De l'inconfort en navigation

On parle souvent du plaisir de naviguer mais peu de l'amer confort en mer.

Il s'agit d'aborder ici le sujet de l'inconfort qui survient parfois en navigation.
Ces désagréments qui influent sur l'humeur de l'équipage peuvent concerner le bateau lui-même (conception, équipement restreint, vie à bord...), être liés aux éléments naturels ( état de la mer, météo, température...) ou les deux (route suivie, allures...).

En navigation, quelles sont les bonnes recettes pour remédier à l'inconfort marin ? Pourquoi le supporte t-on ?
Quel est votre pire souvenir et comment avez-vous atténué cet état de gêne ? Anecdotes bienvenues.

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L'équipage
21 mars 2013
21 mars 2013

L'inconfort en mer, comme l'enfer, c'est les autres.
Les stressés permanents, les indécis, les fumeurs du matin tôt, les trop bavards, les jamais contents.
Avec quelqu'un calme par tous les temps, qui prend les choses comme elles viennent, fait ce qu'il faut quand il faut, sait contempler la mer en silence, apprécier la beauté du monde... c'est le nirvana et on supporte facilement tous les inconforts de la nav.

22 mars 2013

C'est surtout un question de durée. Y'a toujours des moments + ou - inconfortables, et c'est tant mieux parce que ça met en valeur les moments sympas. ;-)
C'est quand ça s'éternise que ça devient pénible, question de tolérance propre à chacun. :langue2:

22 mars 2013

La houle longue et bien présente d'une fin de dépression sur l'Atlantique, plus un pet de vent pour appuyer le bateau, et l'odeur de gasoil de cet injecteur qu'il a fallut encore purger . . . . . . .

22 mars 2013

Oui, surtout qu'on est toujours "l'autre" de quelqu'un… et par conséquent être l'infernal. Moralité : naviguer seul. :goodbye:

Sinon, comme dit GG la houle sans vent, c'est usant. :-(

Ou un cockpit mal foutu (enfin pas sa taille) où on a du mal à se caler lorsqu'on doit barrer de longues heures. Mais bon, ça donne l'occasion de râler, alors c'est que ça va :langue2:

22 mars 2013

Franck dubosc a assez bien parodié les quelques inconforts et petits désagréments de la voile, en solitaire entre autre : D

22 mars 201322 mars 2013

Pour un inconfort mineur, tu as les protèges slips. Sinon, pour un inconfort plus sérieux, il y a beaucoup trop de modèles différents pour pouvoir te conseiller.

Maintenant, si tu dois purger ton injecteur trop souvent, comme dit G.G., je te conseille de consulter sans plus attendre. Tu auras une meilleure qualité de vie. .

:doc:

22 mars 201322 mars 2013

Comme disait Renaud:
J'ai eu si mal au cœur
Sur la mer en furie
Qu' j'ai vomi mon quatre heures
Et mon minuit aussi
J' me suis cogné partout
J'ai dormi dans des draps mouillés
C'est la plaisance, c'est le pied!

Tout est affaire de sensibilité, de degrés
Personnellement, en dessous de 10° C (le matin) et de plus de 25° de gîte (sur chaque bord), de force 7 (dans les vagues, surtout) et en dessous de 12° dans les verres (mais pas plus de 55, là ça brûle) je n'apprécie pas...
Pas plus non plus de 4 à bord et au moins la moité qui sache différencier une écoute d'une amarre sinon tu n'es pas tranquille, même quand tu vas pisser ...
Pour 3 jours, on peut déroger à l'un ou l'autre de ces principes ... pour plus, "l'enfer" peut devenir "les autres" comme dit MN31...

22 mars 2013

L'inconfort pour moi, c'était hernie discale avec sciatique.

Sinon, l'inconfort en mer est annulé par le bonheur d'y être.

P.tain que c'est beau ! :mdr:

22 mars 2013

Moi j'ai pas de coussin dans mon carrè...
Et après l'apèro , j'ai mal au c...l!!!

