qu'est ce que vous vous étes jurés de ne plus jamais faire ?
en gros pour reprendre le titre ,la ou les choses que vous ne feraient surtout plus jamais en nav, et au mouillage . je pense que cela peu servir a tous
Je commence gentiment : je me suis juré de ne plus jamais naviguer sans cordon sur mes lunettes, après en avoir perdu une paire (avec verres correcteurs) dans l'écluse de la Rance lors d'une manoeuvre un peu "chaude"
Partir en pleine nuit d'une place pourrie du fond d'un port du fond d'une rivière avec marée descendante et courant traversier et me retrouver dehors avec force 6/7 vent contre courant. Je deviens un poil trop vieux pour ça (c'était la fin de l'été 2020 en Bretagne nord).
Refuser de mettre le moteur sous prétexte qu'un voilier, c'est un voilier.
M'entêter à aller quelque part alors que le vent, lui, en vient précisément.
Partir pour un convoyage sur un bateau nouvellement acheté et non déverminé!
Aller affamer le spi sans m'attacher avec un équipage totalement novice.
Spi affalé, vent quasi nul tangon à l'horizontale contre l'étai ... Un petit coup de roulis je me retiens au tangon avec la main gauche juste le temps de réaliser que le tangon et moi étions tous les deux sur tribord et ma main droite accroche l'étai du bout des doigts ouf !
Donc même par temps calme pas de manoeuvres de spi en solo sans s'attacher !
Partir 15 jours en mer en ayant oublié 1kg de pousse-pieds dans la voiture.
D’attendre avant de réduire comme quand j’avais 20 ans , la veillerie arrive beaucoup moins réactif le garçon ! et madame aime pas quant les hublots latéraux font aquarium et que tout ce tasse dans les placards 😱😂
Partir côte au vent, surtoilé, en solo, sans pilote (pour affaler tranquille au moteur.
Promis juré !
Faire du sika sans chifons en me disant que ca va etre nickel.
Donner un rendez Vous précis quelque part à quelqu'un. Après, on stresse pour y être, on se presse, quitte à naviguer quand il le faudrait pas. Le bateau à voile, c'est pas un autobus.
S'engager à être à l'aéroport, pour une date donnée, quand c'est à 4 jours de nav'.
La prochaine fois, il prendra le taxi ...
Ne plus passer une amarre à un inconnu sur un ponton sans m'assurer qu'il sait à peu près quoi faire avec !
Une fois, à Lezardrieux, avec un bon petit courant traversier, je file la pointe avant à un gars qui se trouvait là. Il l'a gardée à la main et quand l'étrave à commencé à s'écarter, il a tout lâché, ce naze... 😨
Pisser en dehors des filières en navigation seul dehors sans être attaché.
Après, j'ai peur de ne pas tenir ma promesse :s
embarquer un chieur ..et avoir à bord de la nourriture de grandes oreilles
Ne pas vérifier que le seau de vaisselle est bien vide avant de tout balancer par dessus bord. ( La moitié du vaissellier disparu quand-même, et de la belle porcelaine avec des ancres et tout... )
Mais j'ai pas dit mon dernier mot, ils le videront bien un jour, ce bassin à flot !
😃
Faire une transat retour avec un équipier alcolo.
Monter sur le balcon avant et me retrouver pendu par les mains à l'extrémité du tangon en pleine nuit bateau sous pilote et co-équipier endormi pour aller dégager le bras coincé dans l'embout. Sans gilet. A 30' au large...
Emmener la nouvelle petite copine qui n'avait ja-ja-jamais navigué ( ohé-ohé) lui faire découvrir la voile pendant un entraînement d'hiver...
Toutes les situations où je me suis dit après coup : " ça passait, c'était beau ! "
🙄
pour une sortie a la journée attendre le couillion qui n'a réussi a ce lever le matin , et qui fait glander tout le monde ... 😠
Attendre la fin du coup de vent au bar, faire la fermeture, et penser en mettant son nez dehors " c'est bon, le gros est passé ! "
Et y aller...
🥴
accepter l’aide de quelq’un qui n’est jamais monté sur un bateau ,a bord du tiens qui te dit:
si t’as besoin d’un coup de main,chuis la..
y’a pas si longtemps j’en ai 2 que j’envoie a l’avant pour passer une amarre dans une bouee,apres explication du role de chacun.
facile m’ont ils dit.
celui qu’a reussi a attrapé l’oeil avec la gaffe,a fini par la lacher.
celui qu’a choper l’œil avec une main ( au moment ou l’autre gus lâchait la gaffe) ,avait lâché le bout qu’il devait faire passé dedans.
chapi chapo....pfffffff
Acheter un doudou lapin à ma fille sans réfléchir. Faire une tronche pas possible quand il faut embarquer la dite bête. Du coup ma femme et mes filles se moquent de moi et prennent un malin plaisir à parler de cette bête à bord ou a cacher le doudou dans le bateau
je ne vous dis pas tout ,autrement j'écris une encyclopédie genre le larousse en dix volumes
alain
Embarquer un fumeur, qui plus est qui roule! (et donc en fout partout)
Quitter le quai sans débrancher la rallonge électrique...
faire passer le hors bord de l'annexe à terre sur un quai pourri sans qu'il soit relié à un bout.
Oublier de mettre la garcette du couteau multifonctions autour du poignet pour bricoler sur le pont (plouf... en plus des lunettes, ça finit par revenir cher ;-)
Embarquer pour une sortie d'une journée des gens qui ont des projets pour la soirée et veulent être à 18h30 chez eux à 130km du port.
Pas de moi, d'un pote : faire un space cake pour l'équipage ,sans leur dire, en prévision d'une nav de nuit.
🤯
Rencontrer une succession de petites galères lors d'une croisière estivale, chercher partout des cousins du lièvre (dans les boites de conserves, dans les bd des enfants, sur les taies d'oreiller... et oublier de regarder sous les tongs de ma fille de 2 ans. Des looney tunes!
www.google.com[...]/imgres
Bonjour,
Passer dans le petit trou à Quiberon par grand coefficient. J’étais dans le bon sens de marée, évidemment mais je n’avais pas fait gaffe au vent.
Vent contre courant. Je me suis pris 3 belles déferlantes. Les vaches à eau souples ont explosé.
Je me serai mis des baffes...
Bonne journée,
Patrice
Me laisser convaincre, malgré mes doutes, par un vieux marin local en retraite quand il dit "par là ça passe...,"
🤣🤣🤣
Partir du port où il fait très beau, juste pour aller faire un (tout) petit tour, toute toile sortie, ... sans avoir pris la météo...
