site meteo fiable

Je cherche un site meteo fiable mais gratos qui pourrait me donner tous renseignements pour 6 jours. Merci

L'équipage
22 fév. 2006
22 fév. 2006

Windfinder
Bonjour,

Essaye voir s'il te convient.

22 fév. 2006

météo
il faudrait regarder dans l'historique du forum.
J'avais noté un lien "les signets de robert" qui était extra.
www.meteo-marine.com[...]nee.htm

22 fév. 2006

j'aime bien celui là pour la Med
www.inm.es[...]zz.html

22 fév. 2006

j'utilise :
weather on line - uk- abords un peu difficiles
ou : meteo marine annonces voile

22 fév. 2006
22 fév. 2006

A peu près tout ...
est ici:

www.hisse-et-oh.org[...]le.html

A toi de trier !

Robert.

22 fév. 2006

j'aime
utiliser
que je trouve assez fiable
bon vent

alain

22 fév. 2006

météo passion
Télécharger des pilots chart
pollux.nss.nima.mil[...]ist.htm

La météo dans le monde: Un des meilleurs site. Mais il faut savoir interpréter les cartes.
www.fnmoc.navy.mil[...]PUBLIC/

Un très bon site pour une météo plus localisée
www.weatheronline.co.uk[...]ail.htm

La météo dans les Antilles :
www.meteotropicale.com[...]/

la météo vers le Brésil (96h)
www.nlmoc.navy.mil[...]e1.html

Si l'on sait interpreter une carte isobarique
www2.wetter3.de[...]ax.html

Et enfin un site miroir
www.meteo-marine.com[...]que.htm

22 fév. 2006

Si l'on veut bien admettre que la meteo n'est pas une science exacte,
Qu'est-ce qu'un site de meteo fiable ?????

22 fév. 2006

Fiabilité météo
pour moi c'est lorsqu'ils se trompent moins que météo france :-) :-)
alain

22 fév. 2006

Encore un:

puis choisir "10 day forecast"

22 fév. 2006

10 days forecast ...
avec un tel titre, pour moi c'est sûr qu'ils sont plus commerçant que météorologues :-D

22 fév. 2006

cartes satellites
je ne reponds pas à la question sur la prevision, mais je voudrais vous faire partager mon marché de la photo satellite :
fr.allmetsat.com[...]ope.php

22 fév. 2006

ou encore là :

meteo.live.free.fr[...]/

Météo Live et un logiciel gratuit utile pour savoir le temps qu'il fait en France ou partout dans le monde. Avec en prime, des cartes satellites, celles des impacts d'orage ou du taux d'humidité. Simple et pratique. Si vous utilisez Internet pour les prévisions météorologiques, optez pour Météo-Live. Ce petit logiciel gratuit et en français affiche en temps réel le temps qu'il fait et qu'il fera dans une cinquantaine de villes françaises. Une carte détaillée par pays, des cartes satellites avec les impacts d'orage ou encore le taux d'humidité. Doté d'une interface très agréable, toute en Flash, Météo-Live ne nécessite même pas d'installation !

23 fév. 2006

Et personne n'utilise windguru ?
C'est pourtant carrément génial !

www.windguru.cz[...]

Très pratique à lire, plus juste que Météo-France (du moins dans le pacifique), conçu à l'origine pour les kitesurfeurs.
MooTEA

23 fév. 2006

merci
pas mal... j'aime ton "windguru"
merci MooTEA

23 fév. 2006

ça alors...

Vous ne connaissez pas celui-là?

C'est Extraordinaire , essayez et vous allez laisser tomber les autres

josé

23 fév. 2006

Au dela de 3/4 jours
et sauf cas particulier, aucune prévision n'est fiable dans la durée. Il semble même que les modèles aient de plus en plus de mal à s'adapter à la nouvelle donne des changements climatiques en cours. C'est tantôt un site, tantôt l'autre qui donne la bonne prévision.

Ponctuellement, il faut tenir compte aussi des particularités locales, notamment pour la force du vent, dans le cadre des centres d'action synoptiques.

Exemple : connaissance ancestrale à propos du nordet sur la côte d'Albâtre en été : "De jour il se lève, la nuit il se tait". Comme en Bretagne, c'est la superposition des phénomènes de brises côtières au vent synoptique. Le vent peut passer de 2 jusqu'à 7 selon l'heure de la journée et l'impétrant ira clamer : "ils se sont encore plantés".

Il y a aussi les centres d'action (anticyclones et dépression) qui se creusent ou se comblent, dévient au sud ou au nord, ralentissent ou accélèrent dans leur translation comme la dépression neigeuse qui va nous tomber sur le coin de la gueule dès le début de l'après midi au lieu de ce soir comme prévu il y a à peine quelques heures.

La prévision des uns et des autres sites ou bulletins ne dispense pas chacun de suivre l'évolution locale en observant le vent, les nuages et....son baromètre.

23 fév. 2006

Marché...
Pour un peu on se croirait au marché...

Demandez mes carottes fraîches. Voyez mes navets super.
Mon poisson encore plus beau que le vendeur…

23 fév. 2006

question?

Pour faire des previsions méteo il faut une organisation phenomenale,ordinateurs super puissant,reseau de relevé d'observations,ballises,sattelites,etc ...

Est-ce que finalement tous les diffuseurs divers de previsions non pas la même source de renseignements? et ensuite ils proposent une mise en page à leurs sauces mais finalement le plat est le m^me que celui de metéo france (ou des autre pays).?

Pour moi c'est ça.

josé

23 fév. 2006

Bien entendu ..
calypso, tous travaillent avec les même sources d'information. Mais la différence n'est pas tant dans la mise en page, elle est surtout dans l'interprétation de la multitude de données par une équipe de météorologues plus ou moins doués.

L'ordidnateur ne fait que donner des tendances +/- globales, ensuite l'humain passe derrière pour y injecter une expérience que la machine ne peut pas avoir.

Et finalement une mise en page, mais c'est accessoire.

23 fév. 2006

Yves ...
j'adore ton "fondements éduqués" ... le mien (fondement) est très nul, il ne sait que servir d'assise à ma petite personne :lavache:

23 fév. 2006

presqu'aucune choses égales par ailleurs
Un produit météo est élaboré par un prévisioniste à partir des sortie brutes de modèles et des informations complémentaires à sa disposition.
Sachant que seules les lois de la physique et (aussi) les observations des stations météo sont les même pour tous, il est évident que les prévisions, brutes ou expertisées, seront très variable d'un producteur ou d'un présentateur à l'autre.

Je m'explique (un peu long)

Le modèle, s'appuie sur des phénomènes physiques réputés pertinent (conservation des masses, énergie, moment cinétique, transfert de chaleur, formation et circulation des vagues, ...), ingère des données et produit des états de l'atmosphère (entre 0 et ~10 km d'altitude) pour la zone concernée. La prévision est faire pour des points espacés de ~100 km à ~10km dans le plan horizontal, avec dix à 40 niveaux dans le plan vertical (c'est la résolution du modèle) et à des échéances espacées d'une à trois ou six heures, jusqu'à 3 à 7 jours, rarement plus. Ces données produites sont généralement communiquées sous le format grib (gridded binary).

Il existe plusieurs modèles dans le monde météo, tant par leur couverture locale (les LAM tel que HIRLAM, BOLAM, Aladin et bientot Arôme) ou mondiale (ECMFW, Arpège à maille variable, NWS, ETA, AVN, ...). Leurs développements et réglages réclame des moyens gigantesques pendant une bonne dizaine d'année. Ces développement sont souvent mutualisés dans des consortiums (le centre europeen ECMFW, le consortium France + europe de l'est pour Aladin, un autre consortium pour le modèle HIRLAM, et pas de consortium pour les modèles du NWS/NOOA). Il est important de savoir de quel modèle est issue telle ou telle prévi brute (on dit "brute de sortie de modèle") surtout si on veut faire des comparaisons où pifométriser des stabilités/incertitudes
.
Chaque modèle, pour tourner, doit connaître de manière précise les conditions aux limites géographiques concernées, d'ou l'intêrêt d'observation de qualité bien disséminées sur la surface (en 3D) du globe : c'est le cas pour les terres occidentales, c'est le cas pour les routes atlantiques aériennes et maritime, ça n'est pas le cas pour le reste des terres et des océans.
Un modèle prévoit à une échelle spatiale et temporelle donnée : - planétaire pour les milliers de km et queqlues mois (moussons); - synoptique pour les centaines de km et quelques journées (dépressions de nos latitudes) ; méso-echelle de 10 à 100 km et d'une heure à une journée (effet locaux de brise ou de relief, ...mistral dqns les iles d'Hyères); - aérologique de qq km et 1 heure (cellule orageuse isolée, vaison la romaine et autres cévenols); - micro-échelle pour le mètre et la seconde (tourbillon de poussière).
Un modèle d'une échelle donnée s'appuie sur une représentation physique précise, différente d'une échelle à l'autre (certaines propriétés pertinentes à une échelle sont froidement ignorées à une autre. Il utilise des données pertinentes à cette échelle (température de la plaine de la crau ou relief alpin en méso-échelle mais pas ou peu en synoptique). Certains phénomènes pas ou mal modélisé ou trop goinfre en calcul sont décrit par des tables ou des valeurs "sorties du chapeau" (fonctions tabulées, "forçage" je crois mais pas sur, c'est le cas souvent pour l'état de la surface de l'océan, en attendant le couplage atmosphère-océan)

Les prévisions sont produites uniquement pour (c.d.a "aux") les points du maillage liés à la résolution (voir plus haut), et de manière non continue, c'est à dire qu'il n'y a aucun fondement scientifique (mais commercial ?) à interpoler les prévisions entre des points adjacents pour en déduire une prévision en un point intermédiaire. Autrement dit, un modèle d'une échelle donnée (ex: synoptique) peut totalement ignorer un phénomène d'une échelle plus fine (ex: méso-echelle ou aérologique) localisé entre les points du maillage: ainsi une prévision synoptique peut omettre ou passer sous silence tel orage tel inflexion du vent au voisinage de la côte, telle renforcement par effet de brise. Ceci n'exclue pas qu'un modèle synoptique définisse les conditions intiales d'un modèle méso.

Bien sur la prévision d'un phénomène (ex: force du vent à l'échelle synoptique) comporte une marge d'erreur (connue, affichée à l'avance) spatiale (100 à 400 km sur la position d'une dépression), temporelle ( 6 à 24 heure est ok) et sur la valeur prévue (prévoir 6 et avoir 8 reste "ok"; chiffres issus d'une analyse de la route du rhum de 2002, dévoreuse de cata ; je cite : "la prévision du vent est elle aussi sous-estimée : force 9 Beaufort au lieu de force 10 mesuré sur zone. Mais c'est là un écart qui resté dans les limites de « 1'état de l’art » de la prévision météorologique" et aussi "La formation de ces talwegs est bien prévue mais, à plus de 36 heures d'échéance, 1'incertitude sur le timing dépasse six heures"
Les prévisions font également l'objet d'un contrôle qualité, ne serait-ce que pour faire état d'amélioration au cours de la décennie ou pour afficher un respect des objectifs de plan vis à vis des "actionnaires".

A propos des données, en théorie l'ensemble des organismes qui font tourner des modèles disposent des mêmes données sources. Il y a qq petites scories ponctuelles ou telles observations utilisées par l'un pour produire tel document ne sont pas retrouvée à postériori (car tout ça est archivé) par les autres dans les données transmises par ce même "un", mais ça semble ponctuel.
Ces données peuvent être issues de station au sol (SYNOP), de ballons lancés à 0000Z et 1200Z, de sondes larguées depuis des avions (drop sonde), de bouées fixe ou dérivantes (BUOY) et récemment de données issues de radar satellite (par ex pour les mesures de vitesse de vent ou de température sol).
Un problème important est l'assimilation des données, qui consiste à transformer les valeurs des données observées en des données exprimées dans des unités utilisables par le modèle. On parle ici d'assimilation 3D, 3D-var, 4D-var (le top mais hors sujet).
Certaines de ces données sont issues d'autre modèles "indépendants" par exemple les modèles océaniques dont les résultats imposent les valeurs à utiliser pour les paramètres à la surface des océans. Idem pour la modélisation de la tropopause (le "couvercle haut" de l'atmopshère). Ces modèles sont parfois encore très sommaires (modèles océanographiques).

Enfin, la modélisation des physique utilisées conduit à des fonctions pas toujours continues (est-ce parcequ'en général c'est non linéaire, là ça me dépasse, pour l'instant) et les voisinages des discontinuitées ne sont pas indépendants des phénomènes catastrophiques ou des situations qui risque d'évoluer en catastrophe (oh, la langue de bois ?)

A propos du prévisioniste.
Toutes ces données brutes de sortie modèle constitue la base du travail du prévisioniste, qui confronte ces prévisions avec toutes les autres observations dont il dispose (y en a un paquet sur la station des ingénieurs de M-F), qu'elles soient utilisées par le modèle (les synop) ou pas (les images satellites des masses nuageuses)
le prévisioniste ne fait plus, lui même et à partir de ses propres études, des prévisions à 24 heures ou au delà, il "commente" et enrichi les sorties de modèles, dont il rectifie les erreurs, les biais quite à remettre en cause telle valeur produite ou à s'appuyer sur les résultats du modèle de l'autre (ou même à imposer la mission de tel avion météo). En France ce travail est hiérarchisé entre les prévisionistes du centre de Toulouse qui élaborent des directives techniques d'ordre général (par ex, les anasyg) à destination des 1g et techniciens régionaux ou locaux, lesquels élaborent les produits à portée plus restreinte (prévi pour telle région ou tel métier, navigateur, cultivateur ou grutier) et/ou à déstination plus locale (les auditeurs du coin, le port de plaisance, le préfet de tel département).
La prévision que vous utilisez (ex: météo marine côtière par Aix) à toute les chances d'être élaboré par un autre prévisioniste que celles utilisées par votre voisin (par ex : météo du large SMDSM par un gars de Toulouse), sachant que les personnes ont des intelligences différentes des situations locales. Enfin, on disait il y a queqlues décennies, qu'un prévisioniste devait s'échauffer quelques jours (par ex à un retour de congé) avant d'être réellement opérationel

Je ne parlerai pas des aspects proabilistes, des papillons de Lorentz et des aspects non linéaires des modèles, que je comprend mal, mais j'espère que ce texte permettra d'appuyer vos perceptions du service rendu sur des fondements éduqués.

yves d.

23 fév. 2006

Prevision Météo France

Pour ma part je trouve qu'en regle generale Meteo France depuis quelques années est souvent pessimiste dans ses previsions, depuis qu'il s'était planté sur des tempetes .

J'ai souvent relevé que ce qui était annoncé est rarement atteint.Par exemple lorsqu'il annonce F4 l'on a la plus part du temps un F3 parfois F4 mais quasiment jamais un F5.Bien sur il faut considerer ce qui est annoncé mais l'on a rarement des mauvaises surprises par un temps plus degradé que la prevision.

Quel est votre avis? Je trouve qu'ils pechent par exces de precausions encore que pour ma part je trouve celà trés bien comme methode.

josé

23 fév. 2006

Et surtout ...
il ne faut pas oublier que chacun d'entre nous n'a qu'une vision très limitée et partielle de la météo du jour, alors que la prévision couvre une zône bien plus grande que notre regard individuel. Donc les valeurs annoncées sont les valeurs maximales se produisant à au moins un point de la zône concernée .... qui n'est peut-être pas le point où un observateur lambda se trouve !

23 fév. 2006

j'aime bien la météo aux US
ils donnent toujours une probabilité de chances que la prev soit juste, cela permet de conserver une certaine humilité, un certain réalisme et d'envisager d'autres scénarios possibles.
Et puis comme ça les gens peuvent pas râler quand ils sont à coté de la plaque.

23 fév. 2006

Probabilité ?
Hollywood, c'est pas pour dire, mais même en France on les probabilités aussi (noté de 0 à 5), et même à la télé après le journal de 20h ! Voir aussi les météo affichés dans les ports par Météorem et d'autres encore, avec coeff de probabilité.

23 fév. 2006

A notre décharge ...
(non, pas d'ordure ;-) ), il faut dire que nous (en métropole) n'avons pas les mêmes besoins en terme de sécurité : pas de cyclones, ni tempêtes tropicales, blizzards fabuleux sur le côte est, etc ... donc on n'a pas de besoins météo aussi prégnants que les US.

23 fév. 2006

c'est possible Robert
effectivement j'entend parfois des probas mais aux states, c'est une pratique courante depuis très longtemps. j'ai vécu qqes mois en Floride en 91 et j'étais épaté par un petit boitier récepteur monofréquence qu'on trouvait dans toutes les bonnes maisons et qui diffusait en continu des bulletins météo très détaillés pour ta région avec des % de prev sur les conditions et précipitations locales.
On a rattrapé notre retard en matière de diffusion d'information météorologique grace notamment à internet mais je ne suis pas sûr qu'on soit encore à leur niveau en terme de qualité des prevs.

23 fév. 2006

indice de confiance, de 1 à 50
Comme beaucoup de producteurs météo, M-F affecte ses prévisions d'un indice de confiance calculé de la manière suivante :
- on part de la situation intiale réelle et on fait tourner le modèle, ce qui donne une prévision dite de référence.
- on modifie ensuite des valeurs initiales en des points judicieusement choisis pour obtenir une nouvelle prévision, qui peut être voisine de la prévi de référence ou s'en écarter notablement
- on procède au total à 49 prévisions basées sur des données "rectifiées".
Le nombre de prévisions comparables à cette prévision de référence est froidement l'indice de confiance, noté de 1 à 50 bien sur.

Le choix des points à modifier et les valeurs à leur affecter sont basés sur l'expérience des prévisionistes.

Des recherches sont en cours pour identifier les points sensibles dans telle ou telle situation ou identifier les points qui seront sensibles entre l'instant de cette prévision (ex: aujourd'hui) et l'échéance (ex: dans 3 jours) pour placer une sonde (un avion) à temps au bon moment (ex: dans 30 heures).
Voir à ce sujet (localement assez ardu mais beaucoup de phrases sont compréhensibles)
www.smf.asso.fr[...]y43.pdf

Yves.

23 fév. 2006

Probabilité ... que je sois concerné
Vous avez tous vu les superbes images des radars météo mettant en évidence le déplacement des masses pluvieuses.
Vous avez pu constater des zones de 100 km par 100 km presque entièrement en bleu sombre (forte pluies).
On en voudrait au prévisioniste de ne pas avoir parlé de pluie, avec une très forte probabilité, pour cette zone.
Et si vous vous trouvez en permanence juste sous le parcours de la joli tache jaune correspondant à une zone sèche, c'est qui qui a faux ?

Probabilité qu'il pleuve ? ou que vous soyez mouillé ?

Yves.

24 fév. 2006

météo
Salut marin,

Je connais deux sites super et gratos :
Pour le large avec prévision du déplacement des dépressions. Je crois qu'il s'agit de la météo allemande.
www.cotweb.com[...]eox.htm

Pour la côte :
www.windguru.cz[...]dex.php
Il s'agit d'un site pour windsurfer fait par les américains, même s'il est hébergé en Tchékie.

Je les utilise tous les deux en fonction du programme du moment.

Bon vent.

Jean

24 fév. 2006

On a fait le tour
En fait les sites comme cotweb ne sont que des sites miroirs ou des liens vers des sites météo.

Il n'y a vraiment pour les PLAISANCIERS et ceux qui ont déja une approche de la météo marine que trois ou quatre vrais sites de prévisions(gratuits)sérieux.

Ceux ci ont déja été cités plus haut.

Pour ceux que la météo interesse, il y a un ouvrage que je trouve remarquable et unique. Il s'agit de "météo & statégie" de Jean Yves BERNOT

24 fév. 2006

BERNOT : remarquable
Marco, je partage tout à fait ton point de vue, ce bouquin est remarquable.
Il fait tout de même l'hypothèse qu'on a un bagage météo (et aussi un peu un bagage course, j'ai séché sur le terme "bascule").
Les cartes sont souvent difficile à lire car trop petite (mais y a déjà 4 ou 500 pages)
Mais c'est bourré de conseil et autres heuristiques ou astuces bien utiles pour les navigateurs que nous sommes.
Il est beaucoup plus ciblé (et structuré) que le Mayençon.

N'étant pas moi-même météorologiste je m'en remet à des jugements éduqués pour conforter mon impression : la critique dans MetMar (et je crois aussi dans "La météorologie") a été élogieuse, et ils ne sont pas toujours élogieux ....

Remarquable, à conserver sur soi, à lire dès que l'occasion se présente, et à relire.
Une référence pour le thème annoncé.

Yves.

PS : "La météorologie" de ce trimestre fait une critique d"un "Fondamentaux de météorologie par Sylvie Malardel aux éditions Cepadues, 720 pages" censé remplacer (rien que ça) le "Triplet et Roche", article très élogieux qui se termine par un "et qu'il sera le livre de chevet du météorologiste français pour pas mal d'année".

25 fév. 2006

anecdote
Avant que la meteo, tant sur internet qu'à la télé, ne soit livrée "clé en main", il était coutumier pour les plaisanciers naviguant à proximité des pêcheurs professionnels d'aller leur demander leur avis.

Aujourd'hui, la même démarche conduit à : "Ils ont annoncé que, on verra bien".

Nous sommes tous devenus des consommateurs. sauf quelques uns qui cherchent à comprendre.

Aux US comme au Canada, on trouve gratuitement une somme d'infos considérable pour satisfaire pour tous les niveaux de savoir.

Chez nous il n'y a que ceux qui savent qui ont le droit de savoir. Autre culture. Autre notion du service public.

L'ile aux marins, Saint Pierre et Miquelon

Phare du monde

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