Vendée Globe 2024 -14

Prochain à arriver, Antoine Cornic, qui a bien creusé l'écart sur ses 2 camarades avec qui il était jusqu'au Cap-Horn.

Et Eric Bélion, non-classé, probablement la nuit prochaine ou mercredi matin.

Plus qu'une centaine de milles pour Cali...
Il va faire en sorte d'arriver jeudi matin vers St Anne/Le Marin.

Oui, à 5 nds on traverse aussi... écoute son dernier message audio !
Je l'ai posté dans le fil précédent.

www.vendeeglobe.org[...]s/11225

Oui "P'tit Louis" est un gars bien sympathique... Je l'ai rencontré en 2006 quand il était équipier préparateur du bateau de Servane Escofier sur Skipper d' Islande. Je suis sa progression depuis et je suis bien content qu'il ait pu boucler ce VG.

Une chouette interview de Violette par Brut www.brut.media[...]arrivee

Super binôme ! www.lemonde.fr[...]42.html

La fête continue aux Sables :

A l'occasion du retour d'Eric Bellion aux Sables d'Olonne, un show Skip The Use est organisé sur la scène du village ce mercredi à 18h. Le chanteur prinicipal du groupe, Mat Bastard, est le parrain de l'imoca (Stand As One - Altavia) d'Eric Bellion.

Arnaud Boissière en vue de la Martinique...

En direct sur son FB il est déjà dans le port du Marin !

www.facebook.com[...]819234/

De rien, du coup j'en profite pour dire un grand BRAVO pour avoir ramené le bateau à bon port sans assistance.

Bonjour,
Un autre article sur l'association

Cali...

Sympa cette vidéo....beaucoup de modestie chez Cali...bon̈ne chance a lui pour la suite...

Il a utilisé la voile de kite mais cela ne fonctionnait pas comme il voulait et son gréement de fortune était plus efficace en terme de vitesse

Donc ce système fonctionne mal ?

Antoine Cornic fait du tourisme, probablement pour arriver dans le bon timing pour l'ouverture du chenal

Voilà c'est fait, bravo à lui.
Chenal à 15h30

Fin de Vendée triste pour Szabi Wéores acuusé par son "mentor" Nandor FA (source FB)

"Nandor Fa a porté de graves accusations auxquelles je me dois de répondre.
Dans 30 nœuds de vent, je n'avais même pas atterri que la nouvelle m'est parvenue...
Mon « Mentor » Nándor Fa, membre senior de l'équipe hongroise IMOCA 60, a qualifié hier, dans un post sur son site, ma participation au Vendée Globe 2024 et a porté de graves accusations à mon encontre.
Sans identifier la source de ses « informations » qualifiant les finances de mon projet, et sans enquêter sur la gestion de mon budget, Alexander a qualifié (on ne sait quand) le côté trésorerie (en ignorant le côté dette opposé) et a ensuite audacieusement prononcé le verdict en public que « j'ai abusé de la confiance de mes Supporters ».
J'aurai l'occasion d'aborder les détails après mon atterrissage - au moins jusqu'à ce que le projet soit clôturé - mais je déclare que je rejette fermement les accusations !
Quelques détails économiques :
- Le projet 2021-2025 fonctionne avec un budget élaboré en collaboration avec Nándor Fa (nettement plus modeste que le précédent projet hongrois 2013-2017).
- Pendant le projet, j'ai dépensé et je dépenserai tous les HUF exclusivement pour le projet (conformément aux attentes de Nándor) ;
- Je n'ai pas reçu de paiement de la part de la société, je n'ai pas facturé une autre société.
- Mes contrats avec mes principaux sponsors étaient d'une durée d'un an, que j'ai dû régler après chaque année et renégocier l'année suivante.
- Les règlements pour les subventions 2024/25 n'ont pas encore été finalisés (dans certains cas, ils n'ont même pas commencé), j'ai reçu les subventions sous forme d'avances, que je dois comptabiliser dans le strict respect de la loi, conformément au contrat de subvention !
- Par conséquent, jusqu'à ce que les comptes ouverts soient clôturés, nous ne pouvons PAS parler de l'argent restant sur le compte, mais seulement des avances à régler.
Ma conscience et ma gestion sont claires. Je n'ai pas d'appartement panoramique aux Sables d'Olonnes, je n'ai pas acheté de catamaran de luxe, les membres de ma famille impliqués dans le projet n'ont pas travaillé pour un salaire, je n'ai pas de gros bateau à moteur pneumatique, je n'ai pas de BMW, il ne me reste pas plusieurs tonnes de carbone dans mon garage et je ne pourrai pas vendre mon bateau pour près d'un million d'euros.
Je me plains du manque de professionnalisme dans la communication des informations à traiter au sein de l'organisation hongroise de l'équipe IMOCA ; je me plains de la violation de la confidentialité dans les accords de parrainage, de la communication qui a porté atteinte à l'honneur et à la réputation des parrains et du fait que toutes les questions soulevées dans le cercle des parrains ont été traitées par Alexander par l'intermédiaire du public.
Je trouve indécente et scandaleuse cette communication qui ne rend pas seulement service à moi-même, mais aussi à la cause du Vendée Globe dans son ensemble, et donc à tous les acteurs, sponsors et soutiens impliqués."

Voila la com initial de Nador Fa

Notre modérateur hongrois Gyula Radics nous a transmis le texte que Nandor Fa, triple participant au Vendée Globe (et double finisher), a publié sur son blog. Nandor Fa a aidé Szabi Weores à participer. Gyula nous met en garde contre le fait que Nandor Fa est un peu controversé en Hongrie et que ce texte ne reflète que son sentiment, et porte un peu atteinte à Szabi Weores, alors même qu'il dit être son mentor. Cependant, il nous est paru interessant de publier ce texte car il montre aussi la difficulté de monter des projets dans des pays sans culture maritime. "13/02/2025
Pour commencer : pour moi, la voile en solitaire et le Vendée Globe ont défini et rempli près de 40 ans de ma vie active. J'ai participé au VG 2016 en tant que compétiteur, et depuis, j'aide partout où je peux et là où cela en vaut la peine. J'ai aidé Denis Van Weynbergh, qui navigue sur mon ancien bateau, avec des conseils et des actions, j'ai aidé Conrad Colman avec des détails professionnels et philosophiques, et j'ai aidé Szabolcs Weöres avec tout, dans un rôle dit de « mentor ». Tout cela tout en dirigeant mon entreprise, en plus de mon travail, sans aucune rémunération.
Szabolcs m'a contacté il y a environ 4 ans avec l'ambition de participer au Vendée Globe 2024. À l'époque, il semblait que mon ancien bateau était à vendre, donc le plan s'est basé sur cela: Racheter, préparer, puis relever le grand défi. Entre-temps, Denis a changé d'avis et Szabolcs a décidé de chercher un autre navire. Il y avait plusieurs options, mais le choix était déterminé par le budget.
Dès la première minute, nous avons discuté de presque tout, ma porte était toujours ouverte à Szabolcs. Pendant que Szabi étudiait les options pour le bateau, moi-même et un ami qui pouvait et voulait aider, nous avons rendu visite à des sponsors potentiels pour rassembler les fonds nécessaires pour Szabi. Nous avons avancé en utilisant toute ma crédibilité et mon réseau de contacts, et au moment où le moment est venu d’agir, nous avions le financement et l’engagement nécessaires pour notre niveau de soutien.
Szabi m’a demandé mon avis sur presque tout, mais à l’exception des détails de sécurité, je lui ai laissé la liberté de prendre des décisions.
Finalement, je ne peux énumérer que quelques détails dans lesquels il a réellement accepté le conseil.
La décision est prise, il achète le bateau et un long processus commence, avec des conversions, des préparations et une série de courses de qualification. C'est une période chargée pour lui, et en arrière-plan pour moi aussi. Avec ma porte, mon atelier, mon réseau de contacts à domicile et aux Sables d'Olonne ouverts, je me suis occupé personnellement d'innombrables choses, parfois à mes frais. Je n'ai rien regretté, le Vendée Globe est une cause sacrée pour moi.
Je dois aborder ici un détail important. Même si je connaissais Szabi avant, il était membre de mon équipe de course transatlantique, je ne le soutenais pas, mais je soutenais la cause: Amener quelqu'un de chez nous à la course du Vendée Globe et montrer à ceux qui viendront après nous que c'est possible.
Je pense que cette course était la dernière à laquelle on pouvait accéder avec des conditions financières encore modestes. L'écart se creuse, il y aura toujours plus de foilers modernes dans le monde, les anciens navires, relativement moins chers, ne pourront plus entrer. La prochaine compétition repousse déjà les limites avec de nouveaux développements vertigineux. Nous ne pourrons pas y arriver avec ce qui est disponible à un prix abordable. Je dois noter que dans mon cas, cela n'était auparavant financièrement possible que si je concevais et construisais en grande partie mes navires moi-même.
Szabi a pris la route avec les étapes attendues et minimales nécessaires. Pas toujours de la manière que je pensais être la bonne, mais j’ai reconnu qu’il avançait sur son propre chemin, à son propre rythme, dans les limites de ses limites professionnelles et humaines.
Au cours du dernier mois avant le lancement en novembre 2024, le travail se poursuivait encore dans mon atelier, principalement moi-même, produisant moi-même les panneaux de réparation nécessaires et terminant la réparation du gouvernail de rechange cassé du navire.
Ils ont transporté ma moto de mon chantier aux Sables d'Olonne pour que ceux qui en ont besoin aient de quoi sortir avant et au départ. Elle a servi à la sécurité et aux médias.
Pendant ce temps, Szabi répétait sans cesse qu'il n'y avait plus d'argent pour quoi que ce soit, qu'il n'y en avait plus et qu'il n'y avait plus d'argent pour les nouvelles voiles nécessaires. C'était un sujet sensible car la grand-voile qu'il avait choisie et fabriquée n'était pas de la qualité qui aurait pu être utilisée pour terminer un Vendée Globe. Je le lui ai dit des mois à l'avance, et il a compris, mais on ne peut pas dépenser « rien ». C'était la même chose avec la moto et d'autres achats. Soit c'est gratuit, soit ça ne l'est pas. Le pauvre gars fait autant et aussi peu que son budget serré le lui permet. Tous ceux qui étaient dans l'entourage de Szabi, moi y compris, ont fait leur travail dans ce sens, en faisant tout ce qu'ils pouvaient pour se présenter de manière digne dans cet environnement par ailleurs très exigeant.
J'ai senti pour la première fois que quelque chose n'allait pas avec Szabolcs dans les jours précédant le départ. Il n'a pas communiqué d'une certaine manière, je n'ai pas vu dans ses yeux qu'il voulait mordre dans le projet et qu'il avait hâte de partir et de le montrer. Il n'était pas complètement là.
Ils sont partis. Calme presque complet, puis vent du nord augmentant lentement.
Le troisième jour, ils avaient déjà dépassé le cap Finisterre lorsque la nouvelle arriva que le navire s'était couché dans une rafale de vent, que son gennaker s'était irrémédiablement enroulé sur l'étai et que sa grand-voile était déchirée. Aucun détail, silence de mort. Moi qui étais en partie responsable de la communication de crise, je ne savais pas non plus faire mieux.
En réaction immédiate, nous avons cherché et préparé, grâce à nos connaissances, une baie protégée à Madère qui aurait pu convenir pour s'arrêter et réparer sans dérangement. Ce n'était pas bon pour Szabi, il a continué vers Gran Canaria à mi-vitesse. Las Palmas est meilleure, plus sèche, plus chaude. Il s'est arrêté là. Il a reçu une pénalité de temps pour avoir utilisé un moteur en entrant dans la baie protégée du grand port, mais les organisateurs ont accepté qu'il utilise l'infrastructure portuaire, c'est-à-dire qu'il était attaché à un coffre installé, ce qui était auparavant interdit. Ainsi, au moins, nous pouvions voir sur la webcam du port comment il travaillait à la réparation de la grand-voile.
Il se retrouvait soudainement avec un écart de plusieurs centaines de kilomètres sur l'arrière du peloton, un écart qui devait augmenter une fois qu'il entrerait dans un système météorologique différent.
Lorsqu'il atteignit la côte brésilienne, il était déjà à 3 000 milles des navires de tête.
Nous avons entendu et lu de lui qu'il avançait à un rythme soutenu, qu'il restait encore beaucoup à faire, qu'il essayait de rattraper les autres, alors qu'il était clair qu'il évitait les vents favorables à la poursuite de la course et se dirigeait vers Le Cap. Puis la nouvelle est arrivée qu'un des haubans de soutien du mât s'était cassé, ce qui l'a malheureusement obligé à accoster au Cap et à abandonner la course.
C'est tout pour la compétition jusqu'à présent.
Szabi est rentré chez lui en avion depuis Le Cap. Il m’a contacté, m’a raconté son histoire sur les événements et m’a fait part de ses projets pour l’avenir.
« Je veux continuer le circuit, parcourir seul la distance Le Cap-Le Cap autour de l'Antarctique, pour expérimenter et prouver mes capacités et celles du navire. En attendant, récompensez les supporters et les fans enthousiastes avec une communication appropriée". J'étais d'accord avec lui.
Deux semaines plus tard, par sa partenaire, Irina sur Facebook, Je l'ai appris aussi d'un autre côté - ils sont repartis ensemble, en sens inverse, en remontant l'Atlantique, vers l'Europe, avec l'explication qu'ils voulaient arriver ensemble aux Sables d'Olonne avec la fin du classement, avec ceux qui se sont frayés un chemin à travers la course et les océans du Sud, en suivant les règles.
Immédiatement après le début en novembre, à mon retour chez moi, j'ai appris que le compte du projet Szabolcs, qui ne contenait que des fonds de sponsors liés au concours, avait une partie importante du budget inutilisée. Il est difficile d'expliquer comment et pourquoi tant d'argent est resté sur le compte alors qu'il n'avait d'argent pour rien - il a choisi à plusieurs reprises des solutions bon marché et inadaptées et a constamment joué le rôle d'un homme pauvre dans les médias nationaux et internationaux.
Même si je n'ai pas eu mon mot à dire sur les dépenses et que je ne le voulais pas, je me sens quand même moralement responsable avec le recul. C'est ma prise de position en faveur de Szabolcs et ma crédibilité professionnelle qui ont ouvert les portes et convaincu les décideurs.
Maintenant, je demande pardon à tous ceux qui ont pris des décisions positives à cause de moi. En même temps, je comprends aussi leur comportement – ​​s’il se produit – qui consiste à ne pas exiger de comptes ni de réparation au nom de leur dignité et de leur bonne réputation.
Le Vendée Globe est une course où tout le monde peut avoir des problèmes, tout peut leur arriver, à tout moment. Cette course est également celle où la plupart des bateaux ont eu des accidents graves et des dégâts techniques. Ils ont grimpé au mât – même d’une seule main – assemblé, cousu, réparé, sur la course. Les concurrents ont encore dû faire face à des blessures irréparables et à des pertes irremplaçables, et ceux qui le pouvaient, après des réparations rapides, ont continué et terminé le voyage dans le respect des règles, terminant hors compétition. Nous avons vu de bons exemples de personnes qui ont tenu bon jusqu’au bout, mais malheureusement nous avons aussi vu des alibis.
Szabi n’a pas promis de parcourir la distance. Mais surtout, il n’a pas promis de rentrer chez lui en vainqueur. Il s’est toutefois engagé à faire tout ce qu’il pouvait et comptait faire de bonne foi pour assurer le succès. Il s'est engagé à apporter joie et fierté à lui-même et à ceux qui le soutenaient en mettant le meilleur de ses connaissances et de sa diligence. Finalement, il a accepté – et cela s’est adressé à moi en particulier – de consacrer les subventions obtenues exclusivement à la préparation. Pour répondre à ces attentes fondamentales, il disposait du bagage financier approprié et de l’équipe qu’il avait sélectionnée, dont je faisais partie. Cependant, il n'a pas utilisé une partie importante des fonds pour une raison quelconque, due à un manque de préparation, et a ainsi abusé de la confiance de ses partisans. Ainsi, nous pouvons également dire que le soutien non utilisé devrait être restitué après le règlement final.
Sur un point, Szabi semble détenir le record du Vendée Globe : personne dans l'histoire de la course n'a jamais considéré sa préparation comme un business, n'a voulu en tirer de l'argent. J’aimerais croire que ce n’était pas l’objectif initial, mais certains signes laissent penser que cela aurait pu l’être.
Je suis extrêmement désolé que, contrairement à l’objectif initial, il soit désormais devenu presque impossible pour quiconque de trouver un soutien similaire pour y croire dans un avenir proche. Beaucoup d’argent a été dépensé, nous n’avons pratiquement rien reçu en retour, et ma crédibilité construite au fil des décennies a également été érodée.
Je peux vivre avec cette perte, bien que très tristement, mais ceux d’entre vous qui ont encore des ambitions ont vu leurs options considérablement réduites."
Je suis désolé pour la profession de marin, je suis désolé pour ceux qui voulaient y croire et qui étaient enthousiastes. Je me sens également un peu désolé pour ceux qui l’ont soutenu sans critiquer, et qui le font encore. "C'est bon, Szabi, tu leur montreras plus tard, tu gagneras même..." Je suis désolé pour toi, car cet échec peut être vraiment décevant pour toi aussi. L’optimisme du Trésor est une bonne chose, mais l’avenir ne se construit pas sur cela, mais sur les réalités.
Sur les ruines de mon optimisme, je n'aiderai dans le futur que quelqu'un qui débute en Mini 6.5 et continue ensuite en Figaro à acquérir les connaissances et la crédibilité pour avancer. Il sera possible et utile de les aider à nouveau.