Partir en croisiére en flottille , ou a deux ou trois bateaux .Il y en a toujours un plus fort qui ne comprends que l'on puisse naviguer différemment .....c'est dans ces conditions que j'ai ramassé une belle bran....en 50 ans de croisiéres ,cela ne s'est plus jamais reproduit . La voile doit rester un espace de liberté
Ben apres une merveilleuse experience de chavirage avec un trinidad (14.5m) en 1984 dans force 12, suite a une tres conne prevision meteo ( force 9 faiblissant), et d'autres mesaventures moins extremes, je me suis juré a l'epoque d'oublier les previsions meteo et me me demerder tout seul avec mon baro le temps qu'im fait et mes neuronnes de surdoué. j'ai fait ainis un tour du monde ( cap horn et leuwin compris) sans aucune embrouille imprevue entre 1994 et 2000
Avec les previsions modernes sur internet je me suis laisser seduire de nouveau il y a 5-6 ans ..dans le petit temps et le temps medium , c'est a dire quand on s'en fout un peu ca va
Dans le temps fort ca commence a merder serieusement surtout si l'on croit que la direction est la bonne: a 10 ou 20° pres t'as tout dans la gueule
Pour le temps extreme c'est tres tres tres douteux, comme maintenant c'est la regle en grece par exemple , mais un peu partout en Med, car je considere que les orages voulus par les pouluers, sont maintenant de phenomenes extremement dangeureux dans cette zone....les gens dits meterologues, ne sont pas capables de tracer un cyclone ..impossible de decider a temps d'une option pour ne pas se trouver piegé => il faut trouver un abri tout temps sans savoir reellement quand la bete va vous tomber dessus ( ou pas)
Bref avoir les conditions actuelles sur internet c'est top : faire confiance a leurs previsions c'est la casse assurée si ca derape ( la situation , pas l'ancre): il faut se faire ses propres previsions et les reviser toutes les 12 h avec les situations publiées qui sont supposées etre justes ( ce qui n'ets meme pas toujours le cas)..les previsions meteo c'est comme LREM tout a la poubelle
bah ..! des sujets qui ne l’intéresse pas ,mais auquels il ne peux s’empecher de repondre...et on pleins a faire comme ca,si si ..plein!!
Ah oui fermer la vanne du moteur au mouillage alors que l alarme de surchauffe ne marche plus, partir à la voile du mouillage et démarrer le moteur le lendemain après midi 🙈😬👎
Le ysm 8 n a pas serré mais au bout de 10 mns au moins j ai trouvé que le bruit de l échappement ressemblait curieusement au bruit de ma Honda 600 monocylindrique .... c était bien chaud dans la cale moteur
Ne pas écouter Jaime ( le maître de port de La Colera ) quand il me dit: tou parrr pas oyourdoui porque la mare il é pas bonne, ma magnana, no problem.
Et essayer quand même, se retrouver avec les barres de flèches dans l'eau et toute la vaisselle sur le plancher à peine sortis du port alors que la météo annonçait un petit 3 peinard...
Le lendemain, no problem...
ce sont quand même des histoires de bizuth tout cela, voir d'apéros trop arrosés....
mais toujours presser de partir, oublié par deux fois de défaire la garde arrière (et non pas de se faire la garde barrière).....mais punaise pourquoi il ne recule plus et qu'il part à bâbord ce c.., promis je ne boirais plus de bière avant de partir naviguer.
Tenter de rentrer au Real Club Maritimo de Santander en crocs et jeans troué.
( marche avec tous les "Real Club " espagnols ou autres " Yacht Club " anglais-de-la-haute )
🙄
Ne plus tirer un coup de fusil à pompe au dessus du gros allemand qui se mouille à 5m de ton étrave sur un acier de 18m et au moins 35 tonnes, par 30 kn de vent et qui te réponds quand tu lui dis de bouger "Pas te proplem, chai une ponne assurance".
En escale, demander à un Anglais ses cartes pour en faire une copie.
( Si j'avais quelques doutes à l'époque à propos de la définition de "copyright", je n'en ai plus depuis ! )
🤐
Suivre un bateau qui connaît la route et l'atterrissage pour l'avoir fait x fois !
C'était avant le GPS... on venait de faire compenser notre compas sur une coque acier.
Eux étaient sensés avoir beaucoup plus d'expérience...
Trajet Palma-de-Majorque - Sidi Ferruch, on s'est retrouvés à Cherchell !
Demander à un équipier novice de passer le coupleur de batteries de 1 ( moteur) à 2 ( servitude) lorsque le moteur tourne, même après lui avoir expliqué trois fois de ne pas passer par OFF mais par BOTH...
Faire confiance à un chantier réputé de la place ayant effectué pour 12 000 euros de travaux à bord, et s'appercevoir le lendemain du départ pour une croisière de 4 semaines, que les boulons de quilles n'ont pas été serrés correctement, que les quilles bougent, que l'eau rentre, et que le joint a été fait par 5 degrés un jour de pluie...
Que lors de ces mêmes travaux, le moteur remonté sur des silent blocks neufs après dépose, n'a pas été serré non plus et a sauté de son berceau au bout de 20 milles de moteur...
Utilisant la pasarelle pour monter dans le bateau sans le sécuriser, je me jure que je ne tomberai pas une troisième fois dans les eaux sales du port :-)
ne plus partir en croisière seul homme avec trois femmes à bord! c'est super au début mais au bout du troisième jour c'est crevant, je parle de la cuisine bien sûr !
ne plus passer par le pertuis de Maumusson au retour en soirée... une des peurs de ma vie.
rentrer à sidIbousaid avec un DI en rasant la jetée et en étant suivi par un gros bavaria avec quille à ailette sans le prévenir.
alain
Deboucher une cuve eau noire à port TUDY, bonjour le nuage.et merci au stagiaire qui avait fermé la vanne, san prévenir.
Installer un pilote auto, l'étalonner, vérifier la bête sur divers amers, puis rentrer tranquillement en mettant le cap (au PA) sur une bouée d'eau saine.
Là, descendre se faire tranquillement chauffer de l'eau pour faire un café...
Penser gagner la course contre le ferry à celui-qui-rentrera-dans-le-port-en-premier...
😬
Doubler Eric Tabarly .....en vélo sur une ptite bosse de la cote sauvage ....et être incapable de sortir un mot de ma bouche !
tellement j'étais surpris et impressionné!! j'ai continué comme un c....... 45 ans après je m'en veux encore !!!
Penser pouvoir être aidé par un gars qui brossait les pontons pour me faire monter au mât.
Oui, il m'a bien fait monter.
Mais il n'a pas pu me descendre ! ( la drisse entière était surpattée sur le winch ) 🥴
Et me faire engueuler ensuite par le maître de port ( Kernevel). Le gars en question avait été mis sur un ponton brise-lames sans sortie possible, et j'avais été le chercher en annexe pour l'amener sur le ponton "normal".
C'était un détenu qui sortait la journée de sa cellule pour faire du travail d'intérêt général, il l'avait mis à l'isolement sur son ponton pour ne pas qu'il s'échappe...
😃
Partir en croisière un mois en laissant l'annexe sur ma bouée à la merci des cormorans...
Acheter un bateau fatigué pas cher en se disant « je vais le retaper pour pas cher et faire une super affaire », et au final y passer week-ends, vacances et livret A.
Toutes les situations foireuses où je me suis entêté, en me disant " Le Ripam, il dit que... "
Bonsoir,
débarquer de mon kayak sur une échelle de quai, avec un gros sac (heureusement étanche) dans la main droite et grimper les barreaux un à un de la main gauche, jusqu' à... ce que les doigts glissent sur l' un d' eux et... plouff!
