Matériel de survie

A la demande unanime et pressante (de Yves), voici un fil qui pourrait faire un article une fois le bidon rempli...

;-)

Je vous propose comme axes de recherche les rubriques :

-froid (couverture isothermiques, combinaisons néoprène ou survie,...)
-soif ( bidons flottants, dessalinisateur à main,...)
-faim (ligne de pêche,fusil harpon, conserves, deshydraté,...)
-noyade (engins flottants,bib,...)
-confort (sacs à pipicaca,lampes,jeux,crèmes pour la peau,médicaments, ...)
-alerte (feux,miroir,vhf,tph,balises,...)
-navigation (carte,gps,...)

...

Je pense que c'est typiquement le genre de sujet qui sera d'autant plus riche qu'il y a de nombreuses mains dans la pâte.

:scie:

L'équipage
07 juin 2006
07 juin 2006

ça c'est un sujet...
qu'est pas bidon :-D

07 juin 2006

on commence par l'électronique
GSM (ou mieux iridium), VHF, GPS et playstation 3.

07 juin 2006

Avant le contenu, le contenant ....
Ben oui, sac étanche ou bidon ?

Perso, j'ai opté pour le sac étanche car:
- facilité de rangement dans le coffre
- grande sangle qui permet de le porter presque comme un sac à dos
- sac étanche permettant de créer une poche d'air donc flotte
- moins de place perdue
- par contre plus fragile que le bidon

J'ai éliminé le bidon car:
- plus dur à stocker
- si on doit abandonner le bateau, on le jette à l'eau et on le regarde partir ?

Mais c'est un choix perso, et je serais bien curieux de savoir ce qu'en pense celui qui a choisi un bidon :-)

Dernier avis perso: même en cotière un sac ou bidon de survie devrait être à bord ....

07 juin 2006

sac et bidon
moi, c'est un sac à dos étanche (c'est italien, c'est exposé au salon nautique, ça se vend à la boutique en face d la librairie "Le Yacht" à Paris, avenue de la grande armée, 30 à 40 roro, le miens est rouge vif)) et un de ces gros bidon avec couvercle rouge, sanglé pour ne pas le perdre.
Dès la prochaine sortie je les rangerai (article V&V oblige) dans le compartiment de la survie accessible lorsque le cata est retourné.

Pour l'eau complémentaire c'est le classique bidon (2) de 20 lites rempli au 9/10ème et marqué avec des chutes de bande réfléchissante solas. Il est dans coffre qui est sous l'eau si on est retourné, faudrait le larguer avant ou plonger (mais il est très accessible). Il faudrait sans doute équiper ces bidons d'un long bout flottant.

sur une des photos qui accompagnait un article on voyait le bidon de survie à la tête de couchette du skipper.

Freja, j'ai des doute sur la poche à air, ces sacs ne sont pas assez étanche, la poche se vide en qq heures. Il faudrait plutot tester qu'avec son contenu elle reste flottante

Yves.

07 juin 2006

le couteau à libérer les survies
La survie est bien sur dotée d'un couteau pour trancher la sangle (12m) terminée par le percuteur et qu'on utilise pour amarrer le temps d'embarquer (on embarque sans se jeter à l'eau, sec dans la mesure du possible).
Trois remarques :
- regarder au salon nautique l'emplacement exact du couteau (coincé entre des boudins à l'intérieur et repéré mais pas toujours lisible la nuit)
- A ma très grande surprise le couteau coupe (par l'intérieur de sa lame recourbée) comme je l'ai vérifié au déballage lors de la révision. Celui du muscadet de ma jeunesse ne coupait pas le beurre, même l'été.
- la liaison entre la sangle et la survie est juste une ganse non terminée et emballée dans un adhésif gris argenté. C'est réputé lacher tout seul sous le poids du bateau qui vient de couler (si ! c'est le règlement)

Conclusion : un couteau suplémentaire dans un endroit connu et marqué en tant que tel dans la checklist d'évacuation.