D'où sort cette logorrhée? Copié collé d'où?

... Pas tout lu, ça coince. 150 lignes...
Dire en deux mots qu'ils sont en désaccord aurait suffit à mon sens.
Les questions complexes d'argent, de finances, de retour sur investissement, toutes ces considérations devraient être dans une rubrique séparée, peut-être ? Dans "le monde de l'économie" ou dans "capital" !?
Voileusement, Pierre

La pauvre Oliver est tanké à 2kts à 4mn de la ligne, ça doit être rageant.

Belles images de crépuscule ! Et il y a toujours du monde sur les jetées !

Il a bouclé la boucle et fait son Vendée Globe : Bravo !

L'arrivée de Jingkun Xu, vers -33'

On dirait que ça marche pas ? Ah si, il faut persévérer, les images sont sublimes...
Où on apprend qu'il était vigneron avant son accident et l'amputation du bras gauche !

Et toujours un monde fou pour l'accueillir !

A la place, le CR :

www.vendeeglobe.org[...]e-globe

Et un grand BRAVO à lui.

Bravo à lui, et bon courage aux 3 concurrents encore en course.

Une histoire de filles encore ! Cole Brauer a convoyé son bateau MORNING LIGHT de La Corogne à Sydney, en double avec l'Australienne peu expérimentée, qui venait de le lui acheter ! La classe.

voilesetvoiliers.ouest-france.fr[...]4a5b776

Petit papotage hier avec Eric Dumont ,2 Vendée globe à son actif ,7 tours du monde ,68 transats ….

Bonsoir,
Dans les temps ancien on affalait, toutes les 3 semaines environ, la VG pour couper 10 cm de drisse là où elle s'use sur le réa et le point de drisse de la GV, un beau noeud et on hissait à nouveau la VG.
Maintenant avec le dyneema on pense que c'est inusable!

Exacte mais entre la têtière du génois et le hook, il y a 10cm de drisse qui sont en souffrance. Surtout l'oeil de la drisse qui s'ouvre comme pour Jean Le Cam.

Ça risque d'être très juste de finir dans les temps pour Denis.
Fermeture de la ligne le 07 mars. Il faudrait qu'il fasse autour de 6 noeuds de moyenne pour y arriver. Pas gagné si il doit naviguer sous GV réduite dans les petits airs prévus ces prochaines jours...

Denis a pu repasser une drisse et hisser sa GV au ris 2.
Il va pouvoir rentrer aux Sables, mais pas sur qu'il soit dans les temps.

Manu Cousin à moins de 100 milles, il devrait arriver demain samedi.

J'essaierai de regarder son arrivée en direct.
Respect pour tous ces marins qui ont fait un tour du monde en solo.

Bonjour à toutes et tous.
Comme Lorem Ipsum :Respect pour tous ces marins qui ont fait un tour du monde en solo.
Bonne soirée à toutes et tous. Denis et Democrite

Cela fait plaisir de le voir proche du but. Il est sous le soleil.

Pour l'instant il fait un bord vers le NNW vers Yeu. Il n' a pas passé la ligne.
Peut être a t il envie d'aller voir la Bretagne Sud avant l'arrivée en Vendée?
Vitesse 8 à 10 nds VMG négatif. Il est à 29 milles de la ligne.

Antoine Cornic est attendu à La Rochelle cette après-midi (suivi par le Belem). www.sudouest.fr[...]509.php

Je n'imagine pas la torture pour Denis, vent en plein dans le nez jusqu'à l'arrivée ! Par contre, pourquoi fait il un bord tellement à terre alors que l'endroit va devenir pétoleux sous peu...

Ces Imocas font du près digne d'un trois mat barque :-(

Les derniers concurrents ont exactement des vitesses de cap-horniers.