Traitement curatif osmose voyage 12.50

Traitement curatif osmose voyage 12.50
Bonjour à tous les voyagistes
Je viens de sortir mon bateau de l’eau pour assécher un peu la coque pendant l’hiver et j’ai découvert des centaines de petites cloques sur le gelcoat
Je pense donc que le temps est venu de faire sécher et traiter ma coque (en curatif) et pour pouvoir faire établir des devis j’aurai besoin de connaitre la surface à traiter je connais déjà la formule (longueur x largeur x 0.75) mais si un propriétaire de voyage a déjà effectué les mesures plus précise ou ce type de travaux, au prix du m² ça m’intéresse vivement :-D :-D :-D
Question complémentaire quelqu’un connait'il l’épaisseur de la coque du voyage j’ai décaper quelques cloques à la meuleuse sur une profondeur de 3/4mm grand Max (compris antifouling et gelcoat) et je me suis posé la question :oups:
Voilà tout
En vous remercient d’avance pour vos participations et vos réponses :pouce: :pouce:
Mathieu

L'équipage
28 jan. 2019
28 jan. 201928 jan. 2019

De mémoire, la surface à traiter avoisine 31 M2
En 2009, ca m'a coûté 8400€ et 18 mois d'immobilisation.
Texte du devis de 2008
"Concerne votre bateau VOYAGE 12.50
Z 99 Traitement curatif de l'osmose
* selon procédure Gelshield de
* chez INTERNATIONAL après
* rabotage de la coque sur une
* base de 28m2 (SURFACE A
* CONFIRMER A LA SORTIE D'EAU)"
Moi j'avais mesuré et estimé à 31 M2. Le prix du devis a été gardé

28 jan. 2019

Le temps d'immobilisation peut être réduite à 3 mois (pour mon cas en bretagne) grâce à une jupe étanche, des deshumidificateurs et un peu de chauffage. Évidement faut payer l'électricité ~ 500€ ....

29 jan. 2019

Salut,
C'est intéressant cette idée. As-tu fait ça seul ou as-tu confié le travail à un chantier ? Il va falloir que je traité mon canot un jour ou l'autre et la perspective de l'immobiliser à terre un an ou plus m'èpouvante...

29 jan. 2019

"Maintenant j'ai rien à vendre"......mais moi je, moi je, ...et c'est moi qui ai raison....car je sais tout

29 jan. 2019

Bon, c'est partit pour une nouvelle gueguerre des je sais tout!

Je fais cela moi-même, je prends régulièrement le taux d'humidité au sovereign, depuis 2 mois le taux est passé de 15, 20% à 5, 10 % au pire, excepté le skeg sur lequel je vais devoir insister en température car mine de rien plus c'est chaud plus l'eau s'évapore dans un milieu déshydraté à 40%. et donc fort de se résultat je pense que dans un mois l'affaire est réglée!

Maintenant j'ai rien à vendre :acheval:

29 jan. 2019

Et bien coco tu dérailles ou tu pars en vrille? :doc:

29 jan. 201929 jan. 2019

Des arnaqueurs proposent aussi des délais de 8 jours avec un revêtement époxy "étanche" qui va masquer un certain temps la poursuite de la réaction chimique.
C'est la pression osmotique qui a "percé" l'étanchétité du gelcoat.
Le chauffage n'y changera pas grand chose et les déshumidificateurs encore moins.

Si la météo joue un rôle favorable (vent et temps sec), il faut surtout que l'humidité des polyesters mis à nu ait le temps de s'évacuer.

28 jan. 2019

Merci beaucoup pour ces informations on m a proposer la technique du deshumidificateur ça a l air d être une bonne solution

29 jan. 2019

Si c'est un système Hotvac, ce n'est pas vraiment un déshumidificateur. Ce sont des sorte de couverture chauffante avec un vide d'air.

29 jan. 2019

Salut,
C'est pas indiscret de te demander qui t'a fait cette proposition ?

29 jan. 2019

Bonjour,
Est-ce que ces traitements assez lourd dure dans le temps ?
Ce que je veux savoir, si on achète un "vieux bateau" en se disant qu'il faut inclure ce budget dans l'achat, est-ce qu'on est tranquille après ou une coque osmosez le redeviendra toujours ?