Yves

07 juin 2006

la scie à métaux...c'est pour quoi faire ?
quant à la flottabilité du bidon, rien de plus facile à tester...

07 juin 2006

Ca flotte !
J'ai testé, surement pas des heures, mais ça flotte.

Dans mon idée, j'évacue avec le sac dans le dos, donc la poche d'air sert à ce que le sac ne me fasse pas couler (ce serait bête)

Le sac sert aussi en cas de retournement si le bateau a pris l'eau et que plus rien ne marche, ce n'est pas réservé aux catas, mais c'est vrai que le dernier drame incite à la reflexion.

A la lecture des interventions, si le sac équipe le bateau actuellement, il est certainement probable qu'un bidon équipé plus en conséquence vienne completer l'inventaire pour le départ.

J'avais installé le même couteau que Hollywood (photo plus bas) au pied de mat pour couper les sangles du radeau (ou autre bout récalcitrant), mais il a rouillé en même pas 4 mois ..... :-(

07 juin 2006

Le poids
J'ai les deux : un bidon + un sac étanche

Dans le bidon la pyrotechnie, lampes et scie à métaux et dans le sac : vhf, sextant...

Reste que je trouve le bidon excessiement lourd, je ne suis pas sur qu'il flotte vu son poids.

Pour les sac à dos étanches, je crois qu'il y en a chez décathlon pour pas rop cher.

07 juin 2006

Remplace la
cisaille à hauban.

Sur que je vais tester la flotabilité mais ça me parait quand m^me bien lourd.

07 juin 2006

Sac ou bidon ?
Le sac peut-il être vraiment étanche si dans l'eau ?

Je pense qu'il faut toujours diviser pour régner et ne pas tout perdre (si on perd) ... Donc bidon pour les "fragiles au choc et à l'eau " (électronique, pyrotechnique, etc ...) et sac pour d'autres choses moins fragiles et qui supportent l'écrasement.

Evidemment le bidon (tout comme le sac) a un bout fin de 10m à attacher au bateau avant de le jeter à l'eau ;-) Le miens est clipsé sous la table à carte, facile d'accès, pas gênant.

07 juin 2006

private joke ...
c'était le sens de mon "diviser pour régner" :-D

07 juin 2006

diviser pour régner
Robert, pousserai-tu le principe jusqu'à répartir dans le sac et dans le bidon de manière à minimiser les effets négatifs de la perte de l'un
On pense bien sur aux piles de rechange, réparties dans l'un et l'autre mais quid du GPS et de la VHF. Et les indispensables, une copie dans chacun ?

yves.

07 juin 200616 juin 2020

j'ai opté pour le bidon
c'est vrai que ça prend de la place mais il ne gène pas tant que ça et sers même de siège !
le couvercle est assuré au bidon par une garcette et un bout avec un mousqueton est frappé sur le pataras. En cas d'abandon du navire on accroche le mousqueton sur un harnais ou sur le bib déployé, bref pas question de le regarder partir.
C'est fou ce que l'on met la-dedans, j'en ai un 2ème dans lequel je met les fusées périmées, des bouteilles de flotte et des biscuits de toutes sortes.

07 juin 2006

électronique
GSM au cas ou et VHF portable et même si pas vraiment électronique le compas de relèvement pour le compas.
-ensuite le froid
une boite avec pharmacie donc couvertures iso ainsi que combinaison si j'ai le temps de l'enfiler.
-la faim et soif
un pack d'eau toujours en réserve
ligne de pêche
-alerte
lampe et boite pyro règlementaire (+ la vieille mais faut pas le dire) ;-)
bien sûr le bib qui va bien et du temps pour charger tout ça

07 juin 2006

j'ai oublié le couteau qui va bien
le couteau qui va bien pour couper l'amarre du bib car le couteau intégré au bib il couperait pas un bout de fromage.
et le livre de bord

07 juin 200616 juin 2020

le couteau est fixé sur la barre en permanence
ya tellement de sauvages en méd..!

07 juin 2006

les règles ORC
disent:

1.vhf portable + batteries rechange
2.torche portable avec batteries et ampoule de rechange
3. deux fusées parachute et trois feux à main, + quelques cyalume
4. gps portable étanche
5. balise SART
6. couvertures de survie
7. ancre flottante pour bib
8. deux ouvre boites de securité
9. balise Epirb
10. kit premier secours
11. eau
12. miroir pour signaux
13. nourriture énergetique
14. ficelle nylon, sac plastique
15. tablettes mal de mer

cela doit etre vu ensemble avec ce qui est demandé pour le radeau:

  1. 30m ligne flottante
  2. écope et couteau de securité
  3. deux éponges
  4. ancre flottante
  5. deux rames
  6. kit réparation
  7. pompe à air
  8. torche electrique
  9. trois feux à main
  10. six tablettes mal de mer pour chaque personne
  11. instructions de survie

c'est déjà un bon debut -.&lt)

07 juin 2006

selon Spinelli
Spinelli, le gars qui s'était arrangé pour dériver de manière volontaire 3 semaines entre bandol et la corse et qui en a tiré un bouquin (Loisir Nautique l'offrait à ses réabonnés) suggère :
- un sac étanche souple pour emporter les 14 kg à 16kg du merdier qui suit [je ne fais que recopier]

  • un déssal manuel (c'est le hic, c'est plus de 1000 roro)
  • des bidons d'eau, externes [j'y met de la bande solas]
  • lampe frontale étanche [celle dont le caoutchouc se détend avec l'age ?]
  • piles et ampoules de rechange selon inventaire
  • assortiment de bout (environ 30m panachés en 3, 6 et 12 mm et des élastiques)
  • matériel de pêche réaliste et pratique (et appas en conserve ajoute-t-il)
  • kit de réparation de voile (aiguille, fils, adhésifs, colle en battonnet à fondre en chauffant au briquet ou à la bougie)
  • un ou quelques briquets, allumettes (sac étanche) et bougies
  • fil laiton et acier inox (qq mètre en 1 ou 1,5)
  • un petit fusil harpon [ça je l'ai et les gamins le range jamais dans le bidon ou il ne tient pas d'ailleurs ;-) ] avec sandow de rechange et fil plus long.
  • couteau et pierre à aiguiser
  • paire de gants (de manutention) pour la pêche
  • barres ou biscuits énergétiques, qui ne doivent pas donner soif ni nécessiter d'eau (lyophilisé à proscrire)
  • une boite de pharmacie et quelques médicaments à large spectre selon ordonnance du médecin, selon zone et selon équipage; complétée avec sutures, garrots [eh, moi je ne fais que recopier], antispetiques, bandes, pansements compresses stériles (j'ajouterai des comprimés mal de mer en grosse quantité, ça remue très durement là dedans et c'est pas le moment de perdre son eau]
  • assortiement de sac poubelles, pour ranger les vêtements, tailler des vêtement de pluie, flotteur de fortune [cf Les Glenan], obstruer une fuite
  • montre à aiguille avec dateur
  • 2 paires de lunettes (lecture, soleil) et/ou loupe (lire la carte ou le manuel de survie)
  • savon marin liquide
  • un petit grapin parapluie (à l'approche d'une côte dangereuse), [en réutilisant sans doute les 12m de tresse du percuteur ?]
  • quelques cartes marines et matériel pour faire le point, carnet, stylos, crayons, pointes sèches et règle crass. compas de relèvement. tables de déclinaisons solaire et de passage au méridien [== qq pages de l'almanach du marin breton], éventuellement sextant plastique, il ajoute une calculette solaire.
  • un VHF et un GPS (étanche ou en sac étanche, piles de rechange)
  • divers : couverture de survie, flash light à éclats, au moins 2 fusées parachutes, 2 miroir de signalisation en plastique incassable, un morceau de CP pour faire office de plan de coupe, une paire de jumelles étanches, un siflet, un gros émerillon (si pas déjà sur l'ancre flottante)
  • un presse-ail ([resser le poisson ? casser les apats ?]
  • une liste de tout le matos avec date de péremption dans le sac et une autre collée sur le sac
  • sac scellé pour détecter à temps les emprunts abusifs

Il suggère un possible deuxième sac de vêtements chauds jeté là plutot qu'à la poubelle.

Il suggère une utilisation étonnante et convaincante du préservatif pour réparer un trou dans le boudin de la survie et palier ainsi à l'indigence du kit de réparation prévu par le règlement (indigence confirmé par le réviseur de La Rochelle)

J'ajouterai (recommandation du gars de LR) des éponges réellement absorbantes si la survie est dotée de chute de matelas mousse.

Yves.

07 juin 2006

Spinelli, le Six-Fournais
un livre instructif à plusieurs égards, notamment sur le comportement des "marins" devant un naufragé, parfois exemplaire, souvent écoeurant voire outre-limite de la piraterie.
:-(

Quant au dessal manuel, j'ai eu le mien pour 120€ sur e-bay, état neuf, testé, 1l5 en 1h (en discontinu)

:-)

Pour l'arbalète, je crois me souvenir qu'il n'a rien pu prendre avec (?)
Il insistait sur le problème du froid et des irritations cutanées.
J'ai adopté les combi néoprènes pour mettre dans le sac n°2
J'ajoute l'annexe comme sac n°3 pour passer en survie dynamique s'il n'y a pas eu d'alerte-secours et quand la météo et la distance à la côte le permet.

07 juin 2006

Spinelli suite
Gatsby, super ton déssal à 150 roro, c'est le tout petit ou le moyen ?

Les combi c'est le bon truc mais ça fait cher pour tout l'équipage (1000 roro la combi, je crois). Bon, y a un truc qui sauve : c'est très extensible et ça s'adaptera à un peu tout le monde (le gars de 1,60m / 70kg puis moi-même avec un quintal dans 1,85 avont utilisé la même combi, très acceptable).

Je ne crois pas trop à l'idée d'avoir simultanément une statique et une dynamique en opération. La dynamique en sac c'est au bas mot 40 kg et la taille d'un équipier, ça risque d'être dur à embarquer puis stocker et la décision de passer de l'une à l'autre ....

Pour la survie dynamique, fait donc quelques essais en effaçant les poches anti-dérive de la statique (système à trouver), en gréant une "voile" et un "safran"

07 juin 2006

surtout, ne pas oublier...
Surtout, ne pas oublier...le pot de nutella :mdr:

Je dit, ça sur le ton de la deconne, mais j'ai déjà vu un equipier faire ça un jour de simultion d'avacuation en moins de 2 minutes, et après coup je m'etait dit que c'etait pas idiot. (aller jetter un coup d'oeil sur la valeur energetique du nutella, vous allez prendre peur ;-) )

07 juin 2006

bouffe et boisson
très bien le Nutella, compact et ne craint pas l'eau, à ce propos je préconise surtout les galettes et biscuits emballés de façon hermétique et en petites portions, ce qui est le cas maintenant de beaucoup de produits très connus, genre LU, petits écoliers, cockies,etc...
ajouter des fruits secs (abricots, dattes,..).
Le mieux est certainement d'ajouter ce qui plait aux futurs naufragés, cela leur remontera le moral le moment venu.
quant aux boissons, je me dis qu'en Méd, je ne vais pas passer plus de 24 h dans la mouise (je suis d'un naturel optimiste) donc quelques bouteilles de flotte me paraissent suffisantes et pas de dessalinisateur coûteux en particulier.
En revanche quelques mignonettes de pastis et une bouteille de rosé sont les bienvenues mais je sens que je vais m'attirer des violentes critiques sur ce dernier point. En tout cas n'ommetez surtout pas le tire-bouchon dans cette configuration (encore que Nicolas propose des petites récoltes avec bouchons à dévisser bien pratiques).