Mais pour moi le rèelle inconfort c'est de ne pas avoir confiance en sa monture...ou en l'equipage!
Après quand sa bouge , que sa pue, que c'est mouillèe...Bof!
Tant que la bouteille de rhum n'est pas seche et qu'il reste des boites de cassoulet...tous vas bien pour moi!

Mais ma copine n'est pas du même avis...

22 mars 2013

moi je navigue pas en equipage , en solo a deux exeptionnellement trois, bref les autres sont sympa.
A part le mal de mer , j'ai reglé le mien mais j'ai pas de methode, je trouve qu'il n'y a inconfort reel que pour faire la cuisine et manger tranquille.
en tout cas c'est moins inconfortable que de voir un flic avec son radar

22 mars 2013

Le vrai inconfort c'est quand le sommet du mat est dans l'eau et qu'il est temps de déménager dans la survie...

Plus sérieusement, mais jamais essayé c'est les navigations ou les embruns te font des stalactites de glace sur les filières, en résumé un temps à tuer rapidement un méditerranéen :mdr:

22 mars 2013

Pour moi, en croisière côtière, le vrai inconfort, il n'est pas en mer, car il n'est pas subit.

Si les conditions sont vraiment merdiques et qu'on part, on assume l'inconfort pour les quelques heures de la traversée.
Et on a toujours la possibilité d'agir pour équilibrer le bateau (tirer des bords de largue au portant, modifier sa route de 20 degrés, réduire, etc.)

le vrai inconfort, celui qui me fout en rogne, c'est celui qu'on subit sans pouvoir agir... celui du mouillage.

Y'a des fois, j'ai beau faire, changer de place, mettre un tangon et un sceau, mouiller par le milieu avec une pantoire, ça roule, et ça me fout la gerbe.

A tel point que, au milieu du dîner, voir après le coucher, à bout de nerfs, je relève le mouillage et je reprends la mer pour aller ailleurs... et là, c'est la crise à bord, parce que ma femme ne supporte pas ça.

Je n'ai eu que des dériveurs, et accidentellement un quillard. Ceci explique cela !

22 mars 2013

plus d inconfort depuis que l on voyage sur un catamaran

24 mars 2013

Avec un sceau, si t'as personne pour le garder, pas étonnant ! :heu: :alavotre:

23 mars 2013

Parlant d'un con fort, je vous suggère de (ré)écouter deux petites merveilles.


23 mars 2013

L'inconfort physique, c'est un bateau qui tape et qui mouille trop, ou trop gitard, ou/et rouleur au mouillage.

L'inconfort moral, c'est de ne pas être son propre maître à bord, et donc à la merci des décisions d'un tiers. Heureusement, cela m'est arrivé très rarement :-)

24 mars 2013

Bien d'accord avec wild et Emma!

23 mars 201323 mars 2013

Tout à fait d'accord avec le dernier message de C'est emma, et pour moi, à terre comme en mer ou n'importe où, le confort "moral" est plus important que le confort physique;

A titre d'experiences persos, à choisir je préfère largement me débrouiller sur un voilier à l'arrache dans du mauvais temps, mais seul maître de mes choix, plutot que de devoir supporter les choix de tout un groupe, même peu nombreux, en plein soleil et belle mer
Et pour avoir fait quelques périples à vélo, je prefère largement "l'inconfort" physique de rouler dans le froid, le vent, la pluie, mais en gardant ma liberté, plutot que de faire le même parcours dans un train climatisé rempli de gens peu aimables voire "gênants"
Comme disait je ne sais qui, mieux vaut un petit chez soi qu'un grand chez les autres ;)

24 mars 2013

On s'aperçoit à travers vos contributions que l'inconfort est, en fait, moins lié au bateau et aux éléments naturels qu'à la présence à bord de personnes susceptibles de gâcher une navigation par contamination d'un malaise, décisions inappropriées, comportement inadapté, etc.

La solution pour certains est de naviguer seul, pour d'autres il faudra prendre sur soi et supporter personnellement l'inconfort. L'individualisme prend alors le pas sur la volonté de rendre aux autres plus agréable le voyage.

Mais, si l'individualisme prime sur la volonté collective d'améliorer une situation, est-ce qu'on aggrave pas le malaise ?

24 mars 2013

Dicton marin :

"si tu veux te fâcher avec ton meilleur ami, emmène-le en bateau..."

A méditer... :heu:

25 mars 2013

Dicton pas marin

<< ce faire mener en bateau>>

A mediter aussi

24 mars 201324 mars 2013

Oui
à Arthur (mon post s'est mal intercalé)

:pouce:

24 mars 201324 mars 2013

@Arthur G
Aggraver son propre malaise ?
Personnellement, je n'aimerais pas naviguer en solo, donc soit tout baigne et il n'y a pas de problème, soit je supporte, si cela ne dure pas trop longtemps, soit je renonce.

Il est difficile de parler de ça en général.
Il n'y a que des cas particuliers.
Je me souviens d'une balade de 2 semaines à 4 couples sur un GinFizz de loc, Port-Vendres - Baléares et retour.
Seuls mon mari et moi connaissions les 3 autres couples, qui ne s'étaient jamais vu avant.
Pas de souci en nav, nous avions choisi le plus expérimenté comme CdB et tout s'est bien passé (il est sur HéO mais intervient rarement, il se reconnaîtra peut-être ?)
C'est au niveau de la vie quotidienne à bord que cela a vite été pénible par le seul fait d'une des femmes, qui a fini par avouer vers la fin qu'elle n'avait aucune envie de faire cette croisière au départ ! Dommage pour elle surtout. Tous les autres étant de bonne composition et contents d'être là, elle a fini par s'ostraciser toute seule !

Au vu de mon expérience (en famille, en équipage d'inconnus, entre amis) je pense, comme beaucoup, que l'équipage idéal en longue croisière, c'est le couple, quand chacun le veut vraiment et y trouve son compte.
Mais tout comme dans la vie à terre, il n'est pas immuable.

24 mars 2013

Premier problème : l'inconfort, pour moi, est dû au fait que le bateau navigue sur l'eau. Et qu'il faut passer son temps à se balader sur une surface au mieux instable, au pire agressive.
Régler le problème ? Ben... aller sur un bateau, parce qu'il navigue sur l'eau, qui est splendide, envoûtante, exaltante...
Deuxième problème : quand il y a des gens sur le bateau, ça crée bien souvent un inconfort.
Régler le problème ? Naviguer seul.
Troisième problème : naviguer seul, c'est angoissant, fatigant, pas très prudent.
Régler le problème ? Aller sur l'eau en espérant qu'on s'habituera, parce que
retour à la solution du premier problème !

24 mars 2013

La solution à "l'inconfort moral" de naviguer avec des gens plus gênants qu'agréable, sans pour autant être toujours un "ours solitaire", c'est donc de bien choisir et connaitre son équipage avant d'embarquer, ce qui est généralement le cas dans un couple, chez deux potes ou potesses, ou une famille entre autre;

Je crois que c'est Diogène le cynique qui disait à quelqu'un qui fréquentait des gens malhonnêtes ou peu "fréquentables", qu'il serait bien étrange qu'on choisisse avec soin les meilleurs compagnons de voyage quand on veut faire une traversée, et qu'on prenne par ailleurs au hasard ses "compagnons d'existence" quand on veut mener une vie honnête ;-)

30 mars 2013

On peut aussi se déclarer franchement misanthrope

Moi je préfère naviguer avec quelqu'un que seul ; seul, je m'emmerde ; mais c'est uniquement mon point de vue !

24 mars 2013

hello a tous
c est aussi le GV bordee a plat qui fait flac flac flac dans le ronron du diesel petole et mer formee

Une solution :
affale... :tesur: :mdr:

24 mars 2013

parfaitement, affale, pb 1 résolu, puis coupe le moteur, pb 2 résolu, puis couche toi dans un hamac, pb 3 résolu ...
:heu:

24 mars 2013

En TDM, l'inconfort (grace à la météo ), c'est quoi?
5% du temps en navigation? Et encore....
Enfin je parle pour un TDM par les tropiques et dans le bon sens parce que si c'est pour se faire chier et se geler , il ne faut pas venir se plaindre ensuite!
Et les rares fois ou le temps est vraiment mauvais, un bon pilote auto vous permet de rester à l'intérieur, dos contre une cloison, pieds contre l'autre et basta!
C'est à ce moment là qu' on est content d'avoir choisi un bon pilote et un bon voilier....

24 mars 2013

Le remède, c'est de s'habituer

Pour moi, le seul inconfort qu'il y a c'est le prêt par plus de 15nds, on ne peut pas faire a manger correctement et le bateau tape très fort. Mais on s'habitue.

24 mars 2013

Moi c'est un prêt de plus de 15.000 qui me serait inconfortable.

24 mars 2013

C'est pas ma faute, c'est le correcteur orthographique !
:-p

je suis en train de m'endetter, c'est l’inconscient qui parle :)

24 mars 201324 mars 2013

L'inconfort c'est : les mouillages rouleurs, la houle sans vent, la bricole du moteur en panne en pleine mer... Mais on s'en accommode et on oublie vite.

Quant aux compagnons de voyage, il me semble que, quand on les connaît bien à terre, on peut deviner leurs réactions en mer. C'est ainsi que je les sélectionne et n'ai jamais eu de problèmes à ce niveau.

Et puis, n'est-ce pas le rôle du chef de bord que de rassurer, mettre une bonne ambiance et supporter les petits tracas quotidiens ?

A mon avis, la meilleure des philosophies est de tout ramener à la bonne marche du bateau : c'est lui qui commande...

24 mars 2013

C'est pas moi que ça dérange le mouillage rouleur !! Il faut prendre un cubi bien stable plutôt qu'un bouteille de pinard qui passera sont temps a essayer de tomber sur les coups de roulis :)

24 mars 2013

J'ai pas dit "bon" :mdr:

Vu comme ça, l'inconfort c'est de boire du pinard dégueu :heu:

24 mars 2013

ça existe le bon pinard en cubi ??? :alavotre: ;-)

24 mars 2013

Une étoile pour toi. C'est le pire des inconforts!!! L'équipier qui me fait ça je le vire illico presto. Non mais ho!!! :-p

24 mars 201324 mars 2013

Pour moi, l'inconfort, c'est l'humidité et le froid surtout pendant les quarts de nuit où on lutte pour ne pas s'endormir . C'est l'odeur de la bouffe qui vient d'en bas à la cuisine alors que tu résistes au mal, la haut, à la barre .
C'est aussi le mouillage rouleur avec le bruit de l'eau sous la coque qui vient s'y rajouter .
MN31 et Bigornot ont bien décrits plus haut les autres "inconforts" passagers de la navigation ...
Finalement, faut être un peu maso pour faire de la voile . Parfois je me demande ce que je fous là et je me dis vivement que ça s'arrête ... ça fait 35 ans que ça dure ... Ben oui, finalement, je suis maso !!!

24 mars 2013

j'attends le topic "les plaisirs de la voile"

24 mars 2013

voir fil "le coup de foudre"... ;-)

24 mars 201316 juin 2020

C'est que le bonheur de naviguer est déjà bien décrit et partagé.
Alors que la question du confort se pose à tous d'une manière ou d'une autre. :-p
La preuve :

24 mars 2013

S'aventurer en mer pour le meilleur et pour le pire, ça me va...

24 mars 201324 mars 2013

Inconfort moral: repenser au naufrage du dernier bateau sur lequel on a navigué, la nuit dans sa bannette...
Pour y remédier; faire confiance au reste de l'équipage qui est sur le pont :bravo:

25 mars 2013

C’est quand l’inconfort physique dû aux mauvaises conditions de mer se double d’un inconfort moral que les choses deviennent vraiment pénibles.
Les deux ne sont pas nécessairement liés. On peut naviguer dans de bonnes conditions et se sentir « très inconfortable ».
C’est l’ambiance à bord qui fait vraiment la différence entre une situation confortable et une autre qui l’est moins. On peut très bien se trouver sur un bateau avec l’envie d’en finir au plus vite parce que tout simplement on ne se supporte plus.

25 mars 2013

je préfère l'inconfort relatif du bateau (quand on n'est pas à l'agonie) à celui de l'appart avec mes voisins ivrognes qui font le bordel jour et nuit alors que des camions bruyants (remorque avec ferraille) sillonnent les rues bosselées...
Au moins la mer ne me donne pas envie de tuer quelqu'un.

25 mars 2013

Kaj, retenir ses pulsions est mauvais pour la santé, lache toi un bon coup sur les voisins et les camions après ça ira mieux ..... du fond de ta prison :jelaferme: :acheval:

25 mars 201325 mars 2013

Ce qui est sympa en mer, c'est que t'as pas le facteur qui t'amène des factures ou impôts à payer tous les jours !

Bon, ils s'accumulent dans la boîte aux lettres de ta baraque quand même !
:tesur:

Donc confort à bord, inconfort quand tu rentres !

30 mars 2013

Ha...
préférer inconfort à un con faible,
un bon derrière confortable plus qu'un pète sec,
sinon vit gît lentement !

:jelaferme:

30 mars 2013

Des fois, par exemple le golfe de gascogne au pres, faut admettre que c'est un truc de mecs, de feles en fait, apres lors d'une croisiere cotiere, ou finalement le probleme c'est la cohabitation avec des personnes insensibles a la beaute de la mer..., chacun son truc et vive la solitude....kenavo

31 mars 201331 mars 2013

heu.... les nanas n'ont pas le droit d'aimer la baston au près dans le golfe ?
des filles "félées", ça existe, j'en connais plusieurs. (dont moi)

d'ailleurs, je dirais plutot c'est un truc de maso, plutot que de félé. et le masochisme n'est pas QUE masculin.

isabelle, de Skol

31 mars 2013

un bateau sera toujours moins confortable qu'une maison..(.et ce d'autant plus qu'il est petit,)et que mouvements et bruits,plus ou moins marqués,sont permanents....
Ainsi,ceux qui "n'abandonnent pas"les repères de confort terrien(avec toutes les conséquences de cet abandon)seront toujours déçus(au minimum)voire frustrés et agréssifs.....
Seule une solide motivation(plaisir de se déplacer à la voile/de découvrir des paysages/des pays/des escales/des mouillages.....)permet l'abandon nécéssaire,un "lacher prise"...ouvrant la possibilté de plus de sérénité,de calme,de plaisir...pas évident pour tout le monde
Au final,si ce qui nous pousse à aller en mer est plus fort que de rester à terre(en solo/en couple/en Famille/en équipage...)l'inconfort est balayé....
Reste aussi à réunir des conditions acceptables et réalistes
Bateau correctement équipé
sauf exceptions:pas de surpopulation(2 dans un 4 couchettes/4 ds un 6C/6 ds un 8C.....par ex)
tours de roles dans les taches diverses(en particulier:ranger,nettoyer/re ranger/re nettoyer/Rereet encore re....!)
enfin,idéalement,avoir du temps,beaucoup de temps

31 mars 2013

Bonjour

A mon avis, celui qui a titré la vidéo ne doit pas savoir la différence entre tanguer et rouler !

Alain :-/

31 mars 2013

Lorsque après une navigation mouvementée, l'équipage se retrouve au port, les yeux pleins de sel et le ciré mouillé.
Quand il s'entasse enfin dans le carré, mort de fatigue, qu'il lève son verre rempli d'un breuvage douteux qu'on n'oserait même pas déguster à terre. Quand ce sentiment soudain de plénitude et de bonheur l'envahit, peut-on parler d'inconfort ?

Butt of Lewis, Hebrides Extérieures .

Phare du monde

  • 4.5 (145)

Butt of Lewis, Hebrides Extérieures .

2022