29 jan. 2019

Si on peut éviter le rabotage c'est mieux. Si le phénomène n'est pas encore trop avancé et que le stratifié est encore solide en surface, il vaut mieux un sablage léger (aérogommage léger) pour décaper en venant juste effleurer le stratifié. Les bateaux modernes sont en général construits "plutôt juste" dans les échantillonnages, ce n'est pas utile de les diminuer encore.
Des chauffages avec une jupe avec plein de trous en haut pour que l'air circule bien peut accélérer le séchage. Une très bonne ventilation est vitale.
Avant de recouvrir avec un traitement étanche, il est impératif de mesurer l'humidité de la coque. Comme souligné plus haut, enfermer de l'humidité n'est vraiment pas bon. Se lancer dans cette opération peut vouloir dire : ne pas naviguer l'été prochain car coque n'aura pas suffisamment séché.
Cordialement
Yves

29 jan. 201929 jan. 2019

@Popeye, tout dépend si tu peux le faire toi même ou si tu demande à une entreprise, et aussi dans quel zone tu es pour la météo.
J'avais fait moi-même "la chose" en partant de déductions et divers fils ou tutoriels bien faits. Éviter le rabotage, oui et Yves le souligne, c'est évident, moins on retire de matière, mieux on se porte et on a à remettre résine et fibre, et correctement.
Chauffage, si on doit enlever le produit de l'hydrolyse d'une résine, on aura du mal à bien "sécher" et donc éliminer ces résidus sans une action mécanique, un rinçage à l'eau douce régulièrement et souvent. L'eau douce se sèche vite, l'eau salée ou acide beaucoup moins vite.
Le gros problème des jupes plastique chauffées est qu'on peut facilement "emprunter" le chauffage et que la jupe ne dure pas longtemps si il y a du vent. Mon bateau était sur ber, en plein vent, dans une zone non surveillée (et de toute façon, les surveillances des ports...)

J'ai utilisé la méthode du nettoyeur HP après décapage complet jusqu'à la fibre (donc les couches d'AF et le gelcoat qui de toute façon est aussi poreux qu'un filtre à café) en alternance avec le badigeonnage au bicarbonate de soude additionné de maïzena.
OK, c'est long, mais en Bretagne la météo impose son temps. Et c'est pas cher. Ensuite, contrôle au Tramex et application de la méthode Gelshield.

Quelque soit le produit appliqué (qui sera toujours une base époxy) il faut que l'appareil de mesure soit dans le vert franc partout sur la coque. C'est la seule condition pour repartir sur une base qui durera très longtemps (réponse à moisdejuin). Pour moi, la méthode Gelshield avec son apprêt et ses (minimum) quatre couches colorées différemment et de la bonne épaisseur est parfaite et ne demande pas beaucoup de temps à appliquer sur coque sèche avec les bons outils du bâtiment (rouleaux à poils longs).
La revente du bateau, à partir du moment où on a la facture de tous les produits composant le système n'a été qu'une formalité.
Le bateau a retrouvé une peau de bébé mais il a fallu le temps du séchage, très long après le décapage. Les plus riches peuvent s'offrir un aérogommage, moi, je n'avais pas les moyens, mais amha, aller voir des "entreprises" qui proposent un séchage en mois de trois mois, je ne suis pas pour.

29 jan. 2019

PhilippeG : Comment as-tu réalisé "décapage complet jusqu'à la fibre " ?

30 jan. 2019

Ok. Ca, je me sens capable.
Donc, acte 1, tu fais sauter joyeusement gelcoat et cloques, dans un ordre indifférent.
Acte 2, le héros meurt. C'est loooooong. Fin de l'acte, le Tramex part à la campagne, il est au vert.
Et l'acte 3 ?
Qu'est-ce qu'on fait à l'acte 3 ?
On commence par poncer je suppose ?
Faut re-stratifier une peau ensuite, ou enduit direct ?
A quelle étape interviennent les résines sans solvants ?

04 fév. 2019

Merci Philippe.
Donc, on ne remplace pas le gelcoat par un tissu/mat quelconque.
Ouf !
Jo ?

04 fév. 201904 fév. 2019

:-D :-D :-D
Il y a même un dénommé BMayer qui demande quel bruleur utilise Jo2, dans ce fil.

30 jan. 2019

Salut Bernard,

J'ai réalisé le "décapage complet jusqu'à la fibre" avec un décapeur thermique électrique de 2kW (car je n'avais pas de décapeur thermique gaz disponible) et quelques couteaux de peintre ou riflards de peintre de diverses dimensions et parfaitement affûtés. J'ai aussi utilisé un grattoir Sandvick avec l'avantage de pouvoir utiliser des lames de rabots électrique. Par contre, non affûtable, les lames...
J'ai - je l'avoue - fait "quelques trous ou enlèvements pas très propres" à cause du manque d'habitude et de l'enthousiasme qui caractérise les "jeunes (et les moins jeunes) khons" mais comme j'ai rattrapé ensuite avec quelques patches de fibre et de résine, peu d'importance.
La pénibilité du travail vient de la position sous la coque en fonction de la hauteur de travail. Coincé par le T.E., j'aurais parfois aimé être plus haut ou plus bas pour travailler à ma main.
Ça va vite, bien, les bulles d'osmose fusent toutes seules (et il faut les marquer pour y revenir après faire un petit trou pour insister au nettoyeur HP ou découper la zone au riflard), On dégage (dans tous les sens du terme) et l'AF et le gelcoat en une seule passe. C'est assez gratifiant de voir que ça avance vite.
Ensuite, reprise des cloques pour enlever la matière décollée qui reste à enlever, un ponçage grossier puis fin et séchage / arrosage au nettoyeur HP en alternant avec le mélange bicarbonate et maïzena . Contrôle régulier en faisant une "carte" de la coque au Tramex.
Voir ce fil pour de plus amples informations si nécessaires :
www.hisse-et-oh.com[...]novices

31 jan. 2019

Si tu appelles "acte 3" l'acte où tu passes la résine, oui, mais on commence par siffler le Tramex, il n'a aucune raison d'aller à la campagne car l'humidité peut varier d'un jour à l'autre, il faut donc la contrôler régulièrement et avant la résine.
On ponce pour ne plus avoir de gros copeaux, une peau sèche et bien rasée. Ce qui ne veut pas dire un ponçage parfait, loin de là. Grain 80. Reprise des trous et entames par stratification à l'époxy ou à la polyester. et lorsque tout est prêt, qu'on a l'humidité dans le vert (largement) et la météo avec soi, on attaque la barbouille du Gelshield 200 pour finir par le GS Plus à épaisseur mesurée d'au moins 80 microns (moins j'avais largement 100 microns) en 4 couches ou plus, chaque couche étant colorée pour bien la différencier de la précédente.
Les résines sont la phase finale et définitive. Après cette phase, c'est AF et à l'eau, donc il faut que tout soit prêt avant, toutes les finitions, rebouchages, remplacement de pièces ou de passe coque parés. Pour les passe-coques, les enlever avant passage de la résine pour ceux qui sont à changer.
Jo explique assez bien.

04 fév. 2019

Le gelcoat disparaît, il est enlevé totalement, il ne faut pas qu'il en reste.
Jo est la personne ayant démarré le fil dont je donne le lien plus haut. Tu dors !
Ah les cancres et le radiateur !!

29 jan. 2019

Le rabotage en enlève bien 2/3 mm, mais est compensé par la solidité de l'époxy ?
Il y a un livre en libre accès, de cloques en coques.

29 jan. 2019

Non tramex!!
Le rabotage sert à mettre à nu la fibre !!
On rabote pour enlever le gelcoat, c’est tout.????

30 jan. 2019

Albor, j'avais compris, mais dans les faits, on enlève environ 2/3 bon mm. Je viens d'en voir.

29 jan. 2019

Si le rabotage est bien fait et que le rabot est de qualité et conçu pour y pas grand chose à reprendre au mastic après. Sinon c'est vrai que ça fait des escaliers.
Donc il faut un bon coup de main, prendre son temps et ne pas hésiter à changer les lames, il faut le régler pour enlever tout le gel coat mais pas plus de façon à ce que la fibre soit bien mise à nu mais pas entamée. C'est assez fatiguant de tenir l'engin à bout de bras surtout sous la coque.

J'ai utilisé un Virutex que l'on m'a prêté. Le mieux est aussi de brancher un aspirateur pro à gros sac pour récupérer les copeaux de gel coat et éviter qu'ils se baladent. Environ une vingtaine d'heures de boulot en s'appliquant pour environ 30m2, Il y aura quelques endroits à finir à la disqueuse ou le rabot ne peut pas aller.

Dans la foulée ça vaut aussi la peine de décaper la quille si elle est en fonte pour traiter la rouille, la remastiquer.

Sur les bateaux un peu anciens comme le voyage, la coque est largement dimensionnée en épaisseur et il n'y a pas de souci pour faire le traitement sauf si l'hydrolyse de la résine a détruit les premières couches de stratifié auquel cas cela occasionne des travaux supplémentaires de remise en état.

29 jan. 2019

Domde, je te mets une étoile et plussoie à ton poste .
Du concret et de la réalité de terrain !

29 jan. 2019

J'ai un devis de 2013 pour 290€HT/M2. Mais au final c'est l'ai fait avec un rabot Vertex et un testeur tramex

29 jan. 2019

He bien
Que de participations merci beaucoup :bravo: :bravo: :bravo
Il est vrais que c est tentant de faire le boulot soi même pour économiser des roro€€ mais hélas çà va etre compliqué pour moi, pour le moment j attend les devis des chantiers et je pense programmer les travaux pour septembre octobre et effectuer une réparation provisoire pour la saison
C est du gros boulot et une grosse dépense mais vue l etat de délitement de la stratification au niveau des plus grosses cloques je sais que tôt ou tard il faudra y passer.... :-(
En tout cas merci encore pour tout vos bon conseil :pouce: :pouce: :pouce:

30 jan. 2019

De toute façon, l'osmose n'a pas fait couler beaucoup de bateaux, et curieusement, il y a des zones ou on en parle, d'autres ou on se tait...

30 jan. 2019

juste pour info car le boulot a été réalisé sur mon cata, et pas un Voyage 12.50...
le cata a séché de juillet à novembre mais à Trinidad.
si besoin d'info sup, pas de soucis, j'ai suivit les travaux de très près...
stef
misterhappy-catamaran.blogspot.com[...]re.html
misterhappy-catamaran.blogspot.com[...]ur.html
misterhappy-catamaran.blogspot.com[...]ti.html
misterhappy-catamaran.blogspot.com[...]ge.html

30 jan. 2019

Pas mal, ça coûte combien à Trinidad ?

30 jan. 201930 jan. 2019

pelage au rabot par un pro (super boulot)= 1300$
Poncage + imprégnation epoxy + restrat epoxy + enduit 2 passes + barriercoat + Primaire epoxy 2 couches = 8500$ (matos + main d'oeuvre)
pour un cata de 50'

30 jan. 2019

"De toute façon, l'osmose n'a pas fait couler beaucoup de bateaux" … On peut aussi dire qu'une carrosserie rouillée et pourrie n'empêche pas une auto d'avancer. Dans les deux cas la revente va s'avérer quasi impossible. De plus, ça laisse sous entendre que l'osmose n'existe pas ou que c'est pas important. Je conseille à tous ceux qui le pense d'éviter d'acheter des bateaux en polyester.
Pour appliquer la résine époxy et éviter de faire du "crépi rustique" (autrement dit pour avoir une carène lisse comme la peau d'un bébé) ce n'est pas évident. Il y a diverses recettes… qui demandent toutes plus de soins et plus de temps que ne le font la plupart des chantiers. Avant de leur confier le boulot, il faut aller voir comment sortent les carènes, très peu sont nickel de ce point de vue. Préciser dans le devis l'état de surface voulu avec si possible un "témoin" servant de référence.
Cordialement
Yves

31 jan. 2019

@mat4x4, tu as pris la phrase au 1er degré... Ayant eu de l'osmose, j'ai traité un bateau âgé de plus de 40 ans.
Pour faire une carène lisse comme une peau de bébé, il faut respecter l'épaisseur du fabricant à chaque couche tant sur le mode d'emploi que le mélange à respecter, son timing et les bons outils. Il y a une logistique à mettre en place avant et pas au moment de faire. Lorsque j'ai eu terminé mon bateau, il était parfait, et lors de la revente, sorti de l'eau, il semblait aussi neuf d'aspect de carène que le Catane d'à côté qui était neuf lui par contre.
Pour les pros, je ne sais pas... C'est l'inconnue et ça serait ma peur, effectivement.

30 jan. 2019

bonjour a vous l un entre vous peut me dire combien est le prix du mètres carré que l on vous a facturé dans un chantier pour le traitements jusque l af

30 jan. 2019

Vu chantier à coté de Brest qui, oralement, dit 500 € le m linéaire pour les moins de 10m... (ca me paraît pas cher, mais pas de recul sur les installations et zone de séchage a définir. ..)

30 jan. 2019

Bonjour, je viens de sortir mon bateau sur lequel j'ai fait un traitement curatif il y a 7 ans et je vois les premières cloques réapparaitre. Vu la galère passée et le prix que ça a couté, c'est franchement décourageant, malgré avoir respecté toute la procédure de mise en œuvre. Bonne chance et surtout bon courage !!! Ha, faut aimer la mer ...

30 jan. 2019

Bonjour, je viens de sortir mon bateau sur lequel j'ai fait un traitement curatif il y a 7 ans et je vois les premières cloques réapparaitre. Vu la galère passée et le prix que ça a couté, c'est franchement décourageant, malgré avoir respecté toute la procédure de mise en œuvre. Bonne chance et surtout bon courage !!! Ha, faut aimer la mer ...

30 jan. 201916 juin 2020

Et le brulage? Moins fatiguant, plus simple, moins bruyant, etc. Mais pas a la mode!!!
C'est comme l'osmose qui n'apparait qu'avec les cloques!! Ou la sempiternelle phrase "ça n'a jamais fait couler un bateau", ce qui sous entend qu'il y a toujours quelqu'un pour raconter quand un bateau coule!!!
Au rabotage, d'ailleurs, on voit comment a été posé les premiers tissus et ça fait peur!!

31 jan. 2019

Au risque de radoter, j’ai vu un bateau à moteur d’une douzaine d’années coque sandwich sur ber attaqué par l’osmose cloques de 5 cm de diamètre pour les plus grosses : en appuyant au centre de l’une d’entre elles mon doigt a fait un trou dans la coque. Le patron a appelé le client pour refuser le traitement estimant que la coque était trop atteinte. Bon pour la déchèterie. Sur une coque monolithique c’est sûrement moins grave et plus long mais à terme on doit pouvoir faire des trous aussi facilement.

31 jan. 2019

Je ne suis pas un spécialiste, ce qui ne m'empêche pas d'avoir une conviction forgée par mes lectures sur le sujet, et ma conviction est que rien ne vaut une stratification epoxy après pelage (ou sablage).

31 jan. 2019

Pour les épaisseurs du voyage 12.50.

De mémoire ca va de au moins 25 mm dans les fonds, puis ca remonte doucement pour trouver environ 10/12 sur les bordés haut.

J ai traité le mien moi même. Pas tres difficile. Sablage du gelcoat mais pas comme un bourino pour pas faire de vague; sechage avec rincage... puis une fois sec ( plusieurs mois a port leucate avec la tram tous les jours) application du traitement west system ( en tout 6 ou 7 couches).

La coque est sortie comme neuve.

Pour combien de temps?

Le voyage 12.50 n est pas forcement tres rigide (assez lourd) mais il est très solide.

Fab

31 jan. 2019

Gin Fizz : 45 mn dans les fonds mesuré ! 14 mn dans les hauts et le cockpit, pont sandwich pas d’infiltration depuis 41 ans d’existence et d’entretien soigneux. Un peu tank quand même.

04 fév. 2019

Pour ceux qui souhaitent faire faire le traitement par un chantier, je demanderai les relevés de séchage. Cela ne m'empêchera pas de contrôler d'effectuer un contrôle de temps à autre de l'humidité de la coque avec un Tramex ou autre. C'est pour cette raison que j'ai fait le traitement après réflexion.

Green Point Lighthouse, Capetown SA

Phare du monde

  • 4.5 (176)

Green Point Lighthouse, Capetown SA

2022