre la procedure sans hesitation:se mettre à la cape

21 juin 2012

oui effectivement Mayday ...

suite a plusieurs soirées sur la secu les Responsables du Cross d'Etel et la SNSM tous disent la m^me choses Mayday ...car la personne est en danger grave .

il y a peu un équipier est tombé à l'eau dans le port de Groix il a été secouru presque immediatement il n'a pas pu etre reanimé ..

21 juin 2012

Je pense que tu as voulu écrire Mayday, et ce n'est pas approprié à la situation. Le bon appel, c'est Pan Pan.

21 juin 2012

comme yoruk

ne pas tomber!!!!

21 juin 2012

Pas de problème sémantique, c'est effectivement MAYDAY en cas d'homme à la mer. D'ailleurs, dans les appareils ASN, l'homme à la mer est un des choix parmi les 10 proposés (sans compter le "non précisé"). Comme quoi le cours des Glénans n'est pas une Bible!

21 juin 201221 juin 2012

"...mais, avant tout, se rappeler qu'à partir de 5/6 B, les chances de le ramener à bord sont quasiment nulles ..." (larent le hareng)

Je me refuse d'admettre ça! A bord c'est pour le meilleur et pour le pire..

Je m'explique:

Quelqu'un qui "part" sans que la faculté y puisse quoi que soit me met en rage par constat d'impuissance, il me semble pouvoir disposer de plus de contrôle sur les évènements quant à l'HALM.

Quitte à y laisser ma peau ou celle double du bateau (+ sandwich-infusion) car dans le pire des cas nous ne sommes que deux à bord...

S'il est à la surface: Et il y est parce que à mon bord on porte le harnais-gilet, et sauf défaillance de ce dernier car dans ce cas je m'en remets pour la suite au Cross, SNSM, pêcheur dans la zone, providence universelle, crabes nécrophages...

Tout est question de circonstances...

Exemple de scénario:

Je laisse le bateau à la dérive et je me "baque" avec un fil d"Ariane" entre mon harnais et le bateau AU MOMENT où je passe sur LUI, je me solidarise "lâche" et je reviens au bateau avec un ascenseur d'escalade gréé sur le fil d'Ariane. (c'est du matériel prévu à bord avec la chaise à calfat, une batterie de bout et de lampes et au moins un palan six brins...)

Je remonte à bord après l'avoir attaché au bateau, je le hisse s'il en est incapable avec le palan de réserve frappé sur un support adéquat; cadène articulée du fond de cockpit, base de support de filière, point d'écoute si la GV est déjà ferlée (encore une fois question de circonstances)...

S'il est conscient, et parce qu'il n'était pas attaché en dépit de LA CONSIGNE absolue à MON BORD; je lui mets la branlée de sa vie, s'il est inconscient la tentative de réanimation va me demander le reste de mes forces, mais je le tente... La branlée de sa vie s'il revient à lui il l'aura quand j'aurais récupéré...

Je n'ai plus la "niaque" qui m'a permis de le faire en scaphandre de plongée (avec bouteilles) lui & moi dans les brisants pour escalader un brise lame en enrochements et se mettre hors danger, mais je suis encore capable de générer la rage de circonstance...

21 juin 2012

"...mais, avant tout, se rappeler qu'à partir de 5/6 B, les chances de le ramener à bord sont quasiment nulles ..." (larent le hareng)

je partage ce point de vue et donc IMMEDIATEMENT je demande de l'AIDE "Mayday" car à moins d'un miracle je sais que je n'y arriverai pas et donc sa chance c'est l'aide exterieur et chaque seconde compte en la circonstance...il ne faut pas appelé 1/2h apres lorsque l'on se rends compte que c'est foutu car là c'est vraiment cuit ....trop tard

ce qui n'empeche nullement de se battre ,mais un grand pas est fait .

21 juin 2012

et on continue la discussion : hypothese optimiste :vous recupérez le bonhomme ou la bonnefemme.

il ou elle a eu un sacré coup de pot , a vous de ne pas le tuer..

Si vous avez lancé un Mayday on va vous conseiller (tres important) .car on peut faire de sacrés conneries .

-faire parler pour se rendre compte de son état
-laisser la personne se dehabiller ne pas l'aider ,ainsi celà va l'aidé à evacuer son stress ..

s'il n'y arrive pas c'est que hypothermie est elevé , alors il faut l'allonger le couvrir avec votre converture fait pour (conseillé à bord)
- ne jamais frictionner contrairement à ce que l'on pense risque de crise cardiaque .
-pas d'alcool .

et entre temps les secours sont là avec un medecin qui decide et le plus souvent evacu .

pour moi la demande de secours est primordiale ,pour recupérer l'HAM et pour la suite ..

11 juil. 201211 juil. 2012

"Générer la rage..." une capacité très précieuse à soigneusement entretenir... Entièrement d'accord avec toi!!!

21 juin 201221 juin 2012

@CergElAbroz je me vois mal remonter à bord dès que ça remue, trop de risque de se prendre un coup de coque sur la tronche.
Il y a une légère différence entre remonter un mec sur des brisants qui sont fixes et les vagues qui poussent au fesses et remonter sur un bateau avec les vagues qui le remontent dès qu'elles t'ont bousculé sans compter que ton ami que tu vas attacher le temps que toi tu remontes à vide il risque de ne pas apprécier le fait de faire le bouchon contre la coque.

@calypso tu te trompes c'est pas "évacu" ça fait mal, mais "évasan" :mdr:

Quand aux autres HLM ça va pas ça dépend du nombre d'étages :mdr:

21 juin 2012

Dans tous les cas à la voile revenir au pres, ce qui permet de reguler la vitesse et surtout de pouvoir loffer ou abattre (attention en abattant on accelere), sinon demarer le moteur seulement apres s'etre assure que tous les bouts sont a bord, la precipitation peut entrainer d'autrs dangers( empannage a la volee.....)

21 juin 2012

@ okilebo

En plongée comme ailleurs, certains se tuent où d'autres ont passé des moments sublimes.

Les brisants sont fixes justement, pèsent plusieurs tonnes chacun, et ne reculent pas à la vague qui te soulève de plusieurs mètres si vite qu'avec le matos tu reste dessous un moment...; ils les avalent.

Une bouteille 10L 300 bars pèse 22kg, les 2 pony 12L 240 bars en alu pèsent aussi, plus le reste... bref ça fait quelques ânes morts...

Mais on est en pleine spéculation, si, si, si... Je n'essaye pas de visualiser quoi que ce soit depuis mon bureau, l'évaluation se fait en live; le tangible c'est que je refuse la résignation et l'idée de perdre l'HALM.

Il y a aussi que quand on se SAIT seul on ne gaspille pas ses forces à appeler au secours pour se dédouaner du merdier dans lequel on s'est mis.

Et bien sûr le MayDay est la première des choses... si on a une VHF ou la petite fusée rouge vite vite avant de s'y coller.

C'est juste mon avis hein?

22 juin 2012

Ouais tu as raison, je sais ce que c'est le poids des bouteilles c'est d'ailleurs pour ça qu'on appelle ça plongée loisir de nos jours. :mdr:

Mais bon il est rare de voir quelqu'un tomber à à la baille par force 2 à moins de faire comme le pauvre gars à Petit Fort Philippe il y a quelques années qui a voulu pisser un coup la nuit en montant sur le pont comme il avait chargé la mule il s'est vautré et on l'a retrouvé le lendemain matin noyé avec les jambes prises dans la vase. En majorité les gens se vautre à la baille quand ça remue et là ça ne doit pas être facile de remonter. Dans le cas où on a envie de pisser rien n'empêche de le faire dans le cockpit en sécurité et de balancer un coup de flotte de toutes façons il en verra d'autre.
je n'ai pas vu grand monde naviguer avec l'échelle qui traine dans l'eau au cas où.

Cdlt :alavotre:

21 juin 2012

Ce sujet a déjà été largement commenté.
Pour répondre à l'initiateur du fil il faut comprendre que, si l'entainement peut ètre utile, la réalité est très différente de la théorie et de l'entrainement.
C'est donc la maitrise de soi et le bon sens qui feront la différence. Cela va tellement vite et une tète est si petite au milieu des vagues!
D'expérience personnelle marquer immédiatement le point de chûte en balançant la mer tout ce qui peut servir de marque flottante qui peut aussi aider le sujet et noter le point GPS. Dans la foulée au minimum stoper immédiatement le bateau ou si on le peut revenir sur l'axe.
Ensuite organiser la récupération avec les moyens du bord
le plus rapidement possible, et sans achever le sujet, son corps ne pouvant résister à un coup de coque.
Dans tous les cas ne pas agraver la situation.
L'appel aux secours est utile mais, sauf TPS, au grand large le sujet risque d'ètre mort de froid avant qu'ils arrivent.

22 juin 2012

A propos du mayday.

Est ce vraiment la première chose à faire? Dans un premier temps ne vaut il pas mieux faire tout ce qu'on peut pour retrouver et remonter l'HLM?

Puis lancer le MD lorsque après les premières manoeuvres l'HLM a disparu?

22 juin 2012

Pour la petite histoire, racontée par Tabarly lui-même :

Lors du tour du monde en équipage sur EUROMARCHER dans les années... Un homme est tombé à l'eau dans les mers du sud, la nuit... Impossible d'envisager un retour en arrière, et dans ces eaux là, de toute façon, on ne survit pas plus de 5 minutes... L'homme a été miraculeusement repêché par un bateau concurent qui était juste derrière !!!!!!!
Et personne ne s'attachait sur le bateau... à cela il répondait qu'il avait choisi (lui et ses équipiers) de souffrir 5 minutes, plutôt que 50 ans...

Chacun son choix...

Il y a une règle qui me plait bien : S'attacher systématiquement, dès le 1er ris ! et s'y tenir !!!

22 juin 2012

pour moi la nuit ris ou pas ris on s'attache obligatoirement ..la plus part des HLM sont retrouvé avec la braguette ouverte

22 juin 2012

quel manque d'éducation : exposer ses parties une fois tombé à l'eau !

22 juin 2012

une étoile pour laurent le hareng. sinon NE PAS TOMBER.
méthode qui serait la mienne, se jeter sur la barre (j'ai toujours une retenue de bôme au portant d'ailleurs) arrêt buffet sauvage immédiat, enrouler voile d'avant et manœuvrer sous gv, moteur dernier recours sauf si indispensable.
méthode inspirée des test us coast guards à san francisco sur une semaine avec une dizaine de bateaux différents, clapot et vent 5 à 6 comme dab.
meilleure récup par tri corsair, pire un benéjeanneau de 35 pieds manœuvrant mal sous voile, fardage et hauteur de franc bord
moteur en derniers recours pour éviter le suraccident

22 juin 2012

Il y a une règle qui me plait bien : S'attacher quand on veut.

Pour la braguette ouverte aucun risque, je fais comme les pêcheurs aux bancs...dans mes braies.

22 juin 2012

Les hommes ça sait faire plein de choses, mais imaginez un instant que c'est le chef "de bord" qui tombe à l'eau et que sa seconde affolée se mette à hurler paniquée: comment je fais chéri ? et le pauvre qui voit s'éloigner son bateau, ça doit être horrible. Moi j'ai un carton plastifié sur lequel j'ai écrit ce que je dois faire dans un certain ordre: 1) appuyer sur les boutons du GPS pour la localisation. 2) jeter la perche IOR et les bouées. 3) démarrer le moteur. 4) c'est là que ça vient de se gâter en lisant les commentaires pour ce qui concerne les manoeuvres des voiles. Chez nous c'est gilets obligatoires, mais quand même.....

11 juil. 201211 juil. 2012

J'ai imaginé ça. Quand je navigue avec mon amie qui n'est pas pro (très loin de là), j'ai TRES clairement expliqué ceci : si je tombe, son souci c'est pouvoir lire la carte, et de se débrouiller pour aller jusqu'au port le plus proche.

En aucun cas elle doit se mettre en danger pour venir me sauver, je n'avais qu'à pas tomber.

22 juin 2012

la nuit systématiquement attaché et le jour dès le premier ris...
pour la chronologie des choses à faire, je me questionne quand on navigue à 2 (comme beaucoup de couple)
La première chose, arrêter le bateau le plus vite possible, mais après si c'est l'autre qui tombe à l'eau je ne me vois pas descendre à la table à carte appuyer sur mob et lancer un mayday... ça me parait être une perte de temps et je préfère me concentre à essayer de garder le visuel et revenir sur mob
et si c'est moi qui tombe je me demande quelle est l'autonomie de Madame pour venir me chercher...
:tesur:

j adore ce site car en vous lisant ont en apprend beaucoup

nous devrions prendre la mer en mars 2014 et nous avons encore beaucoup a apprendre meme ci nous allons prendre la précaution d avoir avec nous des personnes expérimentée dans les premiers mois merci a vous tous

dom et suzy

ps: existe il un bouquin qui nous aiderait a comprendre le langage marin car trop souvent il y a encore des mots ou des expressions que nous ne comprenons pas

22 juin 2012

"le langage des marins" voiles et voiliers avec DVD

28.4 euro chez accastillage diffusion

merci beaucoup je me renseigne pour le commander

22 juin 2012

Il y a également le guide des GLENANS.

22 juin 2012

Il n'y a que le guide des GLENANS. que tout marin de 7 à 77 ans se devrait de posséder.

22 juin 201222 juin 2012

regardes là:

fr.wikipedia.org[...]aritime

tu scrolles parce qu'au début ce sont les bouquins

23 juin 2012

salutatous
parfaitement d'accord avec jeanlitlewing, le bloqueur de bôme est un top en matière de sécurité; dès que je suis au portant relativement ouvert, j'en met un surtout si il y a de la houle
le bloqueur pemet aussi d'empanner la GV sans emlpanner la bôme et c'est très appréciable, notamment en cas de cocotier sur le spi
cordialités maritimes
larent le hareng

11 juil. 2012

merci laurent ou larent ! :pouce: :reflechi:

23 juin 2012

Il y a une règle qui me plait bien : A mon bord, interdit de tomber à l'eau...!!! :topla: :mdr:

11 juil. 2012

www.pbo.co.uk[...]n-trial

des tests interressants...

11 juil. 2012

... qui se passent de commentaires.
Premier réflexe : loffer en grand sans rien toucher d'autre, pour arrêter le bateau.

12 juil. 2012

Une étoile pour MN31.

Il faut faire ça avec toutes les voiles.
Avec un foc à grand recouvrement aussi.
Y compris sous spinnaker et big boy.
Le bateau va toujours s'arrêter et seulement dériver au fardage des voiles en drapeau (ou à contre si on a franchi le lit du vent ; cape).
Peut-être va-t-il se coucher.
Mais il sera arrêté.

Dans la video proposée, c'est la vitesse qui tue le MOB !

Sous spi et big boy, dans la brise, ça va pas être beau dans les hauts et ça va faire du mouvement dans le gréement.
On peut même démâter.
Mais faut-il choisir entre démâter et noyer un homme ?

12 juil. 2012

Les efforts sont très inférieurs avec un foc à contre que au prés. Avec la voile du temps, aucun problême de virer à la cape.
Par contre si on n'est pas capable de rentrer le spi illico je pense qu' il vaut mieux le larguer comme dit plus haut.
Alain :-/

12 juil. 2012

Sans doute "facile" avec un foc ou tourmentin, mais quid avec un génois a fort recouvrement ? J'avoue j'ai pas encore osé essayer le crash stop sur mon B32 mais j'arrete pas d'y penser...

12 juil. 201212 juil. 2012

Hello,
Ben c'est un des premiers enseignements que j'ai bien intégré... aux Glénans !
Surtout que j'ai toujours navigué ensuite en équipage réduit, par bonheur je n'ai jamais eu à le mettre en pratique, sauf pour "de faux" !

11 juil. 201211 juil. 2012

impressionnant !!! :doc: :doc:

12 juil. 201212 juil. 2012

Impressionnant, oui, et je me suis dit qu'à deux, relever un MOB inconscient... si on a pas pensé à gréer un palan, on n'y arrive pas

12 juil. 2012

une drisse (spi génois, ou encore balancine tangon en fonction du diamètre..) au winch doit aider... et c'est rapide à mettre en oeuvre...
je trouve cette vidéon assez démonstratrice des mauvais gestes possibles, et des bons !
reste toujours le soucis de récupérer sur zone le MOB... et là pas toujours facile de le repérer...

12 juil. 2012

salutatous
je ne sais pas vraiment quel est le but de la vidéo mais il faut prende ça avec beaucoup de recul; surtout qu'à la fin il est dit que la vidéo et le document qui parle des manoeuvres "d'homme à la mer" sont en vente; on dirait du V&V de mauvais niveau
ce qui est sûr et important, c'est d'attirer l'attention sur le fait qu'un équiper qui tombe à l'eau et attaché peut être noyé rien qu'en étant trainé par le bateau, cela est tout à fait vrai
pour le reste, ça sent l'à-peu-près
d'où l'importance d'avoir une longueur de longe suffisamment longue pour te permettre de te déplacer normalement, mais qui doit te conserver la tête hors de l'eau;
sur la vidéo, on voit que la longe est passée sous la filière, ce qui implique que l'équiper est passé sous la filière en tombant; cela peut arriver mais c'est rare; on tombe plus facilement par dessus la filière en étant déséquilibré; mais bon admettons le cas et de toute façon, c'était surtout pour montrer les risques liés à l'entrainement par le bateau
pour le reste, il y a des choses à préciser (mais j'ai peut être pas vraiment compris tous les mots anglais et peut être que l'article cité est plus complet ...)
ce qu'il ne faut surtout pas faire :
- affaler les voiles : perdre du temps à le faire et surtout, un voilier est plus équilibré sous voiles que sans voiles, même si vous vous appuyez au moteur pour ne pas louper la manoeuvre,
- remonter un homme à la mer incinscient par la méthode du palan fonctionne très bien, sauf qu'il faut préciser qu'il ne doit surtout pas être inconscient à cause de l'hypothermie, car, dans ce cas, le soulever à la verticale est le meilleur moyen de l'achever; un HLM inconscient et en hypotermie doit être strictement maintenu à l'horizontale, sinon, le sang froid monte au coeur et le coeur s'arrête (de même, pas de friction, pas d'alimentation, pas de boissons)
- arrêter un bateau : facile, bout-au-vent, voiles choquées, c'est instantané; le mieux étant la cape, puis on voit ce qu'il est utile et intelligent à faire,

pour le reste voir les témoignages plus avant

cordialités maritimes
larent le hareng

12 juil. 2012

re
de plus la dame serait plus efficace si elle tirait verticalement et vers le bas sur le palan en s'aidant en cela de son poids et d'utiliser un vrai palan d'homme à le mer car j'ai l'impression que celui utilisé est un simple jeu de poulies

un HLM de 80kg sec, fait 160kg mouillé ...

de plus, prétendre que le fait de gréer un tangon sur l'écoute de la voile d'avant permet d'arrêter le plus rapidement un bateau, c'est certainement vrai mais à la condition que le tangon soit déjà gréer, manoeuvre qui est prête seulement en cas d'allure voiles en ciseau, foc tangonné ...

je fais une semaine de voile la semaine prochaine et je vais chronométrer le temps que le bateau met pour atteindre la vitesse de 1 nd, par une manoeuvre de mise à la cape, considéré comme safe dans la vidéo

à suivre

cordialités maritimes
larent le hareng

12 juil. 2012

re
en revisonnant la vidéo, on voit que le faux palan d'hlm est mal monté ou du moins, si ils avaient un vrai palan d'hlm (avec bloqueur) ils seraient plus efficace

je m'explique, un vrai palan d'hlm est comme un palan d'écoute de Gv ou de hâle bas de GV, il a un bloqueur

donc il faut gréer le palan "à l'envers", c'est à dire avec le bloqueur en haut; la drisse de spi étant gréer sur la poulie du palan et pas sur le bout libre du palan

donc le winch remonte le palan et l'hlm; l'équipier (la dame de la vidéo en l'occurence) tire elle sur le palan de tout son poids

il y a donc 2 actions simultanées et 2 fois plus efficaces : le palan se raccourcit et le winch souleve l'ensemble

un dessin serait bien plus explicite que tout mon long discours

cordialités maritimes
larent le hareng

12 juil. 201216 juin 2020

essai

12 juil. 2012

Salutatous.

L'hlm est un sujet recurrent et c'est une trés bonne chose !!
Avoir préparé et testé divers équipements et procédures pour approcher et remonter a bord l'hlm est la meilleure des attitudes pour le jour ou.....Perso j'ai trois équipements bien distinct a bord avec des fonctions différentes.

Baliser : la perche ior est trés utile. Chez moi elle est reliée a une bouée couronne par un halin assez court ( 4 a 5 métres). Inutile de mettre des kilométres de bout a l'eau si il faut démarrer le moteur. En plus de signaler la zone, la perche permet de reprendre trés facilement le contact avec l'hlm. Une perche s'attrappe facilement depuis un franc bord un peu haut.

Pour remonter l'hlm a bord j'ai opté pour une ceinture rescue line. Je la frappe sur une drisse de voile d'avant a l'aide d'une poulie ouvrante. Une deuxiéme poulie ouvrante est frappée sur le rail de fargue a la verticale. Ensuite le halin retourne au winch pour hisser. J'ai un doute sur le fait de hisser directement a l'aide d'une drisse sur un winch. Le réa ne travaille pas dans le bon sens et il y a risque de tous coincer. Ou alors il faut utiliser la drisse de gv ou encore la balancine. Comme je préfére garder la gv haute.....Par ailleurs un palan 6 brin adapté fait trés bien l'affaire.

Un feu a retournement relié a un halin d'un vingtaine de métre peu permettre de retrouver le contact avec l'hlm en lui lançant le feu a retournement. Malheureusement pas plus de dix metres si le lanceur est performant. Je garde ce dispositif en cas de mise a la cape rapide qui permette de se placer idéalement par rapport a l'hlm.

Concernant les méthode d'approche, je tenterais la mise a la cape.Si l'hlm est prés, feu a retournement puis haler. Si je suis trop loin pour rétablir le contact j'affale la voile d'avant qui est a contre et je démarre le moteur. Approche face au vent a vitesse réduite. Attention a bien débrayer le moteur a portée de l'hlm. D'ou l'utilité de la perche. Pas besoin de s'approcher trop prés.

Reste le délicat cas de figure de l'hlm inconscient. J'ai déja testé la technique du tourmentin avec succés. Mais cela necéssite une installation rigoureuse qui doit être étudiée avant et testée.

Bon hlm. Si possible pas en situation réelle.

12 juil. 2012

Oui, ce fil a au moins un intérêt, faire réfléchir.
Dès la prochaine sortie, je teste ma petite femme : Pare-bat à l'eau sans prévenir et je ne touche plus à rien jusqu'à sa récupération (J'dois en avoir des vieux tout pourri.
J'imagine déjà les difficultés :
- Liées au type de bateau; il m'arrive assez souvent de lacher le stick de notre tri; il poursuit gentiment. le lof jusqu'à la position bout-au-vent prend des plombes, sans parler de la vitesse inhérente au multi et donc de la distance à parcourir.
- Le virement bout, s'il y a besoin, peut être laborieux si la GV reste trop bordée ou le foc pas assez longtemps à contre.
- L'abattée et l'empannage nécessite un rayon plus grand que sur un mono. Et la aussi la vitesse joue : Du près au vent arrière, on passe par le travers et là, le bateau accèlère dur.
- Aucune chance de maintenir le bateau à l'arrêt; bout au vent, il n'y reste pas; et toutes voiles fasseillantes, il ne connaît pas : La GV porte toujours un peu (Full batten et barre d'écoute un peu courte) et rien que le vent dans le mât fait courrir le bateau.
- Et enfin liées à mon équipière, parfaite à tout point de vue, mais qui ne barre presque jamais, surtout lors des manoeuvres par bon vent.

Conclusion : En avant pour les exercices de MOB. Et si ça le fait pas, ben harnais mais la vidéo montre que l'on se retrouve dans la position du maquerau au bout de la traîne alors bof...

22 juil. 2012

dans les tests a san francisco ils avaient conclu que le tri était le meilleur pour récupérer un mob !

12 juil. 2012

relier le parebat à un seau par un petit bout,
le seau principe se remplit d'eau et leste l'ensemble qui va moins filer dans le vent,
et pour la remontée, ça fait toujours une dizaine de kg à remonter ... rien pour madame par rapport au poids de son skipper préféré ! .... :-D :-D

12 juil. 2012

Merci pour le tuyau (enfin pour le seau).
Pour la remontée à bord, je dois pouvoir m'en sortir si je suis pas esquinté ou déjà noyé. Palan de bastaque facile à saisir pour grimper à l'arrière du flotteur et franc bord ridicule; maintenant en situation de stress, peut être que je n'y arriverai plus

21 juil. 2012

salutatous
j'ai testé le temps pour passer de 5 à 1 nds, par une mise à la cape, il faut 15 secondes ... et la vitesse est nulle presque aussitôt
je ne comprends pas pourquoi dans l'essai de la vidéo, il leur faut tant de temps ...
cordialités maritimes
larent le hareng

21 juil. 201221 juil. 2012

Bonjour,
Le temps mis à stopper l'erre d'un bateau dépend beaucoup de son déplacement... encore faut-il le connaître pour comparer ?
Le bateau de l'essai a mis 30 sec...
:reflechi:

22 juil. 2012

Sauf que cette vidéo me parait un peu source de confusion. Dans ce qui est montré, ce n'est pas une pure manœuvre d'HaM puisque l'équipier est attaché à la ligne de vie via son harnais. C'est plus la fin d'une manœuvre (stop et remonter à bord).
Donc le stop par mise à la cape est très intéressant, mais si c'est HaM sans attache à la ligne de vie, il manque la manœuvre "principale" (la fameuse boucle qui dépend d'où vient le vent) et la suivante : une fois sur place "attraper" l'HaM surtout s'il est inconscient ou faiblement (notamment par hypothermie/fatigue/blessure).

22 juil. 2012

salutatous

MN31, ta remarque n'est pas très sympa, imaginer que j'aurai pu comparé des choses qui n'étaient pas comparables ...

je suis d'accord avec chrysm, cette vidéo est source de grandes confusions voire même a été baclée pour vendre du papier journal

comparer 3 techniques pour arrêter le bateau que sont "mise à la cape", "affalage de voile", "utilisation d'un tangon pour tangonner la voile d'avant face au vent", c'est déjà extrèmement tendancieux

mise à la cape : rien à faire et c'est instantané,
affalage : on perd du temps à affaler, pourquoi ?
tangon : on perd du temps à installer le tangon, pourquoi ?

et pendant tout ce temps perdu, l'HLM boit la tasse ...

codialités maritimes
larent le hareng

22 juil. 2012

Salut larent le hareng,

Je donnais simplement ma réponse à ton interrogation : pourquoi ils auraient mis "tant de temps", je vois pas ce que ça a de "pas sympa" ?

Quitte à encore te paraître "pas sympa", le bonhomme de la video est tombé à l'eau avec son harnais attaché et cet essai a pour but de comparer trois techniques pour le récupérer, comme viking35 l'a compris, comme moi...

:heu:

22 juil. 2012

Je découvre ce fil intéressant.
Le port du harnais n'est malheureusement pas la panacée. En 2011, deux décès peuvent lui être imputer.

17 Juin 2011 : Homme à la mer - 1 mort - Manche au sud-est de l’ile de Wight- Reflex 38 « LION » - vent de force 7 – Dans des circonstances inconnues, le skipper de cet excellent voilier de régate naviguant au près par 35 à 40 nœuds de vent est tombé à l’eau. Muni de son gilet et accroché par son harnais, il a été noyé avant que l’équipage n’arrête le voilier. Le médecin à bord n’a pu le ranimer.-

Pour ma part, je sais qu'en en cas d'homme à la mer, je me précipite sur les touches MOB de Maxsea et du GPS et en course, même si l'on est sous spi, on doit pouvoir être de retour sur la zone de chute en 5 minutes. Pour remonter l'homme à bord, les voiliers de course avec un tableau ouvert sont un avantage certain...

Par ailleurs, il est faux de penser qu'un homme à la mer est un homme mort.

Dans ma zone de navigation, depuis un an, j'ai deux connaissances qui sont passés à l'eau et ont rapidement été récupérés. Sur mon bateau, au cours de leur "carrière", trois de mes copains sont passé à l'eau dont un deux fois avec son harnais.

23 juil. 2012

Ca me choque d'affirmer que deux décès soient imputés au port du harnais.

Je suppose que décédé à cause du harnais signifie que le gars est attaché avec sa longe ?

Donc il était attaché à un mauvais endroit ou la ligne de vie est frappée trop en arrière. Il faut justement que la ligne de vie prenne en compte la longueur de la longe, allongée au max à cause de la forte charge.

Et le barreur qui frappe sa longe sur le pataras ! Malheureusement classique... Autant se passer la longe autour du cou...

Même conscient comment garder la tête hors de l'eau avec la vitesse du bateau ?

Le but du harnais est que le gars n'aille pas dans l'eau.

Donc il ne faut surtout pas dire à cause du harnais, mais malheureusement à cause d'une longe frappée n'importe où.

Le harnais est la seule solution pour éviter le MOB et éviter le pire.

Et je sens comme une fierté de se vanter d'avoir vécu trois hommes à la mer sur ton bateau. Un c'est un accident. C'est un de trop mais peut être que je connaitrais ça aussi moi un jour. Mais trois c'est du n'importe quoi.

24 juil. 2012

OK. Pas vaiment un homme à la mer alors...!

Est-ce que tu peux développer le sencir, pour ma culture générale ? Bateau ? Allure ? Vent ? Voilure ?

Ca m'intéresse de ne pas me retrouver dans la même situation tout simplement...

24 juil. 2012

ha ok, pas bien gros un half toner, pas évident à gérer... la prochaine fois essaye peut être avec un tourmentin et sans trainards. ça doit éviter au bateau de s'écraser après le surf lorsque sa vitesse s'écroule. je dis ça juste comme ça chaque bateau est différent, c'est juste une idée

26 juil. 2012

Ha dire vrai je n'ai aucune expérience personnelle là dessus.

Certains sont peut être capables de se hisser à la force des bras jusqu'au cockpit, mais moi assurément non !!!

Tu passes à l'eau avec ta veste de quart, ton harnais qui se gonfle... mais le bateau file toujours à 8 noeuds...

J'ose pas imaginer la force nécessaire pour remonter. Et le harnais n'arrivera pas à te garder la tête hors de l'eau. Ca marche si tu es statique, pas tracté.

On m'a toujours appris à m'attacher partout sauf là, il y a surement une bonne raison je pense.

23 juil. 2012

Je me suis surement mal exprimé.
J'aurais surement dû être plus précis et écrire: parmi les équipiers avec qui je navigue régulièrement, munis de leur harnais, trois sont passés à l'eau sur différents voiliers. Il s'agit de faits, pas de fierté.

Voici le récit de l'un d'entre eux:
"alors que le lever du jour commence enfin à se lever, une vague plus abrupte et plus haute que les autres nous emmène dans un surf terrible à environ 15 nœuds. Nous la prenons bien en ligne, sans problème apparent ; mais lorsque nous arrivons dans le bas de la pente, nous enfournons dans le creux et nous voyons avec stupeur l’avant du bateau disparaître et l’eau venir jusqu’à nous.

Nous avons sançi, mais le bateau, au lieu de faire la culbute complète, est retombé, a gité à 80° sur tribord et nous a expédié, E... et moi, à l’eau alors que J.R. se tenait à plein bras à la bastaque.

Nos harnais étaient crochés sur le rail de fargue à bâbord, et le bateau, en se redressant brutalement, nous a tirés brutalement vers le haut, nous faisant rentrer dans le domaine de la balistique (Raoul dixit) en nous ramenant dans le cockpit. "

24 juil. 2012

Bateau ? Allure ? Vent ? Voilure ?
Half tonner, 55 noeuds établis, mer croisée de 10 à 15 m, en fuite à sec de toile avec des trainards.

26 juil. 2012

Vagabond, la critique de frapper sa longe au pataras m'étonne un peu. Je pense que les HLM qui se noient tirés par leur longe, le sont parce qu'ils sont contre la coque sous le vent.
J'ai l'impression, mais je peux me tromper, qu'un barreur éjecté en arrière avec sa longe au pataras, pourra assez facilement rejoindre la jupe et même regrimper seul sur le bateau s'il est conscient et indemne bien sûr.

26 juil. 2012

Se baigner à la traine jusqu'à 5 kts est jouable, jusqu'à 7 Kts on peut remonter mais faut pas mettre trop de temps, car la fatigue vient vite

22 juil. 201222 juil. 2012

salutatous

pascal, je suis parfaitement d'accord avec toi concernant tous les points que tu a rappellé
mais quid du cas où l'homme à la mer est inconscient ?

la short handed est très intéressante aussi

de toute façon, je n'aurai pas fait une rallingue ou une cape courante sans m'aider du moteur, l'important étant de récupoérer l'homme à la mer au plus vite

18mois/100 HLM réels sont des chiffre glénans ?

ce qui est sûr c'est que la quickstop a beaucoup de qualités (moteur, GV bordée dans l'axe, voile d'avant affalée) et tout cela un un temps reccord

cordialités maritimes
larent le hareng

23 juil. 201223 juil. 2012

Hello Laurent,

Le travail que nous effectuons est basé sur le fait que dans une très grande majorité de cas, l'homme à la mer est conscient. Nous nous concentrons sur ce cas de figure de façons à ne pas rendre infiniment complexe la procédure standard.

Il n'existe pas de manœuvre standard pour les HLM inconscients. De plus chaque cas pourrait-être différent et les efforts incertains au final. Il reste de la responsabilité du CDB de faire au mieux de ses possibilités dans ce cas en faisant une trajectoire finale "au contact" au lieu de se limiter au cercle de sécurité. D'un point de vue pédagogique, vouloir tout faire et le pire à chaque fois sème la confusion.

Un retour en ralingue n'est pas différent de la Quick Stop puisque c'est la même approche finale. La Quick Stop prends en compte l'ensemble des trajectoires et protège des manœuvres dangereuses pour revenir sous le vent de la victime.

18mois/100 HLM réèls... ce sont des HLM volontaires pour des exercices menées sur un grand nombre de bateaux par petit temps et jusqu'a F6 sous spi avec des creux de 3 mètres.

En moyenne tout est réglé en 1mn 50s. Il reste la remontée à bord à améliorer. Les travaux sont en cours.

23 juil. 2012

ok pascal, merci pour les infos
cordialités maritimes
larent le hareng

23 juil. 2012

Qu'est ce qui prend 1min50s exactement ? La manœuvre complète jusqu'à avoir l'équipier à nouveau à bord ?

23 juil. 2012

Non c'est le temps de retour sur l'HLM. Comme je l'indiquais, il reste la remonté à bord. C'est le plus long et le plus compliqué. c'est sur ce point que nous travaillons actuellement.

23 juil. 2012

ce qui m'ennuie avec la quick stop, c'est mon moteur diesel
préchauffage
ne démarre jamais au quart de tour quand on a besoin de lui
j'essaierai de m'en passer le plus possible.

24 juil. 2012

Le préchauffage (habituellement 20s max) n'est pas un problème mais effectivement, Courriernord, La Quick Stop intègre l'hypothèse que le moteur est fiable, que le démarrage sera effectif dans 99,9% des cas.
La Quick stop est possible sans moteur dans certaines conditions mais elle devient équivalente à beaucoup d'autres méthodes.

26 juil. 2012

Bonjour !
je suis nouveau venu sur le forum, et ai lu avec attention tous les posts ..!
(je me prépare à un grand voyage en équipage réduit, pour 2018)
Je suis surpris de ne voir aucune suggestion concernant les systèmes de localisation gps d'un homme à la mer (dans gilet ou au bras de l'HLM) !
Au delà de la spécificité de chaque cas (allure et vitesse du bateau, conditions mer, température eau, jour nuit, nombre et expérience de l'équipage, distance d'équipes d'équipes d'intervention...), et,
supposant que l'homme à la mer soit conscient (statistique de .. la braguette ouverte),
la plus grande difficulté, une fois l'allure et la vitesse maitrisées, va être de localiser et donc retrouver l'HLM.
Il me semble que l'éléctronique peut aider à sauver une vie pour un coût somme toute ridicule par rapport à l'enjeu !
Avez vous pu tester et évaluer ce type de matériel, qu'en pensez vous ?

26 juil. 201226 juil. 2012

bonjour ,

puisque tu es nouveau tu as une excuse pour l'utilisation de cette fable des HLM avec braguette ouverte, c'est juste une blague de mauvais gout sans aucun texte sérieux ou étude quelconque pour l'appuyer.
les dispositifs électroniques sont fiables, les discussions ont porté sur le % de chance que quelqu'un le porte tout le temps en croisière.
ils permettent aussi de récupérer les corps.
NE PAS TOMBER, donc s'attacher court avec 2 longes

26 juil. 2012

L'électronique peut aider, c'est certain, mais c'est la physiologie qui commande. Le temps compte,qui va en plus majorer la dérive.
Le problème principal reste l'hypothermie qui s'installe rapidement
à défaut de vètement de survie (TPS) qui permet plusieurs jours de survie.
L'autre difficulté importante est le retour à bord en conditions dégradées.
Conclusion incontournable: faire tout pour rester sur le bateau.

26 juil. 2012

Sur mon GPS Traceur il y a une fonction MOB (ou HLM comme on veut ;-) ) qui permet de marquer l'emplacement GPS de la chute afin d'y revenir plus facilement. Si on ne met pas 3h à faire la manoeuvre pour revenir sur l'HLM, il devrait être facile de le retrouver aux environs de cette position. 2 pbs : 1/ dans la panique ne pas oublier d'appuyer sur le bouton 2/ en cas de fort courant, là un dispositif individuel sera préférable.

26 juil. 2012

Ci dessous un lien concernant une récente innovation AIS/GPS primée ...

28 juil. 2012

Salut à tous,

Très instructif, ce fil. Permettez-moi d'y ajouter mon modeste retour d'expérience.

Au début du mois, j'étais en stage aux Glénans. Lors d'une escale, je dérape malencontreusement sur le catway (oui, je sais, on se moque pas...), et me v'là HLM volontaire. Faisait un peu frais, donc je suis full équipé, salopette, veste de quart, bottes, et bien sûr gilet / harnais. Le gilet se gonfle sans problème, et me v'là tranquillement allongé.

L'instructeur me demande si je serais OK pour que l'équipage applique la manœuvre de remontée au palan. J'ai pas froid, tout va bien, j'approuve, ça peut être intéressant.
Je précise qu'il s'agissait d'un stage 1 voile, donc initiation, mais les résultats me semblent quand même parlants :

1 - La durée totale de la manœuvre a été de l'ordre de 12 minutes, sachant qu'on était AU PORT. J'imagine même pas ce que ça aurait donné en mer par temps peu maniable...

2 - Malgré un briefing sécurité exhaustif en début de stage, explications vraiment détaillées, les équipiers, quand ils ont entendu parler de palan, s'obstinaient à vouloir essayer de démonter celui de la GV...

3 - Je pèse 97 kg à vide ;o) L'équipier qui m'a remonté en pesait 120 et n'était pas manchot. Malgré le palan, je peux vous assurer qu'il transpirait bien fort en fin de manoeuvre. Donc, pour ceux qui pensent qu'on peut s'en tirer avec une drisse de spi et un winch, même pas en rêve... D'autant que l'instructeur avait en plus passé une aussière sous mes pieds pour soulager un peu et me poser bien à plat sur le roof.

Mon post étant déjà assez long, je ne parlerai pas de la journée dédiée à la manoeuvre HLM par temps maniable et mer pratiquement plate, mais je peux développer si vous le souhaitez.

Moralité : On peut en causer des heures, mais quand ça arrive, c'est plus tout à fait pareil...

Bon vent à tous.

28 juil. 2012

Comme disait Tabarly, un homme qui tombe à la mer ne mérite pas d'être sur un bateau. Donc inutile de le récupérer.

28 juil. 2012

Peut-être pour compléter l'info d'Eric, dans le n° d'aout 2012 de V&V, Secumar propose un gilet gonflable avec balise AIS incorporée. 600 € tout de même avec la balise, 500 € sans.

Si tout fonctionne correctement, ça laisse le temps à l'équipage de préparer le bateau à la récupération du MOB sans stress (pas trop quand même...). Le mieux reste de faire en sorte de n'avoir pas à tester en conditions réelles.

16 sept. 201216 sept. 2012

Dans le dernier V&V, un témoignage intéressant à lire en entier... Une presque synthèse de ce qui s'est dit sur ce fil...

Les Eclaireurs près d'Ushuaia, Argentine.

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