en mer ,avez vous des phobies .

j'ai une vraie peur

que le moteur ne démarre pas quand j'en ai besoin..
c'est déjà arrivé plusieurs fois , c'est devenu mon hantise..:non:

Moi j'ai peur

des mecs qui ont peur ....
Je me réserve ça pour moi perso ;-)

chacun son truc

moi ce sont les chamois.

Je ne supporte pas d'en croiser un en mer.

Roses

comme les éléphants, les chamois ? :tesur:

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Eh bé !

[i]un sondeur qui donnait plus de 3000 m de fond[/i]... costaud le sondeur ! C'est quel modèle ? :heu:

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"la peur n'évite pas le danger"

Un faux "bi" pour éviter les catas ? :-)

"la peur, n'évite pas le danger" ?

Ben si : si par exemple j'ai peur de sauter, je ne saute pas ce qui m'évite de me casser la figure... :tesur:

Donc la peur m'a bien fait éviter le danger... non ? :reflechi:

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peur des algues

ma petite-fille, 15 ans, sportive, intrépide, ne supporte pas de nager ou même naviguer en annexe quand on peut voir des algues par 1 ou 2m de fond...
Une explication?

le feu du ciel !

Moi, ce sont les orages sur une mer plate et plombée, on ne sait pas où aller, mais une chose certaine , ça finit toujours par pêter tout près !
Les éclairages sont souvent fantastiques, mais le reste ça me fiche la trouille au ventre !

etre loin de la cote...

du tabac...
mais plus de feu !

:-(

appréhension

Lundi 16 mai - jour 15 - 3ème semaine - océan Pacifique sud.
Baromètre 1 017 hPa - houle du vent de 2 m - mer belle - vent de S/E faible - profondeur 9 800 mètres.
Position à midi : 22°34’S - 174°11’W - 89 milles au loch.

Aujourd’hui, j’ai décidé de faire un petit plouf dans cet océan paisible. L’eau est limpide et le regard y plonge à des profondeurs insondables.
Après avoir mis Hotu Painu en panne, j’enfile mon harnais de sécurité et l’amarre à un long bout, lui-même frappé sur le bateau. Je saute alors à la mer, équipé d’un masque et d’un tuba. Rien à signaler chez les œuvres vives, la coque est restée bien propre. Je m’éloigne d’une dizaine de mètres et contemple mon fier navire : drôle d’impression de le voir posé là, sur l’eau, au milieu de l’immensité. Quelques remous me font remonter pré-cipitamment à bord. Ont-ils été créés par le bouchain du tableau arrière, soulevé par la houle?...ou bien par la trouille de me faire dévorer par un monstre marin remontant des abysses ? Nous sommes au-dessus de la fosse des Tonga et nous nous balan-çons au dessus d’un gouffre de plus de 10 000 mètres de profondeur. Je remets du vent dans les voiles et Hotu Painu se déhale à 3 nœuds vers l’ouest. J’envoie la trinquette.
Après ces grosses émotions, je descends m’offrir un bon pe-tit remontant et retarder la pendule du carré d’une heure. Je ne le fais pas systématiquement, souvent plusieurs jours après avoir franchi la limite du fuseau horaire. Ce n’est que lorsque la durée du jour devient trop longue (ou trop courte) que je remets les pendules à l’heure. En bref, je vis à mon heure solaire.

phobie!

Dimanche 8 mai - jour 7 - océan Pacifique sud.
Baromètre 1 016 hPa - houle du vent, 2,5 m - mer agitée - vent de S/E, 20 Nœuds - profondeur 4800 mètres.
Position à midi : 20°11’S - 161°20’W - 152 milles au loch.

Cet océan, véritable autoroute planétaire, va me porter jus-qu’au bout du monde. Il n’est pas une force unificatrice, mais relie entre elles des cultures, et fait se rencontrer les gens, si différents soient- ils, qui veulent apprendre à se connaître.
Les vagues martèlent sans cesse les flancs du bateau. Le sif-flement du vent croît d’un ton dans l’immensité du ciel et arrache la crête des vagues. De longues traînées blanches cou-vrent la mer.
J’attends sans impatience le lever du jour pour prendre mon café dans le cockpit et observer mon environnement. La nuit, tout paraît plus violent mais ce n’est qu’une impression.
Le fait d’avoir un champ de vision restreint engendre une certaine appréhension.
J’aime beaucoup regarder la mer et l’horizon, les grandes traversées procurent un sentiment de grande liberté et d’espace. Je n’aime pas les sorties à la journée, c’est beaucoup de remue-ménage pour pas grand-chose.
A l’aube, je retarde ma montre et la pendule du carré d’une heure, celle de la table à cartes conservant l’heure de Tahiti pour les vacations téléphoniques avec ma famille. L’écran du GPS me donnera l’heure de Greenwich.
En faisant mon petit tour de pont matinal, je remarque qu’un grand requin de 4 à 5 m nous suit. De temps à autre, il sort le dessus de la tête de l’eau, comme pour nous regarder. Peu de requins ont cette attitude. J’ai d’abord pensé à un mako (parata en Tahitien) mais il a le dos bleu foncé. Celui-là a le dessus gris clair, sûrement un grand blanc. J’enfile mon harnais de sécurité car il me flanque la frousse. Maintenant il nage à quelques mè-tres sur notre travers bâbord et dans cette houle, se trouve parfois plus haut que nous : je peux l’admirer dans la transpa-rence aqueuse. Ce long fuseau clair, qui doit bien peser une tonne, est impressionnant dans la masse d’eau verte. Il disparaît soudain, tel une torpille, ne laissant qu’une tache blanche for-mée de bulles d’air. Quelle puissance ! Je scrute des yeux les alentours et aperçois son aileron dorsal fendre la surface de l’eau, juste derrière nous.
Il nous accompagnera ainsi pendant une bonne partie de la matinée.

??

C'est pas ce que l'on désigne sous le non de manœuvres de porc?

ah moi

c'est avoir envie de caguer pendant une prise de ri en solo!
ca je le redoute plus que tout parck'avec le seau de macon sur le roof en train de prendre le ri je vous laisse imaginer!
bon vent a tous!

SALOPETTE!

ah non, le jour ou je suis obligé de mettre un truc pour le froid je stop tout !!
lol

du mecano

Quand il vient pour me présenter la facture

comme Vasko

les orages je me suis fait prendre deux fois une fois sur le lac et une fois entre la Ciotat et St cyr c'est là sue j'ai vue un Sangria avec plusieurs points d'impacts et trous brulés sur la coque ce qui ne fait qu'augmenter ma petoche de ce phénomène
les cachalots s'il font route parallèle ça va, mais si comme il y a deux ans au large de Toulon un qui vient de face en arrêtant pas de soufflé et rester en surface, il venait d'être blessé par une vedette. on se sent tout petit ,

Bleo

voila c est pile poil le genre de situation qui me ferait flipper .

ps connais tu jacky et christine expatries bretons qui vive sur rangiroa?

XXX

tuquozaki :reflechi:?

Les manoeuvres de port clairement

particulierement sur Moluva (cata à moteur hors-bord fixe) et surtout les petits trajets au moteur sans voile à poste (de mon coffre à la grue par exemple).
Savoir mon equipage et mon bateau à la merci des caprices d'une tondeuse 2T à peine améliorée (même si il marche fort bien ça reste une saloperie de tondeuse) me met particulierement mal a laise et me stresse.

pendruig

bienvenue au club des stressés de la mécanique! Tu as remarqué certainement que les deux principales sources d'ennuis sur nos vaillants yotes sont le bouzin et les cagouinces :-) :-) :-) :-) :-) :-)

et le gsm

qui vole a l'eau hein ???????? personne a peur là ? :mdr:

Les ofni aussi

j'ai croisé une fois en manche un gros tronc flottant entre 2 eaux… depuis… j'ai la trouille de m'en taper un… surtout de nuit… l'impression d'une super roulette russe qui tourne…

Il n'y a pas bien longtemps, en ramenant mon bateau de Gwada, au beau milieu du canal entre la Dominique et la Martinique, 15 à 30 nœuds de vent, 5 jours après la houle du cyclone Omar, des bûches partout dans la houle (1 à 2 mètres de bûches dans une houle de 2 à 3 mètres) + débris divers, le stress a duré pendant 2 bonnes heures… après ce furent les bambous à la dérive… pas bien dangereux malgré leur taille, mais me faisaient penser à mon gros tronc d'arbre de la manche, de loin, glissant entre deux eaux dans la houle… obligé de rester debout, un œil toujours devant, malgré les bonnes douches des grains…

Bon au bout d'un moment on doit s'habituer…

de pas bien dormir

ou de trop bien dormir en fait
de me retrouver sur les cailloux au matin
parce que j'ai passé la nuit à en écraser ...

de ma femme aussi mais le répétez pas !!!

perso

:tesur: ce sont les antis siphons qui me hante!:doc:
celui de l échappement :

celui si on ne peut y échapper :reflechi:

celui des WC !:heu: