bateaux abandonnés

José, à force de lire la presse avec assiduité, à force de croire tout ce que racontent ces "journaleux", j'en arrive à croire qu'ils ont réussi à te manipuler, à te retourner !

Et en plus t'es abonné.
Ils t'ont bien eu ! :)))

Pour moi le journaliste qui a pondu cet article est clairement à la solde du des puissances du fric en général et du port du Kernevel en particulier ;-)

Le lobby des ramasseurs d'épaves exerce des pressions considérables sur l'autorité politique de la ville de Lorient.
Chaque conseil municipal se déroule dans la terreur et l'épouvante.
A la sortie, les mains des petits élus fragiles sont halitueuses.
Ils rentrent à la maison en rasant les murs, effrayés par leur ombre.

La technique de ce lobby est classique : organisation structurée en Coalition Building, application de la Corporate Communication tant pour l'interne que pour l'externe, intervention permanente dans le Public Affairs, rédactions de Stakeholders (dossiers de synthèse écrits par des think-tanks pour chaque épave récupérée) et, enfin, usage systématique du Grass Root Lobbying pour étendre son influence, notamment en manipulant sans scrupules les abonnés au Télégramme qui sont également propriétaires de veux rafiots en bois et qui sont membres actifs sur des forums regroupant des amoureux de la mer.

Avec plaisir.

Il est également nouveau pour moi.
Le mot "moite" ne me convenait pas et j'ai trouvé celui-là qui m'a tout de suite accroché tant à l'oeil qu'à l'oreille ! :)

Lire...Yves, est souvent un plaisir.... :heu: