Plan de Voyage comment établir son Plan de Voyage

Bonjour

Je viens de mettre en ligne un manuel pour rédiger un Plan de Voyage conformément à la règlementation

www.magazine-bateau.fr[...]l_plan/

Je ne suis pas sûr que cela passionera les plaisanciers mais intéressera les skippers et Capts3

Ceci étant le VP est d'une grande utilité lorsqu'on navigue dans des conditions difficiles et/ou en mer inconnue, que l'on soit pro ou plaisancier..

On peut toujours naviguer avec le calendrier des Postes sans incidents pendant de nombreuses années, mais je connais quelques amis qui se sont fait piéger et ont cassé leur bateau faute de consulter les NTMs

Pour un skipper indépendant ou en convoyage un bon VP est un confort inestimable

Je suis à la disposition de ceux qui souhaitent des infos complémentaires

L'équipage
21 sept. 2023
21 sept. 202321 sept. 2023

Sans acronyme abscons, cela veut dire ?

21 sept. 2023

Pour le plaisancier, ça veut simplement dire préparer sa nav, en consultant cartes, annuaires de marées, guides et instructions nautiques. Pour les pros, il faut faire ça propre, sur un document spécifique et codifié

21 sept. 2023

Bonjour,
VP : voyage plan
NTM : notices to mariners

21 sept. 2023

En anglais (et SOLAS) on utilise plutot "Passage Plan", mais bon :)

21 sept. 2023

j'ai rien compris!!

21 sept. 2023

Merci Calypso 2.

21 sept. 2023

Entre naviguer avec le calendrier des postes comme le dit Odysseus, et s'obliger à tenir un plan de route rigoureux, il y a un juste milieu, qui consiste, comme juliusse l'a fait remarquer, à simplement préparer sa nav en tenant compte de la météo, des courants, des spécificités de son bateau, du traffic, de la composition de l'équipage, bref de tout ce qui peut influer sur la sécurité, la préservation du navire, et l'agrément de la navigation.

21 sept. 2023

Un livre de bord quoi.

21 sept. 2023

@tuperware, c'est l'inverse en fait, c'est le plan avant de naviguer. Mais c'est vrai que moi aussi mes notes préparatoires sont sur le livre de bord

21 sept. 2023
21 sept. 2023

Perso avant de naviguer dans une zone inconnue je divise la partie "navigation" en deux moments séparés: d'abord la préparation générale, on pourrait utiliser le terme "strategique", faite essentiellement à la maison, puis la période juste avant le départ (tactique).
Exemple "Il faut contrôler la météo avant le départ": bien sûr, mais au lieu de découvrir les sources spécifiques disponibles le jour avant le départ je préfère avoir tout vu avant.
Je fais un gros travail à la maison: sources/produits météo, communications, tables de marée, examen routes possibles, abris, pharmacie, etc etc j'ai une quarantaine de points comme ça; puis sur le bateau avant le départ je peaufine les détails et décide dans un sens ou l'autre selon ce qui se passe.
Avantage, quand je dois faire à nouveau la même navigation un bon morceau de la grosse partie préparatoire est déjà fait (seulement vérifier s'il y a de changements), il suffit juste de l'appliquer quand on est sur le bateau en préparant le départ effectif: dernières prévisions court/moyen terme, derniers avurnav, etc.
Pour le coté spécifique "bateau" chacun a ses trucs, pour moi une grosse différence est si c'est 1-2 jours ou bien large/longue traversée, pas mal de choses changent: régulateur/pas régulateur, eau/gasoil, bidons de survie, pièces détachées, voiles de réchange, etc etc

21 sept. 2023

Nos plans sont essentiellement fondés sur les saisons et vents dominants dans les différentes zones. Se trouver hors zone cyclonique dans les régions affectées, profiter des moussons dans le bon sens, être l'été dans les lieux tempérés.
Rien que ces informations influent beaucoup sur les routes et les destinations.
Sur quelques points spécifiques on s'aide du bouquin "ocean Passages for the world", dont j'ai une très vieille édition du début du 20ème et qui informe sur les routes préconisées pour les grand voiliers.
Livre dont Jimmy Cornell s'est beaucoup inspiré pour ses routes de grandes croisières.

21 sept. 2023

Tout-à-fait-Eric !

22 sept. 202322 sept. 2023

Je ne me suis jamais posé trop de question ED, si on aime la voile on lit tout simplement et on se dirige vers des endroits qui ont été décrits par ceux qui nous ont précédé, enfin c'est ce que je fais et après sur place, on va à la découverte.
J'ai deux "Jimmy Cornell" en ebook pour ceux que ça intéressent, juste m'envoyer un MP avec adresse mail, moi c'est pas trop mon truc mais il parait que c'est indispensable un peu comme les Glénans que j'ai déjà fourgué à des p'tits jeunes qui allaient voulaient apprendre à naviguer mais là, c'était le pavé de 3 kg...

21 sept. 2023

Plusieurs d'entre vous font donc un plan de voyage complet tout à fait correct, mais de façon plus ou moins formel; l'essentiel c'est que l'information soit accessible au bon moment; le formalisme c'est seulement un process

Roberto a raison pour les mises à jour avant le départ

Le but de ce manuel et de l'application qui en découle, c'est de fournir une trame de travail.

Mais de tout temps on a fait des plans de voyage sans l'exprimer ainsi; c'est juste une bonne pratique matitime.

Ce manuel est destiné à la formation des futurs capitaines et skippers;

21 sept. 202321 sept. 2023

De mon côté le formalisme est seulement pour essayer de ne rien oublier, quand les choses dont il faut se souvenir sont plus de trois j'ai absolument besoin de faire un liste sinon j'en oublie. A commencer par les courses: café bananes tomates ça va, si je rajoute en 4e le pain il me faut faire une liste écrite sinon sûr 100% j'en oublie un :D)

22 sept. 2023

Oui moi aussi, je suis adepte des listes pour tout, sur des cahiers type cahiers de brouillon dédiés à chaque domaine : Entretien, moteur, avitaillement, cartes, météo, etc. On barre quand c'est fait, mais on peut revenir en arrière et consulter des trucs oubliés...
C'est simple, il faut écrire au crayon papier, au cas où ça prenne l'eau...

22 sept. 2023

tient , un terme qui m'interpele "au crayon papier" ...un jour j'ai demandé un crayon papier ,et l'on ne m'a pas compris ..car tous les crayons sont pour le papier ..on m'a dit , un crayon 👍bois alors ...

22 sept. 2023

Le bon terme c'est crayon à papier... tes interlocuteurs étaient ignares ! ;-)

23 sept. 2023

Ou belges. C'est le terme utilisé pour un crayon à papier outre Quiévrain

23 sept. 2023

Mais en effet, un crayon à papier écrit dans toutes les positions et résiste à l'eau

21 sept. 202321 sept. 2023

En aviation (ou les conneries ont des conséquences x100 par rapport à la navigation) il y a le plan de vol mais même avant ça il y a les points pivots qui sont l'aéroport d'arrivée, aéroport de diversion éventuelle & la météo.

En navigation il me semble que grosso modo la même approche n'est pas idiote. On peut y ajouter d'autres éléments (courant si zone à courants).

Est-ce qu'il a des moments ou j'aurais souhaité être mieux préparé ? Au minimum je me sens particulièrement con si dans le mauvais temps le bateau fonçant je commence à feuilleter frénétiquement les instructions nautiques pour y voir la gueule du port d'arrivée lorsqu'on est à moins de 5 milles de celui-ci. Donc à faire avant de partir.
Je me sens aussi idiot si je me tape un bon orage avec grain quand je n'ai fais que consulter préalablement windy sans même y consulter la prévision vent option "rafales".
Pour le reste la navigation à la voile est tellement lente et pardonne tellement en comparaison avec l'aviation (j'ai un brevet (périmé) de pilote "multi-engine" et "instruments") qu'il faut déjà y aller fort pour se fourvoyer sérieux. Cette année-ci je me suis mis dans une "restricted area". Conséquences: rien. On aurait tord de se prendre trop au sérieux. Si j'avais été capitaine de voilier marchand à l'époque des cap horniers ça aurait été évidement considérablement différent.

22 sept. 2023

Rétrospectivement, je crois que je vais mourir de trouille ! :-)
Quand je repense qu'il y a 50 ans, je naviguais avec les cartes Michelin et un atlas scolaire pour plus loin, un sextant en plastique, une montre Kelton et les HO249, et un compas amovible qui servait aussi pour le relèvement. Il fallait mériter les mouillages de rêve où nous n'étions que 3 ou 4, là où aujourd'hui il y a 300 bateaux, dont la moitié de location.

Avec mon équipière on est allés comme ça jusqu'en Australie. Culottés mais pas inconscients, on y a laissé le cotre en bois qui prenait l'eau comme une passoire, pour revenir en avion.
Sans afficher partout nos "exploits". Juste quelques anecdotes à partager dans les soirées entre amis.
Aujourd'hui Big Brother nous prendrait pour de dangereux anarchistes, et pourrait bien nous envoyer en taule pour ça !

22 sept. 2023

Pfff Clojac, j'ai moi aussi navigué avec un sextant en plastique, une montre et les Ho249, mais ces instruments, tout aussi rudimentaires qu'ils soient, sont quand même de vrais instruments de navigation, alors que les cartes Michelin ne sont pas des cartes marines, et perso je n'ai jamais fait l'impasse là dessus, j'ai toujours navigué avec de vrais cartes marines, fussent-elles des photocopies, et j'espère que tu me pardonneras de penser qu'il est idiot de se passer de ces documents, essentiels à mes yeux. Sinon pour le reste c'était comme toi, pas de VHF, pas de feux de routes, juste une lampe à pétrole, et un vieux bib périmé.😏

22 sept. 2023

Quand on est jeune et fauché, et qu'on a la bougeotte, il serait idiot de rester chez soi à se lamenter et à reporter à plus tard des trucs qu'on ne fera peut-être jamais. Je préfèrais les risques assumés aux regrets.

Quant aux cartes... De Magellan à Vito Dumas, nos grands anciens s'en passaient bien.
Ceci dit, je n'ai jamais refusé les cartes données parfois par des gens des navires marchands, ou les offres de décalquer celles des plaisanciers. L'ennui est qu'on n'allait pas toujours aux mêmes endroits.

Le calcul mental, les yeux et les oreilles, et se mettre en panne au large en attendant le jour, étaient nos outils. D'autant qu'on n'avait pas de moteur.

On utilisait aussi la brochure gratuite du Shom pour avoir une idée des cotes, et la position L et G des points de destination ou de passage. Et un transistor ordinaire nous servait de gonio. À l'intensité du son et au nom de la station, on avait le cap à suivre.

22 sept. 2023

C'est vrai qu'on n'a pas conscience maintenant de ce qu'était la nav lointaine il y a 60/50/40 ans. Aucune communication, pas de gilet, ni de bib, pas de moteur ni d'électricité, ni bien sûr d'électronique ou de balise. Lampe tempête la nuit (parfois), peu de cartes, sextant (moi, c'était la formule Trigo et les tables de log)... et nous traversions les oceans. Mais la société dans son ensemble était bien moins obnubilée par la sécurité. Nous n'avions pas conscience d'un risque quelconque. C'est vrai que ça paraît aberrant avec nos yeux de maintenant

23 sept. 2023

N'exagère pas quand même ! il y a 40 ans, on avait le Satnav, même si on "contrôlait" au sextant ;-)
On avait aussi un bib, un moteur qui tombait en panne (ça n'a pas changé !) de l'électricité avec une éolienne plutôt que des panneaux solaires. Souvent pas de VHF, mais un sondeur (pas digital hélas).
Et de belles vraies cartes papier... On tenait compte des pilot-charts pour les traversées.
Si, on avait conscience de certains risques, en fonction des zones traversées et on faisait pas n'importe quoi, toi le premier je pense ? Mais ça n'empêchait pas de partir.

23 sept. 2023

Sur mon premier bateau à moi, je n'avais rien de tout ça. Juste un petit panneau solaire pour une radio et un sondeur seafarer. On n'a jamais eu de sat nav. Les feux de route, une lampe tempête. Le premier GPS a été vers 2000. Oui, les cartes papier familiales "dressées par ordre du roi".
Je ne pense pas "qu'on faisait n'importe quoi". je pense plutôt que les "normes" de sécurité ont évolué et qu'on les a parfaitement intégrées. Ces normes n'étaient pas les mêmes.
On se sent mal quand on est sans ceinture en voiture, et pourtant, c'était la norme à l'époque.

23 sept. 2023

Je n'ai pas dit que tu faisais n'importe quoi, loin de là !

Avec le Flot 40, nous sommes partis en 83 autour de la Méditerranée, sans GSE. Au retour, en 85, avant de partir pour plus loin, on a fait installer un GSE et on a acheté un des premiers SatNav.
On n'était pas les seuls à en avoir aux Antilles...

Plus tard avec l'Endurance 35, on a acheté le premier GPS en 95 à St Martin, mais là on était plutôt en retard ! Tous les bateaux de voyage en avaient déjà.

24 sept. 2023

Le satnav de 85, c'est le starlink de 2023?

24 sept. 2023

Je vois pas trop le rapport avec la ceinture de sécurité, mais question navigation, ça marche aussi bien aujourd'hui qu'avec ton premier bateau à toi, c'est juste la société de consommation et ta CB qui on changé.

23 sept. 2023

Il y a 45 ans, un sat nav aurait occupé la place d'un lave-linge.
Il aurait coûté aussi cher que mon esquif avec ses voiles en coton 100 fois recousues.
Et avec quelle énergie aurait-il fonctionné ? On n'avait pas de batterie à bord.

23 sept. 202323 sept. 2023

Allons bon, c'est de l'humour je suppose ?
Un SatNav est de la taille d'une VHF fixe, en gros.
En 85, on l'avait payé 850 FF (le SMIC était autour de 4.000 FF/mois).
On avait un moteur avec un alternateur qui chargeait les batteries, puis une éolienne. Et on n'était pas les seuls !

23 sept. 202323 sept. 2023

Hahaha,on est quelques-uns ici à avoir navigués avec nos bites et nos couteaux, mais je dois dire qu'après avoir connu ça, j'apprécie grandement le matos de navigation moderne. Par contre je trouve dommage que les nouveaux postulants jeunes et désargentés qui rêvent d'aventure et de balades au long cours, se sentent obligés d'attendre d'être équipés selon les normes actuelles. En résumé, si pas de sous, on part avec ce qu'on a épicétou, si on ne dispose que d'un petit bateau dénué de tout, on part avec, et on s'aperçoit que finalement on fait les mêmes choses que les plus nantis, et j'adhère à 100% à l'avis de Clojac quand il écrit: "Quand on est jeune et fauché, et qu'on a la bougeotte, il serait idiot de rester chez soi à se lamenter et à reporter à plus tard des trucs qu'on ne fera peut-être jamais. Je préfèrais les risques assumés aux regrets."

23 sept. 2023

Rassures toi BWV, avant de partir de Gwada, 4 jeunes étaient à Pointe à pitre et avaient acheter un bateau de 10m à un prix défiant toute concurrence et se préparaient pour le ramener en France, comme quoi ça existe toujours, mais ce n'est pas Hisse et Ho leurs lieu de partage, souvent ils se barrent vite fait bien fait surtout quand il expliquent ce qu'ils veulent faire, mais plutôt Facebook ou "x" maintenant, ce qui prouve que ça existe toujours tout comme ceux qui vont crier au loups de laisser partir ces dangereux marins d'opérette et aux risques qu'ils pourraient faire aux autres. Et c'est tant mieux que ça existe toujours cette envie de liberté chez les jeunes et moins jeune contrairement à ce que certains pensent.... 🎶😇

23 sept. 2023

Pour info, j'ai connu

mon premier bateau perso c'était en 73;
J'avais le luxe d'une VHF et d'une Gonio Sailor (trés beau matériel) pas de pilote mais un loch électronique

Plus tard est apparu le Loran (je n'en ai pas eu, puis le GPS que j'ai eu seulement après les années 2.000) les sondeurs étaient à éclats et assez imprécis.
On utilisait le Sextant pour aller aux Baléares bien que la Gonio ou l'estime suffise pour une petite traversée.

La différence est que pour naviguer il fallait acquérir une culture maritime auprés des anciens et savoir utiliser des cartes et docimentation à jour.

Les époques sont différentes; aujourd'hui je n'ai plus envie de naviguer et j'ai revendu mon bateau il y a deux ans

En effet, les plus jeunes sont confrontés à une sur-fréquentation qui entraîne une règlementation dissuasive, un encombrement des zones de mouillage et le paradis sauvage devient un parking de super-marché avec des sens interdits et des panneaux de stationnement, une pollution maritime épouvantable et un saccage de la faune et la flore.

Ne parlons pas des ports où je me mettais à couple des chalutiers dans les années 70 et où maintenant je vais dans la marina parking Vinci

Je suis de la générration Moitessier Colas; les bateaux n''avaient pas de salle de bains et la hauteur sous barreau était limité; en revanche une mer pure, sauvage, poisssonneuse où je pouvais aller partout dans la quasi-solitude (les ports étaient déjà encombrés car il n'y avait pas de Marina et donc un petit accueil pour la plaisance). (Porquerolles 4 bateaux au mouillage)

On pratiquait le Plan de voyage sans le savoir et personne n'avait songé à imposer cette bonne pratique maritime car elle était évidente; aujourd'hui où mes élèves me disent qu'avec leur téléphone portable on fait tout avec .............. on est obligé de faire un texte règlementaire pour rappeler les fondamentaux.

Disons que je n'ai pas envie de naviguer dans ces conditions et découvrir le monde avec Waze à bord et Vinci Autoroute me barbe. C'est un peu comme le pêcheur à la ligne à qui l'on file la canne à pêche automatique ou l'alpiniste à qui on installe un ascenceur.

23 sept. 2023

Tu as à la fois raison et tort. Raison si tu restes dans les eaux fréquentées, industrialisées et surpeuplées. Mais il suffit souvent de sortir de ces zones pour retrouver des conditions de navigation et de rencontre bien différentes. La Grèce et la Turquie hors Juillet/Aout sont encore délicieuses, l’Écosse, la Norvège ou la Baltique sont pleines de bonne surprises et pour les Antilles, hors iles françaises, on navigue bien tranquille.
Il y a plein d'endroits du monde qui restent abordables, sauvages et intéressants.
Mais aller à Port-Joinville ou à Porquerolles au mois d’aout, ce n'est plus vraiment possible.

23 sept. 2023

Et encore, Ed, même en Europe il y a toujours des endroits bien tranquilles, et encore plus hors saison.

23 sept. 2023

@ Flora : Parles-tu du système sat nav Transit qui avait besoin d'un ordi Univac des années 70 pour donner 1 à 2 points par jour dans le meilleur des cas ? Car il y avait de nombreuses zones sans couverture, ou volontairement bridée pour des raisons militaires.
Il m'est arrivé de convoyer des voiliers de riches et donc de connaître les délices de la navigation assistée. Dans mon souvenir, l'engin était impressionnant.

24 sept. 2023

@Clojac : je parle d'un appareil autonome qui s'appelait SatNav, j'ai oublié la marque, je peux le retrouver sur les photos argentiques. On n'avait pas d'ordi à bord à cette époque-là.
On l'avait tout bêtement acheté en 85 sur l'Accastillage Diffusion de Toulouse, ça venait de sortir en effet.
Il avait une antenne autonome aussi. Tout comme un GPS ensuite. Cela mettait un certain temps à faire un point, il y avait une douzaine de satellites qui tournaient à ce moment-là. On ne le laissait pas allumé en permanence. On l'allumait quand on voulait avoir un point, soit 1 ou 2 x /24h en traversée, à la place du point astro (ou en double, au début !).

En nav cotière, dans un endroit qu'on connaissait pas, c'était crispant parce que le point n'arrivait pas toujours au moment où on aurait bien aimé... mais en général ça faisait son office.
En 91, je l'ai embarqué sur un bateau ami que j'avais convoyé de Guyane au Vénéz' et ça avait super bien marché !

23 sept. 2023

Aujourd'hui j ai a bord du confort ,internet avec starlink,de l énergie avec le lithium,lecteur de carte ,un bon pilote hydraulique,de l eau grâce au dessal et ça me va bien ,le sextant et les ho 249 sont un lointain souvenir

24 sept. 2023

Et pourtant, tu ressens moins l'envie de partir, il me semble.

24 sept. 2023

Oui ,moins envie qu avant ,le voyage a bien augmenté pour laisser son bateau et rentré en France de temps en temps ,beaucoup plus de bateaux a l escale ,tqxe et documents plus compliqués.

24 sept. 2023

L ayant plusieurs fois c est peut être ça aussi le moins d envie

24 sept. 2023

C'est bien dommage. Question formalité, je sais pas si ça a beaucoup changé. Pour laisser le bateau au sec, effectivement ED parle de 500€ aujourd'hui, alors que c'était 100 avant. Je sais pas si l'avoir fait plusieurs est un bon critère, par exemple ton nouveau bateau, n'a tu pas eu du plaisir à le faire, même si chaleur et poussière de ponçage...(😁).

24 sept. 2023

A 80 %du plaisir de construction et de faire un cata de voyage et que fonctionne du premier coup ,depuis la mise a l eau la météo n est pas des plus sympa

24 sept. 2023

Remarque Pascal, je pensais ça aussi, mais depuis que je suis à quai, je t'avoue que ça me manque un peu... beaucoup.... ma liberté conditionnelle, il y a du bon aussi.

24 sept. 2023

Tu vas répartir aux Marquises ?

24 sept. 2023

Je ne sais pas pascal, mais ce qui est sûr c'est que je vais très certainement me racheter un bateau après Shazzan, et si c'est le cas ce serait une option, mais bon, je n'en suis pas encore là !

24 sept. 2023

Moi Pascal, j'ai vendu mon Mark2 il y 3 ans il me semble à la Martinique , à un jeune qui était ravi de s'y mettre. Trop compliqué pour moi, pu envie j'ai d'autres priorités aujourd'hui, comme celle de flâner...

Phare de Port-Navalo

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2022