Utilité du dériveur leste ?

Bonjour

J'ai une petite question sur l utilité réelle d un dériveur leste. Je regarde un vieux canot à acheter ( genre sangria fantasia kelt...) et me pose la question de l utilité du dériveur en atlantique pour un programme côtier (la Rochelle en port d attache)
A discuter avec des proprios qui ont des dériveurs lestes j ai limpression que peu d entre eux posent les béquilles d échouage. L utilité du dl semble être juste de pas avoir beaucoup de tirant d eau pour les ports.
Je me fourre complètement?
A partir de quel tirant d eau un quillard devient chiant en atlantique ? En dehors des différences de performances.

Merci

L'équipage
20 oct. 2014
20 oct. 2014

Je confirme les avantages que tu sites, et j'ajouterai la facilité accrue pour l'hivernage à terre: pas de ber à louer, calage simplissime et sûr, accès à bord et transfert de matériel facile.
La possibilité effectivement d'avoir accès à davantages d'endroits que les quillards n'est pas négligeable, surtout en Manche (mouillages forains commes places de ports encombrés). 1m d'écart à basse mer, ç'est beaucoup!
Celà me permet aussi de ne pas laisser mon bateau se coucher sur le flan à son corps mort comme les voisins lors des grandes marées.
L'écart de performances, on finit par s'y faire après avoir optimisé ce qui pouvait l'être (hélice, bonnes voiles, carène, ....).

20 oct. 2014

Le dl est plus lourd que le quillard
ilntire des bords carrés
ça manque de raideur à la toile
la derive a souvent du jeu ett fait des castagnettes au portant
le bateau est plus rouleur en nav comme au mouillage

Ça echoue tres bien avec des bequilles
Le long saumon augmnte la stabilite de route
Au portant dans la piaule
tu peux relever de la derive pour moins crocheter en descendant la vague

reste que la quadrature du cercle est faite avec les quilles pivotantes
Sous la coque comme les petits first et maintenant generalises sur les pogo et autres jpk

21 oct. 2014

pour les bords carrés je n'ai pas remarqué, ça dépend peut-être des bateaux, mais je n'ai pas remarqué de différence de cap au près serré, à la grande surprise de quelques-uns.
-plus rouleur n'est pas le terme exact, disons que le roulis est plus rapide ce qui n'est pas très agréable.
je n'ai pas remarqué non plus de différence pour la raideur à la toile car si la quille plonge moins profond la dérive elle descend beaucoup plus bas.
Les quilles pivotantes devraient être plus intéressantes mais demandent un entretien plus conséquent et ne sont pas toujours fiable à la longue.

21 oct. 2014

je suis assez d'accord avec matelot@17523
1m de différence ça peut faire beaucoup.

J'ai navigué sur deux bateaux très différents :
- le premier 11m * 3m, 2m de tirant d'eau et 4,5t, gréement à bataques, etc. Un vrai régal. Vitesse et remontée au près exceptionnels. Ce bateau se comportait comme un dériveur.
- le second (actuel) 11m * 3.5m mais 1.2m de tirant d'eau pour 10t. Le près n'est pas sont fort, mais ça n'est vraiment pas aussi catastrophique que ce que j'ai pu lire sur le forum. Il y a une différence de vitesse mais elle se récupère en confort sur de long trajet. C'est un "vrai" bateau de voyage qui trace sa route par tout les temps sans (trop) fatiguer l'équipage.

Ce qui est bien aussi c'est de savoir que l'on peut "explorer" les côtes. Le saumon bien large permet de se poser sans soucis avec une bequille. En plus j'ai un renfort en inox sur la partie avant du saumon, ce qui permet de poser l'avant du saumon sur le fond sans risque d'abîmer le gelcoat.

Tout est une question de programme et de type de navigation.

Elément important : madame se sent plus à l'aise avec le comportement moins sportif du bateau actuel :famille:

21 oct. 2014

Avec un dl de moins de 8 m on peut mettre à l eau avec un ber et se passer de port à l année.