07 juin 2006

A propos de dessal manuel,
je me suis toujours demandé (sous le soleil tropical) quel serait le rapport entre ce qu'on est capable de produire comme quantité d'eau, et ce qu'on doit transpirer à faire marcher la chose… :reflechi:

_/)

07 juin 2006

dessal manuel, rendement positif : oui
Oui, selon Spinelli (moi je pratique pas) la vanne célèbre n'est pas fondée, du moins en med.

Aux antilles, si j'ai pas de tente, en 30mn c'est second degré (ça j'ai pratiqué sur la main droite, y a encore des vestiges), j'imagine que ces températures doivent impacter le rendement du pompeur, par contre avec de l'eau plus chaude le rendement du déssal est meilleur.

Le patron de Hydrotechnique (qui en vend au mili, mais je ne sais si c'est une référence raisonnée) dit que le modèle PUR juste au dessus du modèle de base apparait plus maniable, le basic est pénible à manier, même si plus compact.

yves.

07 juin 2006

checklist d'embarquement
En général on a un double de la plupart des équipements du bord (crayon, règle crass mais aussi souvent gps mobile en plus du fixe, vhf mobile en plus de la fixe, pyrotechnie périmée ou pas, ...)

On peut alors décider de stocker les doublons dans le bidon/sac de survie, qui du coup est prêt à l'avance.

Il peut arriver que certains équipements ne soient pas doublés bien que très utile à bord de la survie.

Ils doivent donc être explicitement mentionnés dans la checklist de survie (scotchée sur le bidon-sac, affichée près de la TàC ?).

en pratique on constate qu'on oublie beaucoup de chose lors de l'embarquement, cette checklist est indispensable.

On y rappelerra d'embarquer :
- tous les équipiers chaudement vêtus avec ciré, cialum dans tous les cirés (bottes sans doute pas) et gilets (les classiques ou les auto-gonflables, j'arrive pas à décider), chacun doté de sa flash-ligh, sa frontale et sa lampe de poche perso
- la balise 406
- la pyrothechnie officielle du bord (au moins)
- la pharmacie personalisée du bord + rab de nautamine
- le gsm de chaque équipier (sac étanches pour tous, sacs poubelles dans les cirés)
- les papiers d'identité, les cartes bancaires
- le LdB et la carte marine du coin, des crayons (rafler le contenu de la TàC)
- le GPS et la VHF mobile (si pas en permanence dans le bidon)
- et de larguer les bisons d'eau de manière utile
- rafler la bouffe utile (à préciser)
- rafler les éponges de la cuisine
- p..ain, qu'est ce que j'oublie ?
- de lancer un dernier appel VHF avant de partir

Le skipper du bord reste skipper.

Je n'ai pas de religion sur les avirons du canot, y a les jouets de plage de la survie (c'est bien pour ça que j'y penses d'ailleurs)

se souvenir que dans un classe II il y a au moins deux sacs vides solidarisé au bateau, pour y mettre ce qu'on veut.

Yves.

07 juin 2006

Dans le radeau de survie,
il y a un truc dont on ne parle jamais et que j'ai découvert en percutant il y a 2 ans (euh,juste pour essayer,hein), c'est un livret qui contient tout un tas de chose dont une planisphère avec les principaux courants, des cartes à jouer à découper, des prières à réciter en cas de perte d'un équipier, un mini traité de psychologie sur la manière de garder le moral en se racontant des histoires,etc... (de mémoire)

:-|

07 juin 2006

survie à la mode de Tetouan
Freja, vérifie tout de même que la halva ne donne pas soif !
Dans le même ordre d'idée y a la beurre de cacaouète de nos amis de l'autre coté de la flaque, on sent les calories percoler directement dans les cuisses.

quelqu'un a cité les fruits secs (figue, dattes, raisins, abricot, ...), pas mal non plus si ça n'assèche pas.