Elle était pas chaude l' eau aux Orcades, et heureusement que j' avais un gilet!
J' ai eu de la chance, le second sac dans le kayak était celui avec le vélo, qui aurait fait plouff... mais glou-glou après!
Gorlann
Demander á Chisquet (dim. de Chisco),jeune gars plein de bonne volonté mais pas vraiment une lumière qui m'a accompagné dans quelques régates á deux: -"Chisco, puisque tu es en bas tu me remontes ma casquette (ou les gants, les jumelles etc)...
- Oú ça?
_ Dans l'équipet, lá tout de suite, á babord.
- Babord de ton côté ou du mien?
_ Babord c'est babord, ya pas de côté!
- Dans le tiroir de gauche alors?
- Si tu préfères...
- La ya rien...
- Regarde bien, b....l!
- Non, ya rien.
- Cherche,p....n de b....l!
- En tout cas ta casquette elle est pas lá....
- T'es sûr?
- Un peu...
- Je la vois d'ici, réveille toi!
- Toi tu dis que tu la vois et moi je te dis qu'elle est pas lá... Ha, d'accord! Ça y est! Le truc blanc avec une visière! Mais.. tu la veux encore.............?
Quelque part à mi-route entre l'Irlande et la Galice, vouloir être trop gourmand en se mettant limite de fausse panne pour faire la route directe, un soir un peu venteux , brancher le pilote et aller dormir.
Resultat de " l'option geniale" au milieu de la nuit : empannage chinois, pontet d'ecoute de GV arrachée de la bome...
Leçon apprise !
debarquer de mon annexe sur la jupe,les mains pleines,et oublier d’amarrer mon annexe au taquet ...si,c’est vrai.
Poser son bateau au plus haut de la cale, et seulement ensuite faire son calcul de marée pour déterminer à quelle heure on flottera à nouveau. Se rendre compte alors qu’on ne flottera pas avant 15 jours, puisqu’on s’est avancé sur le haut de la cale à l’heure de la PM, et que les coeff sont à la baisse.
Devoir ensuite porter son mouillage à bonne distance, y frapper une drisse, et attendre la prochaine PM en se demandant si on va réussir la manœuvre.
L’heure de la PM étant venue, il aura fallu faire gîter le bateau un max avant qu’il ne commence à riper sur sa quille pour retrouver peu à peu son élément.
Jurer qu’on ne se fera pas prendre une 2ème fois...
Jean
Aller dans le Sound de Chausey le week-end en juillet/août
Ne pas faire la vaisselle le soir. Pendant la nuit (mouillage à Serk), des bruits (je ne me rappelle plus quoi) me vont lever rapidement en slip. Je monte la "descente" rapidement le premier pied dans le cockpit , mais entre les deux la cocote minute avec un fond bien gras. Ce qui m'a bien handicapé pour la ballade sur le pont...
se mettre au palais à quai entre les deux escaliers à marée haute ,et revenir trois heurs plus tard
avec le voilier pendu à 45°par les amarres la quille bien calée sur le radier ...
il y avait une place de libre je l'ai prise et personne ne m'a rien dit ..
alain
pour changer d'endroit ,pas bien réveillé ,mouiller dans l'annexe amarrée à l'étrave la veille au soir avec la radio commande du cokpit ..
Un seul regret pour celle-ci, ne pas l'avoir fait un an plus tôt :
En entraînement le weekend pour préparer des régates inter-lycées , on embarque le CPE ( Conseiller Principal d'Education, celui que les plus anciens appelait "le Surgé ").
Un peu peau de vache, le gus, mais on n'a pas trop le choix, c'est en partie le lycée qui finance.
Le pauvre CPE est dépassé par les manœuvres à bord le samedi, à la ramasse le soir pour suivre les coups à boire chez Beudeff ( on avait poussé le bouchon pour l'occasion ! ) et n'est plus que l'ombre blafarde de lui-même le dimanche, à parsemer le sillage de ses galettes... 🤮
Je me délecte d'être le témoin de sa déchéance et profite de sa faiblesse pour prendre quelques photos embarrassantes pour lui.
À l'arrivée au ponton le dimanche soir,lui, ayant retrouvé quelques couleurs, on se met bien d'accord : chacun reste discret sur les activités de l'autre, passées ou à venir. J'ai ainsi pu " acheter" une tranquillité certaine pour le reste de l'année scolaire 😎.
Faire Arcachon - Hendaye, en étudiant minutieusement la météo, vent, houle, horaires des marées pour la sortie du bassin, mais en oubliant de regarder le risque "orages". La nuit a été longue...
Pas de moi, un équipier : se coller 2 patchs de Scopoderm en même temps ," parce que je voulais être sûr que ça marche bien ! "
🤯
( produit puissant même à faible dose, d'ailleurs interdit en France pendant un moment ).
Ce que je me suis juré de ne plus jamais faire: laisser mes fringues de voile (bottes, veste et salopette de ciré c'est tout) dans le coffre de la voiture de fonction ça ma couté ma place
De laisser des légumes accessible au port et la nuit embarquer un rat
....
Et passer + 72 heures a essayer de le capturer ...
Maintenant tout est en boîte hermétique et plus une miette ne traîne
Arriver par marée basse avec l’annexe, la remonter, se dire au bout de 50m « c’est bon ça va le faire on n’en a pas pour très longtemps », revenir quatre heures après et aller la chercher à la nage..
pratiquement en live !!! monter dans le bateau avec les poches mal fermé dans l'urgence pour respecté le couvre feu ! clé de voiture et portable au fond 😢 le blaireau quoi !
1)Allumer son feu de mouillage alors qu'il n'y a pas besoin : Penser être le seul malin de la baie : avant d'aller faire un tour à terre à la tombée de la nuit , et sans prendre trop de repères où est le bateau, allumer son feu de mouillage et penser : "eh-eh, comme ça je retrouverai mon canote facile dans le noir ! "💪.
Et en rentrant du petit tour, s'apercevoir qu'il y a 50 malins qui ont eu la même idée, ou qui simplement voulaient se signaler.
😭
( Treac'h ar Goured )
Après avoir frappé ma drisse de Spi sur le ponton quelques heures plus tôt pour divers bricolages, tenter de sortir de la place de port ... et tenter ... et tenter ...
Penser dans un mouillage restreint entouré de caillasses que malgré l alerte orange en cours "orage violent" c est bon il devrait passer à côté...
Le mouillage a tenu bon mais plus jamais me dire par flemme " oh avec un peu de chance..."
2) Ne PAS allumer son feu de mouillage alors qu'il aurait peut-être fallu...
Mouillé pour la nuit en bordure de chenal, mais un petit peu à l'extérieur quand-même, j'avais décidé que je ne risquais pas grand-chose à rester invisible pour la nuit . ( La navigation étant interdite la nuit dans le secteur)
Ça n'a pas loupé , un grand "bang" au petit matin, sans doute le seul pêcheur pro qui passait par là nous as pris en plein travers. Peu de dégâts, ça a tapé juste derrière une cloison , mais quand même, pas fier !
😭.
Nord de Logodenn Bihan, dans le Golfe.
( Pour ceux qui s'effaroucheraient de ce manque de feu, je parle d'un temps où les ampoules consommaient un max, et pouvait décharger une batterie en une nuit. Personne à l'époque n'avait panneaux solaires/éolienne comme on voit maintenant . Seule la ligne extérieure dans les mouillages connus était éclairée, et encore ! C'est presque choquant maintenant, mais c'était la norme à l'époque 🤗)
avant de partir du mouillage a Union,commencer a remonter l’annexe au bossoirs.
la ,ma femme me demande de venir ,elle avait un truc qu’elle ne pouvait pas regler sur l’allumage du Traceur.
...remonter l’ancre.
puis ,partir....
au bout de 10 secondes,je lui dit :
c’est bizarre ce bruit derriere..on a remonté l’echelle?
je me penche et l’annexe est retounee,moteur a l’envers dans l’eau 🤨
les tongs qu’on laisse dans l’annexe se font la malle...la nourrisse flotte à côté..gros naze que je suis 😶
en aeronautique ,cela s’appelle « interruption de tache »,quelqu’un rentre dans le cockpit et parle sans savoir ce qu’etait en train de faire l’equipage .( check list ,radio,gestion de panne ou autres)
Remplir d’eau le réservoir de Gasoil...
Tomber en panne moteur d’annexe et ne pas être capable de revenir au bateau a cause du courant trop fort...
Suite à un échouage dans le port de Lesconil (pile en face des catWay)
Donner une drisse de spi trop courte au bateau de la capitainerie pour me faire gîter
Et donc me déséchouer.
Bonjour la vitesse de rapprochement , et de collision si le nœud de taquet de mon sauveteur n'est pas largué très vite....... Et que nous ne pouvons pas donner de mou.
C'est un peu Rock and Roll
Intervenir sur Hisse et Ho...
fil qui ne sert à rien mais qui rassure quand on n'est pas le seul à faire des conneries :
- ne pas glisser mon téléphone dans la poche de mon bermuda en montant à bord (téléphone tombé juste entre le ponton et le bateau)
- ne pas descendre de la jupe à l'annexe avec un sac dans chaque main : un autre téléphone à la baille (j'en ai perdu 3 au total, depuis ma femme m'interdit de manoeuvrer avec un téléphone dans la poche)
- je vais en trouver d'autres ...
Prendre de la scopolamine pour la première fois, lors d'une traversée en solitaire de plusieurs jours, nécessitant une vigilance particulière...
Je raconte. Début juillet, je décide de filer direct de la Bretagne à Galway, ouest Irlande. Je fais une pose en baie de Lampaul à Ouessant en attendant le bon moment pour partir. Je me mets donc un patch de scopoderm derrière l'oreille et je dors quelques heures.
Je n'ai encore jamais utilisé de scopolamine. Mais comme je sors fatigué de plusieurs mois de boulot, que je suis peu amariné en ce début d'été, que je suis seul à bord, et que la météo prévoit des conditions pas terribles, je ne veux pas me retrouver nauséeux pendant trois jours.
Je connais les effets secondaires, longuement débattus sur ce forum (l'histoire date d'il y a plus de 20 ans). Je me réveille pâteux avec un rythme cardiaque limite trop bas (45), mais je me sens bien. Alors j'y vais.
La traversée des rails d'Ouessant doit se faire de nuit. Je m'accorde un sieston de 20 minutes avant le premier rail, pour rester éveillé toute la nuit. J'ai un réveil mécanique bruyant... que je n'entends pas, ayant sombré dans un profond sommeil de plus de 6 heures, avec un rythme cardiaque me plaçant plus proche de l'hibernation que du sommeil.
Je me réveille éberlué par la vision de la position du bateau portée sur la carte (pas de lecteur de carte). J'ai traversé les trois rails de nuit, en dormant ... et sans feux de route !
Raser une côte sous le vent en se disant "ça passera bien!"
:-o
Ca n'est pas passé...
Sortir d'urgence le bateau de l'eau à la tombée de la nuit la veille d'un confinement...
Se placer là ou le saisonnier du port de Penerf te place pour mouiller...
Heureusement qu'au bout de 10 minutes je me suis dit qu'il ne devait pas trop connaitre le coin, on aurait fini dans les tables à huitres dans la nuit...
Ne plus jamais se dire "bon on prend le désert, l'adition et ça ira" alors que l'on s'est fixé un horaire par rapport à la marée pour vérifier les amarres quand on est à quai!
ça évite de dormir à la gite après avoir coupé une amarre!
Ne pas écouter ma compagne quand elle me dit qu'il se passe un truc bizarre dans la nuit alors que l'on dort à l'échouage sur la plage de Penfret puis finir par courir derrière des petits branleurs qui ont ramenés tout le mouillage au pied du bateau après avoir tout enlevé du taquet également!
Louer 3 semaines en août 2020 un bavaria 41 de 2015 en Grèce auprès d’un site soi disant expert Voili Voilou de la location de voiliers en Grèce
Pour découvrir que le loueur ne savait même pas 1h avant l’embarquement, quel était le voilier et à quelle place il se trouvait …
S’apercevoir dans les documents de bord que le voilier n’était pas sorti depuis décembre 2018 et qu’aucune maintenance n’avait été faite ! Et donc 3 semaines de vacances pourries et odorantes …
Moralité ! Ne pas louer un voilier sur ce site en période de COVID en Grèce ! Est un gage de bien meilleures vacances
Un plaisancier et son équipage vaccinés avant l’heure !
Ici Neptune (himself)... J'ai bien écouté, pauvres pé(ê)cheurs, toutes vos confessions, et voici venu le moment de l'absolution. Je suis prêt à vous pardonner vos petits égarements, mais il y a un barême... Eh, oui...
Pour ceux qui ont négligé leur rallonge ou tout ou partie de leur matériel électrique: rallonge confisquée, et plus d'électricité. Navigation au sextant et à la carte papier jusqu'à la fin de leurs jours.
Pour ceux qui sont tombés à l'eau, ou y ont fait tomber quelque chose: enchaînement de tdm sans escales jusqu'à etc...
Pour ceux qui mettent tous leurs malheurs sur le compte d'un animal: ils porteront un Tshirt avec Bugs Bunny (recto verso) jusqu'à etc...
Pour ceux qui n'ont pas publié de post sur ce fil, de deux choses l'une: ou il ne leur est soi disant rien arrivé, et là, ce sont des menteurs: pour expier, ils boiront de l'eau ( douce, j'suis pas vache)jusqu'à etc... Ou bien,pour la deuxième catégorie, il va être temps qu'ils sortent leur bateau!!!!! Amen
Ignorer les cris et les alertes des gens sur la berge: ca passe largement d'après le sondeur.
Avoir le bateau qui stoppe brusquement.
Lever le nez : voir que le mat ne passe pas sous le pont !
Je ne ferai plus : laisser toutes les affaires et avitaillement pour la semaine sur la cale, sous la garde d'équipiers, remonter ma voiture au parking qui est loin et aller chercher le bateau au mouillage... un nuage arrive et se vide à grands seaux... bon c'est de l'eau douce, ça sèche !
ne plus emprunter de yacht à mon pote P. (anonymat par charité) bricoleur génial ou farfelu suivant la lune.
un service en valant un autre, nous voila partis la future mère de mes enfants et moi sur son fier voilier (10m) tracer des ronds dans les Pertuis, c'est notre première sortie tous les deux.
Connaissant l'oiseau mais pas encore son navire, un détour chez le ship et je m'arme d'une VHF portable et de trois feux à main, sait-on jamais...
Bon, le moteur démarre grâce à l'application savante d'un tournevis entre les bornes du démarreur, pas de tableau, pas grave, y a de l'huile, ça crache derrière, tout va bien. je quitte le ponton et me dirige tranquillement vers le pont routier de Marans sur la Sèvre Niortaise.
je suis un peu en avance, j' arrive au ralenti vers le quai, le pont n'est pas levé, point mort, j'enclenche la marche arrière... et cale.
Là, faut faire vite, le vent léger me pousse, le tablier se rapproche de l'étai et je n'ai ni la place de faire demi tour, ni le temps de jouer du tournevis en bas. Il y a là quelques personnes, je lance un amarre sur le quai (plus haut) en croisant les doigts et une bonne âme stoppe le navire en attrapant un hauban, ouf la croisière aurait pu s’arrêter là.
une belle journée de navigation plus tard, nous voici à Aix où l'on compte prendre une bouée pour la nuit, ce n'était pas encore "interdit" (c'est désormais inscrit sur la bouée).
La prise de coffre se fera à la voile, celle ci refusant obstinément de descendre.
Coup de fil à mon pote:
"- bah oui, en montant le rail de GV, un des taraudage à foiré et une vis bloque le chariot de têtière de temps en temps, faut monter"...
me voila donc prêt pour un premier "cours" de winch à ma Douce: ça c'est la manivelle, ça tourne dans ce sens puis dans l'autre, ça se retire comme ça et pour redescendre, il faut contrôler le tambour avec la main dessus, doucement sans surpatter ni coincer tes jolis doigts.
arrivé en haut je retire la vis farceuse, l'alpinisme en chaise à calfat n'est pas mon fort, et je ne souhaite pas remonter ce WE.
Ah tien!, la tête de mât retreinte est stratée sur le tube alu, un brélage textile reprend l'étai
"- bah c'est solide, je suis rentré de Antilles comme ça"
Mention spéciale au promène couillons, pas obligé de passer si près des mouillages alors que je joue Tarzan.
à ce stade il faut préciser que cette construction amateur (coque achetée non pontée, bateau terminé par mon pote) disposait d'une cale en bois massif sous le mat( +/- 20cm), résultat d'une erreur de cote en coupant le tube alu, et d'un superbe nœud au point d'amure au génois, vu que son guindant était trop grand (récup).
Nouvelle journée de nav sous les meilleurs hospices avant un mouillage devant St Denis.
le temps est calme, l'eau est limpide et le petit coup de marche arrière pour planter la pioche me permets d'admirer les évolutions de l'hélice partie vivre sa vie...
"- bah c'est de la m.. ce truc monté sur caoutchouc que j'ai recollé, y a une autre bipale dans le bateau, faut plonger"
ça se fait, j'ai également récupéré la sournoise comme pièce à conviction.
(contrairement aux écrits de mauvaises langues lus ici, l'eau n'est pas que boueuse dans les pertuis, hors estuaire de la Charente)
je vous épargne la panne de GO au retour, c'est ma faute, j'ai oublié de re remplir la nourrice de 5l ou sont plongés les tuyaux d'alim du moteur, et l'amarrage rock'n'roll au milieu des plates, le temps de réamorcer ce foutu tagazou.
j'ai qd m^ réussi mon brevet de capitaine aux yeux de ma tendre, et c’était là bien le principal.
JM
Un jour que je n'aviguè seul , j'ai failli passer par dessus bord en voulant récupérer un pare battage dont je n'avais nullement besoin !
Naviguer sans vhf, sans gps, sans les cartes qu il faut avec un moteur sans col de cygne et les pistons noyés par l eau de mer pendant 25 jours, avec une radio Sony sur onde moyenne pour penser savoir la direction de l émetteur et croire que l on est dans la bonne direction,partir avec des nul qui prennent le cap sur la lune comme référence, des alcoolo qui boivent et ce chamaillent , sans frigo , sans bouffe fraîche , 25 jours de conserves et comme viande. Du corned-beef bouillis avec riz concentré de tomate, purée en poudre à l eau.
Se laver pendant 25 jours à l eau de mer, un sondeur pourri, une ancre réplique de car qui n accroche rien , un canot produit blanc pour gosse avec une paire de pagaie de plag, sans frigo , sans confort et sur un bateau de 9m
Ne pas tester la prise de ris sur un bateau de location avant que ce ne soit véritablement utile.
oublier le ravitaillement dans le frigo de la cuisine à la maison en partant en croisiere avec des amis ...heureusement il y a toujours du paté Henaff à bord
Après avoir passé l’écluse d’Arzal en solo, sauter comme un cabris sur le ponton essence, tirer sur mon aussière ... qui ne se tend pas !
oops, elle n’est pas frappée au taquet du bateau !
et voir le bateau commencer a partir.
Partir avec la prise de quai : Une fois.
Mon process est donc : enlever la prise de quai, mettre mon gilet, démarrer le moteur, larguer les amarres.
Descendre de l'annexe en botrd de plage, suffisamment près bien sûr pour ne pas mouiller le téléphone dans la poche du short... ou presque suffisamment près...
heureusement j'ai un vieux smartphone à bord (pour la carto) mais qui dépanne bien!
ne pas partir en croisiere avec une obsédée sexuelle....😤😭😭
Ne pas partir seul homme comme chef de bord avec 5 femmes ou filles juste majeures...
Plus jamais ça !
en croisière en Grèce sur un bateau de location laisser l'annexe derrière le bateau au mouillage et la retrouver au fond de l'eau le lendemain matin entrainée par le moteur hors bord car elle est crevée et aller l'expliquer au loueur!!!
Se mettre à quai non loin d'un cargo qui décharge du ciment... si le vent tourne !
C'était dans un petit port algérien.
(ce sont les retombées de l'Etna qui m'y ont fait penser...)
Enregistrer mon compte H&O sans vérifier si il y a des fautes de frappe dans mon pseudo.
donner des endroits pour un bon mouillage. Ils sont maintenant tous saturés.
Je relate celle d'un grand ami, qui a connu des déconvenues : "faire passer l'amour avant mon bateau".
J'ai désormais un beau voilier de 8m, une paix royale à la maison et seulement quelques "menus" soucis d'entretien de bateau (moteur mort), d'amarinage (apprendre le corps-mort en solitaire avec le courant de marée dans la Sèvre), de pilote automatique qui ne sait pas où sont les bancs de vase, de temps à trouver pour naviguer, d'annexe laissée au corps-mort qui se dégonfle pendant la sortie...·le 12 août 2021 16:57
Sauter à l'eau pour récupérer une serviette Lacoste tombée à la mer, et se rendre compte que personne sur le bateau ne sait manoeuvrer pour venir me chercher.
On ne rattrape pas à la nage un bateau qui marche à 5 noeuds.
Ramené à bord par un zodiac de passage, 15 minutes de grosse angoisse, beaucoup de chance.
Ca m'en rappelle une autre, sauter à l'eau au mouillage, sans avoir vérifié la force du courant !
J'ai été très rapidement surpris, j'ai eu beaucoup de mal à revenir à bord, et pourtant j'avais sauté à l'avant par précaution !
Mettre à l'eau un seau pour récupérer de l'eau sans être bien réveillé, en navigation, après m'avoir bien attaché au poignet la garcette du seau !!!
Le choc a été brutal !!!
Retirer la descente sans avoir demandé au préalable : " personne n'a besoin de sortir en urgence ? "
Parce que recevoir une bonne bolée de vomi chaud dans le cou quand t'es à quatre pattes en train de vérifier le niveau d'huile, c'est pas top 🥴.
J'avais oublié celle-là (on était jeunes)
essayer de traverser de Fromentine à l'Ile d'Yeu en 470 pendant un coup de nord-ouest, sans connaitre le coin, sans équipement (maillots et T-shirts) sans carte ou instrument, en se disant que c'est "par là.." et qu'il n'y a quà suivre le ferry.
Heureusement, le courant de marée montante nous a empêché de partir... Impossible de franchir le pont.
Une plus drôle, je vous jure qu'elle est vraie :
Partir à "fond" avec les amis en petit bateau à moteur...
C'est bizarre qu'on ne dépasse pas 3 noeuds, et pourquoi est-ce que l'on a 2 grosses sangles en travers du bateau ?
Quel est le c.. qui a laissé la mise à l'eau attachée sous le bateau !!!
Ne plus jamais amarré le long d'un ponton trop bas! Le passage de bateaux trop rapides le long du ponton, fait danser les bateaux amarrés et sauter les par battages sur le ponton! Résultat coque abimée! Pour info, c'est arrivé à Peniche au Portugal. Marina à éviter!
Dans le chenal de Nieuport, presque à l'avant du bateau, se concentrer - voire s'énerver - sur un noeud de pare-battage trop serré pour coulisser sur la filière, sans se rendre compte que le pilote n'était pas enclenché... Constater en relevant la tête qu'on est à 2 m d'un ponton et qu'on fonce presque droit dessus... Le temps d'arriver à la barre, je n'ai pu que virer bâbord toutes, mais j'ai quand-même tapé le ponton. le bateau a été secoué, mais le skipper aussi !
Le comble, c'est que ça s'est passé presque sous le nez de la gendarmerie, dont le bateau était amarré un peu plus loin. J'ai dû m'arrêter et ils ont vérifié mes papiers, ... et peut-être mon haleine ! Mais ils ont été très corrects et m'ont dit que mon réflexe avait été le bon.
Moralité : quand on est dans un chenal étroit, ne jamais se concentrer totalement sur ce qu'on fait ! 75% sur ce qu'on fait et 25% sur "où on va" :-)
acheter des loupiottes avec panneaux solaire integrés et allumage automatique sur ali express ...
ca marche 3 mois,et pis plus rien.
ne pas arrimer l'ancre pendant la navigation, juste laissée en bout de chaine sur le guindeau.
dans une passe au nord ouest sardaigne, sortie de la passe, grosse houle, creux de 2 à 3 mètres,
au bout de 100 m le bateau refuse,
demi tour, on repart sur l'autre bord, même problème.
la cote très rocheuse derrière, danger, moteur pour se dégager.
un bruit à l'avant, j'arrive juste pour voir la fin de la chaine, épitalugue arrachée,
à l'eau 80 m de chaine, et une rocna 25 kg.
plus les après coup. quelques jours plus tard, avec ancre de secours, panne de guindeau, ne marche qu'à la montée. permutation des relais, les 2 sont bons ....... achat et changement commande : même problème !
en fait par un phénomène que je ne m'explique pas, peut etre chauffage des cables de puissance pendant la descente de l'ancre, un des fils de commande entre la commande et le guindeau avait fondu.
bilan : environ 1500 euros de matériel perdu.
laisser l'annexe suspendue au portique, sans avoir ouvert le bouchon de vidange.
orage dans la nuit, casse des attaches ou des bouts quand l'annexe est pleine d'eau et pèse 1 tonne
avec une ancre type jprop qui se monte sur le cône sans écrou derrière (c'est un système intérieur de l'hélice avec vis et contre vis) se dire au bout de quelques années, tiens cette fois je graisse le cône.
la graisse fond dans l'eau, le système vis contre vis ne serre plus, on se retrouve mi chemin corse continu pendant 3 jours calme plat à jouer aux cartes dans le cockpit.
démonter le balcon arrière; pour le faire détordre, et laisser ouverts les petits trous pas plus de fi 8 et seulement 6 trous, ou passent les tiges filetées de fixation.
au bout d'une semaine, et quelques orages, les coffres arrières sont noyés.
S’enfermer dans sa cabine le plus discrètement possible pour regarder un petit porno en oubliant que son ordi est resté connecté en Bluetooth à l autoradio...
Ce n est pas moi, on me l à raconté, mdr
dans mon canot y a pas Bluetooth sur l autoradio,ni ne cabine non plus d’ailleurs.
Laisser le bateau à sec pour l'hivernage, l'arrière vers les vents dominants (de mer), sans bâcher les portes de descente ajourées style volets de fenêtres.
Les fonds inondés, le compartiment moteur aussi, et même les coffres dans la cabine. Une demi-journée à pomper, en utilisant les WC pour gagner du temps sur le vidage du seau. Mais j'ai refermé les vannes du WC ensuite, quand même, en pensant à la mise à l'eau prochaine.
Arrivé de nuit au bateau et prendre le sas avec des novices, confier les gilets en supposant qu'ils allaient les mettre, sorti du sas, manœuvre d'arrivée au ponton visiteur et un matelot d'un soir se retrouve dans l'eau en tentant de sauter sur le ponton, bien sur sans gilet avec des bottes.... heureusement nous n'étions pas loin ...
Désormais je leur passe et regle les gilets !
Hiverner le bateau sous des arbres avant la chute des feuilles.
Se retrouver le cockpit plein de feuilles, qui vont boucher les évacuations.
Retrouver le bateau comme coulé vu la quantité des pluies hivernales dont le niveau dépasse le surbau du cockpit.
Cela marche à terre, mais probablement aussi au port.
Avoir une place juste à côté d'un silo à grain ... Marans.
Garantie à 100% de retrouver votre pont (et même le reste) couvert de moisissures, champignons, dépôts d'une couleur appétissante en un mois incrustés dans la profondeur du polyester...
Essayer de négocier le prix de la nuit avec un Maître de port Catalan...
Dans la même veine, faire semblant de ne pas comprendre ce qu'aboie le Guardia Civil quand tu es mouillé aux Medas à l'intérieur des bouées... si tu n'as pas envie d'être convié de manière plutôt musclée à visiter l'Ajuntament Maritimo.
Ne pas vérifier que le frein à main de la voiture de loc est efficace, se garer face au vent (100km/h). Et revenir en courant à la voiture, alerté par le gars de la marina (ALmerimar) dans son bureau où j'étais pour un devis d'hivernage, et trouver la voiture à 50cm de faire le plongeon, en appui sur le lampadaire arraché du ponton d'accueil...
PS : je n'hiverne pas à Almerimar :-D
garer ma voiture bien à l'ombre sous un arbre pour 15j de croisière.
Le dit arbre servant de dortoir à des palombes.
en ce moment je les accumule
hier surpris par un tourbillon près de la cote avec deux ris au portant dans 25nds établis ,j'ai fait un empannage sauvage ,l'écoute à chopé le portique :bilan ,un panneau solaire arraché 100w ,l'antenne télé à l'eau et le portique tordu .
c'est promis je ne recommencerais plus .
alain
Mettre le bateau au mauvais endroit, au mauvais moment.
- a quai pour la nuit, pile poil sous le lampadaire, sans savoir que les pêcheurs à la ligne locaux s'y mettent aussi. Pêcheurs de seiche, bien entendu 😠. Ben, je peux vous dire, ça tâche bien, l'encre de seiche... 😭.( Sagres, Sud Portugal).
- a quai sous le vent de la grue qui charge un cargo avec de la ferraille de recyclage. Pas mal non plus pour les micros taches de rouille qui s'incrustent.( Galway, Ouest Irlande)
- au près dans de la mer, à traverser une zone où flottent des boulettes de pétrole : " chapapote" pendant la catastrophe du Prestige . Un coin du solent en est resté marqué à vie . Le budget beurre de la croisière, déjà haut d'habitude, avait cette année là explosé ! ( Remarque, c'était du beurre doux, donc juste bon à ça 😃).En Galice.
🤗
Pris d'une urgence, utiliser les toilettes du bord pour la grosse commission, alors que le bateau est échoué à quelques mètres des jeux de plage de la fête du port.
Accepter de sortir pour un rond ds l’eau baignade avec des amis alors que je ne le ´´sentais’´ pas.
Echouage sur banc de sable ,CROSS, SNSM FACTURE.
Sondeur en panne( répare depuis bien sur), assurance a paye mais mon égo blessé à jamais!
Gerard
A propos de rond dans l'eau avec des amis. En Turquie, j'avais sympathisé avec un couple turco-norvégien et leur avais proposé de faire un petit tour à la journée.
J'ai vite compris qu'ils voulaient juste faire du bronzing naturiste et plus si affinités..
M' engager dans le canal de Suez un jour où il y a des rafales avec un navire de 400m de long!
Gorlann
Sortir dans 30 nds avec rafales à 40 nds en sangria sans fermer la vanne de l’évier résultat : virement de bord et je retrouve mes coussins qui étaient de l’autre côté imprégnés de 10l d’eau de mer.
Après vérification il n’y avait pas de vanne
Au près sous génois, compter sur les équipiers pour la veille sous le vent quand je barre… histoire qu'on tape pas un coffre, par exemple.
Oublier de vérifier la fermeture du hublot avant de naviguer au près...
La dernière fois, ça m’a valu 20 litres d’eau à éponger dans les coffres avant et des coussins trempés.
Dans le même genre, j'avais profité d'une journée d'hiver ensoleillée pour aller aerer le bateau.
Et je suis parti en oubliant de refermer le panneau de pont.
Ensuite, il a plu pendant une semaine
Ne pas fermer les capots de pont en nav.
Je me rappelle un départ de Cadaquès vers les 7h30, mer plate de chez plate, pas un poil de vent, des dauphins qui s'amusent autour du bateau, bref, hyper cool, même pas pensé au capot avant ouvert.
En arrivant à 50m du cap Creus, la vedette du sauvetage en mer espagnol peinte en orange vif pour qu'on la voie bien déboule du rocher full speed sur babord, je te dis pas les vagues d'étrave et de sillage. Mon bateau passe les deux premières, enfourne dans la troisième et embarque la quatrième, soit 500l d'eau qui rentrent par le capot avant.
Je te dis pas la galère, de l'eau partout, les matelas trempés, les planchers submergés, et ces cons d'espagnols qui rigolent accoudés sur le tableau arrière de leur bateau pourave...
Même pas eu le temps d'armer le Patator pour les couler, ils allaient trop vite...
Brancher un équipement non essentiel (wc électrique) sur la même alimentation d'un équipement essentiel (pilote auto).
En remontant la Seine sous pilote auto (flemme de barrer toute la journée), je laisse mon épouse à la veille, et qui sait se servir du pilote, pour descendre faire la petite commission sur notre nouveau WC électrique.
Dès que j'actionne la pompe du dit wc, elle m'appelle d'urgence dehors: le bateau se dirigeait droit sur la rive qui n'était plus qu'à 5m. J'ai juste eu le temps de prendre la barre pour l'éviter, sans m'envaser.
J'avais câblé le wc à la hâte sur l'alim. de la carte du PA qui était à côté, je comptais le recâbler dès que possible...
Heureusement que ça n'est pas arrivé en passant sous un pont, ou en croisant une péniche.
Accoster sur un quai béton sans avoir remis les pares-battages.
Ca peut être décliner dans les différents matériaux (béton, alu, bois, plastiques) et configurations (quai, ponton, catway).
Ce qui est dommage, c'est que je me suis promis plusieurs fois de ne pas recommencer ... au moins jusqu'à la prochaine.
Se laisser distraire sous PA par un téléphone portable..... d'ou un boum retentissant
Mettre ce qui reste de Boukha ( eau de vie de figue tunisienne 40° qui se boit glacée ) dans une bouteille d'eau en plastique pour éviter le bruit de la bouteille en verre qui cogne dans le frigo et ne pas en avertir les gamins...
Me reconnecter a HeO après avoir été viré x fois pour parole (ècrit) non conforme à la pensée dominante...
Ne pas mettre de ficelle à mes lunettes et ne pas en emporter de rechange.
Punition : faire 600 km de route la nuit sans lunettes.
En SL16: on arrive sur la plage et je laisse mon équipier affaler la grand-voile tout en ayant pris le soin de lui expliquer qu’il faut attacher la drisse avant de la lâcher...histoire qu’on ne doive pas dessaler à terre
Envoyer le spi en cata (Twincat 15) avec un débutant, dans du vent, alors qu'on était déjà très limite niveau poids. Je me doutais bien que ça n'allait pas passer mais les autres l'on sorti. Je ne pouvais pas rester comme ça sans rien faire, en les regardant partir!
Le spi a claqué une fois et s'est gonflé brutalement. Le bateau à accéléré et est parti sur une coque. Je n'ai même pas eu le temps d'attraper le trapèze que le bateau à enfourné, en nous catapultant violemment. On s'en est bien sorti, mais mon équipier était trop sonné et est resté assis sur la coque, refusant obstinément de faire quoi que ce soit. Le moniteur a du aller chercher quelqu'un d'autre sur un autre bateau pour m'aider à ressaler.