21 oct. 2014

Ma question était peut être mal posé, ce n est pas sur les performances mais sur l usage. Je me pose la question pour l achat d un voilier de l utilité de prendre un quillard ou dériveur leste sachant que le bateau sera à l année aux minimes à la Rochelle. Je vois très peu de bateau s échouer. Et donc est ce qu un quillard avec un PTE est si gênant par rapport à la profondeur ?

21 oct. 201416 juin 2020

Bonjour,
assez d'accord avec Kaj, il m'est arrivé de remonter à 35°du vent en gardant une bonne vitesse sous trinquette et deux ris, ce n'est pas à proprement parler tirer des bords carrés.
Le roulis, on ne s'en rend pas trop compte en navigation, mais il est vrai qu'au mouillage, parfois, ça peut être gênant si la dérive est remontée.
Le jeu de la dérive, c'est comme pour tout le reste, suffit d'un peu d'entretien. J'ai dû la remplacer après accident, et j'ai particulièrement soigné les ajustages des paliers d'axe, les anciens étaient ovalisés, j'ai aussi remplacé les cales latérales en téflon, bref, je peux t'assurer que tu ne sais même pas que tu as une dérive.
L'échouage, en Med, c'est pas le plus important, mais j'ai toujours des problèmes avec les grutiers au carénage pour garder ma dérive basse sur la zone, leurs chevalets qui doivent être impérativement placés sous le saumon ne sont pas adaptés à la hauteur et les forcent à réfléchir pour le calage. Généralement, ça s'arrange avec une bouteille de Ricard.
La stabilité de route, je ne suis pas convaincu. Au spi vent arrière dérive haute, ça arrive à bien déraper. En revanche, les départs au lof n'ont pas de conséquences, le bateau partant justement en dérapage avant de se coucher.
Là où ça devient intéressant, c'est dans la grosse brafougne, à la cape dérive haute, c'est la sécurité et le grand confort.
Reste que la stabilité initiale est quand même un peu faible, on s'en rend compte au port par rapport au même en quillard. En nav sous voiles, il faut réduire un peu plus tôt ce qui n'est pas un mal, on ne perd pas de vitesse et on gagne en confort. Et comme il a quand même tendance à s'effacer dans les buffades, on fatigue moins le gréement.
Un point négatif, mais là, peut-être est-ce inhérent à la conception du Kelt 9M DL, le système de relevage de la dérive est constitué d'un winch posé sur une plaque inox soudée parallèlement à la ligne de foi du bateau sur un des tubes qui supportent le table du carré côté descente. Si tu perds l'équilibre en rentrant ou en sortant de la cabine, la première chose que tu vas rencontrer est précisément ce dispositif éminemment contondant. Donc, en nav, je le protège avec un morceau de gros tube de mousse tenu avec des ferlettes, et aussi au port ou au mouillage quand mes petites-filles sont à bord. Ce qui manque quand même un peu d'esthétique.
Pour résumer, je pense que le dériveur, qu'il soit lesté ou pas, reste quand même un bon choix, même si l'on n'en perçoit pas tous les avantages à première vue.
(Ce qui n'était pas mon avis pendant tout le temps où j'ai eu des quillards...)

21 oct. 2014

"il m'est arrivé de remonter à 35°du vent"
En voilà un qui fait dans l'optimisme...

"Reste que la stabilité initiale est quand même un peu faible, on s'en rend compte au port par rapport au même en quillard"
Là, c'est du pessimisme!
Comme la quille n'a AUCUNE fonction de stabilité aux faibles angles de gite, il est courant d'avoir une stabilité plus grande au port sur un DL qui est un peu plus enfoncé dans l'eau à cause de son poids supérieur.

Sans rancune!

21 oct. 201421 oct. 2014

Du vent apparent, bien sûr, et ce n'est pas tout le temps, ça dépend des conditions. Mais ce que je voulais dire, c'est qu'il cape aussi bien que les quillards que je rencontre. Et puis dis donc, c'est ton bateau ou c'est le mien ???? :reflechi:

21 oct. 2014

Coté performance:
Pour moi,le dériveur lesté est la pire solution si on veut un petit tirant
d'eau.
Il vaut largement mieux un quillard PTE, une quille relevable
(système Bénéteau) ou une quille sabre (comme sur le F 27.7 par exemple).

21 oct. 2014

Je ne suis pas trop d'accord avec toi sur la fin de ton classement performance:
pour moi il n'y a pas photo; le PTE est plus performant que le DL.
Je pense au Dufour 1800 que j'ai eu en PTE dans le passé.
Bon après ,il est aussi possible certains voiliers DL sont équipés de quilles plus efficaces que celle de ce modèle.
Le débat est vaste

:-p

21 oct. 2014

mon classement performance serait plutôt:
1- GTE.
2- quille sabre.
3- quille pivotante.
4- dériveur lesté.
5- PTE

Maintenant côté fiabilité, pratique:
1- PTE.
2- Dériveur lesté. (dérive se relevant par un simple palan et un winch, à la main)
3- GTE.
4- Quille pivotante (à voir tous les problèmes de vis sans fin ou de fuites hydrauliques, et la tronche du bord d'attaque).
5- Quille sabre (soucis d'hydraulique, plus les odeurs de vase dans le 27.7, et gros danger si talonnage)

21 oct. 2014

Je dis ça avec l'expérience de mon Feeling 920 DL, qui se place entre les GTE et les PTE au louvoyage. J'ai eu plusieurs fois l'occasion de passer un Feeling 960 PTE voisin qui a la même carène, et de me faire déposer aussi régulièrement par un 920 GTE. Avec les plus modernes Océanis, Bavaria and Co, l'écart est encore plus impressionnant.
Quant aux quilles relevables, j'en ai passé plusieurs dans la brise en cap+vitesse, à mon grand étonnement d'ailleurs (First 29, first260 entre autre). Je pense que ça manque quand même un peu de portance dès qu'on gite un peu, ces profils.

21 oct. 2014

pour resumer

un bateau avec PTE est plus commode , plus agréable ,permet plus de possibilité etc qu'un grand tirant d'eau ...

21 oct. 201421 oct. 2014

... mais est beaucoup moins performant au louvoyage. Pour du long cours, pas très gênant mais en cotier si.
Comment? Où ça, un paradoxe?

21 oct. 2014

en clair à La Rochelle avec 1.95m de TE je ne sort ni ne rentre à n'importe quelle heure alors qu'avec un dériveur tu peux

21 oct. 2014

En DL en encore un peu plus en DI (et en cata) on passe dans très peu d'eau. et on pose très facilement à plat en sécurité, preque n'importe où. C'est un avantage inestimable quand a le plaisir ou la nécessité de s'approcher du rivage, de remonter un estuaire. On a aussi beaucoup plus de marge par rapport aux marées. On achète un DL ou un DI parcequ'on le veut pour son type de navigation. Pourquoi acheter ce type de bateau si on pense ne pas en avoir l'usage car on va trainer du lest en plus et avoir une mécanique à gèrer. Sinon il y a l'option cata.

21 oct. 2014

L'avantage principal que j'ai trouvé au DL était surtout de pouvoir parcourir les canaux du midi de la France sans problème de tirant d'eau. ceci afin d'aller ou venir en/de Méditerranée
Secondairement de pouvoir béquiller dans un port à échouage n'est pas mal non plus surtout à Sauzon ou les malheureux quillards paient pour se faire secouer grave toute la nuit.
mais il ne faut pas rêver non plus, ce n'est pas parcequ'on cale 30 o 50 cm de moins qu'un quillard qu'on s'ancre plus près de la côte

21 oct. 201421 oct. 2014

Tout a été dit, j'ajouterais seulement que je préfère une dérive pivotante à une dérive sabre, en cas de choc avec un ofni ou même un haut fond.
Par contre, oubliez la possibilité de "beacher", comme on voit dans les publicités : ça peut vite tourner au cauchemar.

21 oct. 2014

baltik
Avec mon Attalia dériveur lesté je suis passé de l'atlantique(la Rochelle) à la méditérannée(Corse)et retour sans problème par le canal du midi ce qui n'aurait pas été possible avec un quillard de la même taille.

21 oct. 2014

Une quille pivotante est effectivement ce qu'il y a de mieu, car, du coup, on dispose du meilleur des deux mondes. Et comme dit plus haut, en cas de choc avec le fond, cela absorbe, contrairement a une quille fixe.
Les quilles pivotantes sous la coque, style first, sont quand meme genantes car ne permettent pas vraiment l'échouage.
L'ideal serait une quille pivotante rentrant completement dans la coque. Mais bizarrerie, cela n'existe que dans les toutes petites tailles.
Ou alors, encore mieux, les doubles quilles pivotantes a la martin defline. Raideur d'un quillard, et echouage encore plus facile qu'avec un deriveur, puisque ce n'est pas le fond de coque qui touche le sol, mais les bords d'attaque des quilles.
Tres dommage que ce systeme n'ai ete utilise que par des chantiers a qui on peut ne donner qu'une confiance moyenne au niveau de la fiabilite, car quand ca marche, c'est le systeme ideal.

21 oct. 2014

"L'ideal serait une quille pivotante rentrant completement dans la coque. Mais bizarrerie, cela n'existe que dans les toutes petites tailles. "
ça dépend de ce que l'on appelle "toutes petites tailles". Le Bjet (ou Belouga Jet) fait 7m37 et a une quille pivotante, avec des fonds renforcés pour l'échouage. Quille profilée et tirant d'eau de 1m50, ce qui lui assure de bonnes performances au près.

21 oct. 2014

L'ideal serait une quille pivotante rentrant completement dans la coque. Mais bizarrerie, cela n'existe que dans les toutes petites tailles.

Legend 10.40 " petite taille 6 tonnes" 10.40m X 3.50m
Photos plus bas !!!
Cordialement

21 oct. 2014

Le quillard à quille relevable pose un très gros problème de structure et de mécanique lié au principe mème. En outre
quille relevée et sans lest de fond de coque (comme dans la solution mixte) on peut se retrouver en limite de stabilité, alorsqu'un DI ou DL, garde toute sa stabilité dérive relevée
(la dérive n'ayant au mieux que cette fonction, mais il existe des solutions mixtes).

21 oct. 2014

heu, je me sens marabouté, ou plutôt charabiouté...
ça veux rien dire ce que t'écris!

21 oct. 2014

Il me semble que les coques lestées reposent sur des principes physiques et mécaniques incontournables. L'architecte doit d'ailleurs fournir entre autre dans son dossier les éléments de calculs permettant d'apprécier la structure et la stabilité.

21 oct. 2014

Le DL, ça a les inconvénients du quillard et du dériveur sans en avoir les avantages; béquilles pour poser, moins bonne remontée au vent.

21 oct. 2014

Mon K9DL me permet de sortir ou de renter a marée basse, je suis au corp de garde. du coup plus de port a payer juste un droit pour le corps mort. Avec un quillard je serais au minime en payent 8 fois plus cher!!

21 oct. 2014

et que pensez vous des quilles tandem(très courte) comme chez ETAP
pas de pièce mobile,tirran d'eau très faible

21 oct. 201421 oct. 2014

L'ideal serait une quille pivotante rentrant completement dans la coque. Mais bizarrerie, cela n'existe que dans les toutes petites tailles.

encore moi petite Taille :lavache: legend 1040 10.40X 3.50

22 oct. 2014

il n'y a pas de solution parfaite, il faut donc faire avec ce qu'on a et s'il faut choisir eh bien ! c'est toujours le porte feuille qui commande à moins de s'appeler Crésus.
quand on a choisi on oublie les inconvénients et on garde le bon côté des choses. C'est humain

22 oct. 2014

@Vox17
"A discuter avec des proprios qui ont des dériveurs lestes j ai limpression que peu d entre eux posent les béquilles d échouage. L utilité du dl semble être juste de pas avoir beaucoup de tirant d eau pour les ports."
Non ce n'est pas seulement le petit tirant d'eau mais la possibilité d'échouage que je trouve top avec un DL. Par exemple, sur les quinze jours de navs de cet été j'ai du béquiller trois soir sur quatre. Après 15 ans à naviguer en Bretagne Sud, je découvre encore des supers petits coin: Doëlan, Merrien, remontée du Belon/Aven/Odet etc.
Cependant tu as raison, les propriétaires de bateau qui échouent ne s'en servent pas tant que ça... Les raisons, je l'ignore: "risque" de mal s'échouer? les copains ont des quillards du coup on va pas aux mêmes endroits? les ports à échouage sans équipements?

22 oct. 201416 juin 2020

un des avantages du DI, pouvoir "beacher"

22 oct. 201422 oct. 2014

Et surtout de beacher en journée. A maree basse par exemple. Et donc avoir acces a pied, a des endroits interdits aux quillards (ou alors en etant sur de la qualite de son mouillage pour rester serein pendant la balade).
Voila a quoi sert surtout un bateau echouable, et non pour dormir pose sur le sable, ou alors c'est mauvaise nuit assuree, avec des pensees, style, pourvu que la coque ne derive pas vers la petite roche a droite, ....
Vive l'echouage en journee.

22 oct. 2014

Souvent on utilise les deux mouillages (avant et arrière)
pour éviter qu'à la remontée la coque ne soit entrainée et reste axée.

22 oct. 201416 juin 2020
22 oct. 2014

Bonjour,

Chaque type de bateau a ses avantages et ses inconvénients. C'est surtout le terrain de jeu et le compromis face aux performances qui dictent le choix. J'ai eu plusieurs bateaux : dériveur lesté, dériveur intégral à quille relevante, quillard, biquille. Prenons simplement l'exemple du critère du terrain de jeu. J'ai navigué longtemps sur le bassin d'Arcachon. Le quillard était inadapté, beaucoup de jolis endroits m'étaient interdits. Le DL c'était bien, je me posais sur le sable et béquillais systématiquement. Inconvénients : les béquilles lourdes et très encombrantes. Attention aussi à la navigation dérive relevée dans très peu d'eau, il fallait penser au safran et à le relever aussi. Il avait tendance à ne pas s'échouer bien à plat, l'étrave se relevait, rendant la vie à bord un peu désagréable. Attention au clapot, les béquilles n'aimaient pas. Le DI avec quille relevable, là c'était parfait. Echouage à plat sans effort et sans contrainte pour le bateau (fonds renforcés + lest). Du coup on osait s'aventurer dans des endroits vraiment sympa. Là aussi, quand on navigue dans peu d'eau quille relevée, penser à relever le safran. Inconvénients : quille relevée le bateau est peu manoeuvrable, la rupture du cable de remontée de la quille (m'est arrivé deux fois), les chocs dans le safran (plusieurs fois). Le biquille, c'est pratique, le bateau se posait facilement mais là aussi attention quand il y a du clapot, le bateau souffre s'il tosse sur le fond. Inconvénients : posée qui peut être brutale (j'ai fini par une entrée d'eau par les boulons de quille), le tirant d'eau restait important quand même. Le PTE je ne connais pas.
Ensuite j'ai changé de terrain de jeu avec pas mal de semi hauturier. Je suis retourné au quillard GTE et là que du bonheur. Mais je sais que si je retournais naviguer sur le bassin, ce serait DI sans hésitation.

22 oct. 201422 oct. 2014

"J'ai une petite question sur l utilité réelle d un dériveur leste. Je regarde un vieux canot à acheter ( genre sangria fantasia kelt...) et me pose la question de l utilité du dériveur en atlantique pour un programme côtier (la Rochelle en port d attache) "

Comme tu es à la recherche d'un bateau tout juste sorti de l’adolescence :heu: pose toi la question différemment.

Tu as devant toi le pertuis d'Antioche, regarde sur une carte les différents endroits ou tu aimerais mettre ta quille/dérive et les lignes de sondes t'indiquerons tes besoins en tirants d'eau.
.
Tu peux encore voir ça autrement.
Dans quels eaux est-il utile d'avoir un dériveur ? ......
Heuuuu bin ..... :reflechi:
- une eau à marée comme l'Atlantique
- plutôt en programme côtier
- :-D

22 oct. 2014

si les verssion deriveur etait moins interessant les constructeur les proposerais moins cher que les quille fixe!!!!
le quillard est parait il plus securisant en mediteranee
quand pensez vous

2013-06-01 - VillaHavn (Norvège)

Phare du monde

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2013-06-01 - VillaHavn (Norvège)

2022