Yves.
PS : j'ai gouté, et l'équipage à été prié de gouter, au pemican des rations de survie. Moi je déteste pas (celui à bord des zodiac, de mémoire les plastimo sont moins bon mais moins asèchants, l'équipage n'a pas été sensibles. L'eau par contre c'est plus limite, j'ai bu celle retiré lors d'une révision (donc 3 ans) : y a pas, ça a un gout, et plutot métal que pastis

07 juin 2006

oui mais ça donne soif
à moi en tous cas.

07 juin 2006

Oui, j'ai vu aussi
Et justement j'ai trouvé que ça ne remontait pas vraiment le moral !

Egalement, celui qui a déjà percuté une survie et gouté aux rations sera surement convaincu qu'il a intéret à améliorer l'ordinaire à bord de la survie, ou du sac/bidon !! ;-)

Autre lieu autres moeurs, j'ai amélioré l'ordinaire du sac cette année avec du Halwaa tunisien, un truc pire que le nutella au niveau nutritif (2 cuillères et t'as plus faim, ça se garde des années dans la boite !!). D'ailleurs, les patisseries tunisiennes devraient être au menu de toute survie qui se respecte ( ça prend pas de place et t'as l'estomac bourré en moins de 2) !!!!! :-D

08 juin 2006

dessal manuel
pour ceux que ça intéresse il y en a en vente neuf sur ebay pour 250 euros. J'ai eu le même neuf sur le site du même vendeur pour 103 euros ! mais c'était aux enchères, là il les vend en achat immédiat. Le truc marche bien. A vous de voir !(je ne connais pas le mec mais je n'ai pas eu de problèmes lors de la transaction). Neuf ça vaut 770 euros

08 juin 2006

inventer l'eau chaude
ça sert à quoi d'inventer l'eau chaude ?

le meilleur compromis que j'ai jamais pu trouver c'est la classe mini qui l'a développé
dans les regles de classe vu que le radeau est un classe V , il faut un bidon de survie avec un inventaire complet
plus le bidon d'eau
plus les couteau a des endroits stratégiques
plus les feux anticollision dans la descente !!

bref il suffit de regarder

08 juin 2006

l'eau chaude ...
n'est pas la même selon l'usage ! Donc il faut en inventer 3 ou 4 sortes différentes selon qu'on part en mini transat officielle, soit en Nice - Calvi, soit au Spitzberg ... ça ne donne pas la même "eau chaude" à mettre dans le bidon de survie ;-)

08 juin 2006

la formule de l'eau chaude, SVP
Jean-Michel,
Tu trouve ton compromis excellent (au moins pour la cible qui est la sienne), permet nous donc d'en gouter ;-)

En clair : tu peux nous fournir l'inventaire de cet excellent bidon, et de toute recommandations afférentes, svp.

C'est juste pour faire avancer la chose,

Yves.

PS : feux anticollisions dans la descente (les feux blancs ?) : ça c'est l'inventaire d'un autre thème : "matos de première urgence à garder àporté de main". A faire ensuite.

08 juin 2006

Où ?
Sur ebay.
Il y a bien un powersurvivor mais à 2000 euros.
Merci.

08 juin 2006

Eau ?
N'y aurait-il pas un intérêt à remplacer l'eau par autre chose genre boisson énergétique ? enfin de l'eau avec vitamines, sels minéraux (en plus grandes quantités que dans l'eau de base) et glucose pour compenser les carences liées à l'alimentation pas terrible.

08 juin 2006

pour ceux qui aiment
on peut remplacer le nutella par du miel en plus il parait que ça aide à cicatriser les plaies mais ça c'est à faire vérifier par un toubib ;-)

08 juin 2006

et oui
on en a déjà discuté avec la Capucine il y a quelques mois. On etait aussi arrivé à la conclusion qu'on pouvait se pisser dessus :mdr:

08 juin 2006

ben alors.....on oublie le Kite surf !
on en a pourtant longuement parlé dans une vie antérieure et conclu qu'on l'utiliserait pour tracter le bib vers la plage la plus proche.

Phare du monde

  • 4.5 (35)

2022