Ne pas écouter mon père quand il me dit "Attention, par ici le fond remonte vite!" et me dire quand je vois 12m au sondeur que ça va, avec la dérive levée on a que 70cm de tirant d'eau...
Ne plus tenter de stage voile ni embarquer en equipier sur le bateau d'un proprio sans le connaitre un minimum en vrai et verifier que ce n'est pas un connard /sans respect /potentiel dictateur à bord ;)
Croire le sondeur qui indique 8 en approchant de la plage sans voir qu'il a basculé en feets. Heureusement avec un dériveur lesté, il a suffi de remonter la dérive pour se désensabler...
Avoir dit à la copine de mon neveu qu'elle avait le temps d'aller prendre une douche et devoir l'attendre plus de deux heures.
Prendre pour acquis la capacité de lecture de carte de mon équipier lorsque je lui demande d'aller vérifier ce qu'il y a devant, parce que je lis un truc bizarre sur l'eau.
Une question simple : "il y a de l'eau devant ?" (opencpn, le trait qui t’indique où tu vas passer, touça)
Non non, c'est bon il y a 7m qu'elle me dit.
Et on continue, tranquilles, à un bon 6 noeuds.
Et moi de virer brutalement à ras (genre moins de 5m) de la barrière de corail qui est au NNE du rocher du Diamant (Martinique).
Ben oui, sur les cartes marines, y a pas de virgule avant les décimales...
On a vraiment failli tout casser. Et on a passé quelques heures devant les cartes papier et informatiques une fois arrivés.
Pour sortir de ma pace c'est un peu pointu, j'ai 2 pendilles bâbord et tribord, ce jour là j'attendais du monde ,je largue une pendille et mollit l'autre en attendant, au moment de partir tout va bien puis le bateau ne veut pas tourner,
j'insiste, rien à faire ,évidemment j'avais oublier de larguer babord :)
Ne plus jamais, mais alors plus jamais renflouer une coque de day cruiser récemment coulée repérée en balade pour entraîner le club de plongée au maniement des parachutes, en ayant préalablement demandé l'autorisation aux Affaires Maritimes. Autorisation accordée sous réserve de remise de l'épave aux Domaines par l'intermédiaire desdites Affaires Maritimes.
Quand nous avons ramené le bateau sur la plage en fin d'exercice, nous nous sommes rendus compte qu'il avait été coulé volontairement. Il y avait trois gros trous vraisemblablement faits à la pioche dans la cabine.
Je pense que le propriétaire a dû être prié de donner une explication, qui n'a pas peut-être pas dû plaire à son assureur...
Partir du mouillage dans un petit canoë gonflable décathlon pour livrer des affaires sur l’ile d’Aix et m’apercevoir 3h après que le vent a tourné la marée montée et la mer plate du départ s’est transformée en un mauvais clapot, à deux avec ma femme et 1 seul gilet ... c’est passé de justesse mais ça aurait pu ne pas passer.
Nous étions à l’Est de l’ile, pas une annexe moteur ds le coin ni plan b et la nuit arrivait ....
Plus jamais.
Accorder la permission à un pote un peu bourrin (et assez costaud en fait) de faire "la grosse comission" en navigation sans lui avoir bien expliqué le maniement des WC, et de ne surtout pas forcer si ça parait dur....
Bien sûr, en ayant oublié qu'on avait prélablement fermé la vanne d'évacuation (sage précaution n'est-ce pas?).
Sous peine de passer les 3 prochaines heures à quatre pattes, dans la m.... jusqu'au cou, la tête à moitié à l'envers vu la gite, à démonter ce foutu chiotte, pour tout remettre à sa place, puis tout bien nettoyer du sol au plafond (y compris soi-même à la fin), avant d'oser enfin ressortir prendre une bonne bolée d'air frais juste pour s'apercevoir q'on est quasiment arrivé à destination!
Ce coup-ci, c'est sûr, je suis vraiment insensible au mal de mer...
Ah la belle traversée cet aprèm là!
J'explique mieux depuis....
Quand on compare tous les inconvénients (passe-coque, vannes, erreurs de manips, entartrage, changement des joints, interventions de dépannage, risque de débordement, etc.) aux avantages, alors qu’un bon seau à rebord arrondi procure les mêmes services, même plutôt en mieux ... Keep il simple ! ·le 04 mai 2021 18:17
- Un chiotte à bord c'est courrir tout dessus au .... emmerdes
- Quant au balcon avant, mieux vaut s'assurer avant que le barreur ne louche pas sur ton héritage.
Sur un luxueux voilier avec des chiottes électriques rincés à l'eau douce (provenant du dessalinisateur) on avait un groupe électrogène constitué d'une sorte de galette entre le moteur et l'inverseur.
Quand l'inverseur a perdu son huile vers la fin d'une traversée de l'atlantique sud : plus d'alternateur plus de groupe.
Il a fallu revenir aux fondamentaux !
Laisser un ami nous ramener à bord à la godille, de nuit, après un repas gras et arrosé, parce qu'il en a envie et qu'il a surtout envie d'impressionner "l'amie" qu'il a ramené avec lui, et parce que je cite "la godille ça s'oublie pas, surtout quand on est Groisillon".
Entre temps, la marée avait monté et il y avait du coup un fort courant à remonter (port traversant à marée haute).
Ne rien dire et attendre qu'il abdique de lui même pour ne pas le vexer, même si il n'avance pas et ne respecte pas mes consignes de route, ce qui fait qu'on est en plein courant et qu'on s'éloigne très vite de notre objectif.
Attendre donc.
Et attendre encore, en sachant que c'est moi qui vais devoir remonter tout ce chemin perdu.
Et attendre...
Se rendre compte, quand il abdique et me donne enfin l'aviron, qu'en plus de nous avoir fait perdre une sacrée distance (vers le large bien sûr, sinon c'est pas drôle), il a complètement salopé le manche de la mayonnaise qu'il avait encore sur les mains, et que donc mon aviron glissait comme pas possible au moment où j'ai le plus forcé de ma vie de godilleur.
Je ne sais si son opération séduction a fonctionné.
Mais je sais que je n'ai plus levé le petit doigt pour faire quoi que ce soit de toute la soirée, compris pour me préparer mes ti-punchs.
(et bien sûr, pour une fois il n'y avait pas de grappin au fond de l'annexe)
bonjour,
dans les trucs à faire, ce serait peut-être bien d' ouvrir un fil n°2, car çà devient très long à charger... pour ceux qui n' ont pas le haut débit!
Gorlann
Démarrer le moteur hors bord sans vérifier si il y a quelqu'un derrière moi...
Gros coup de coude bien violent dans la tronche de mon copine. Et en plus impossible de vérifier immédiatement si elle allait bien parce qu'il était 5 heure du mat en février et on était plus qu'à une vingtaine de mètre des rochers avec pas mal de houle et du vent qui nous ammenait tout droit dessus. Le modèle du voilier: un flirt.
Lors d’un départ en surf, croire que l’on peut jouer avec la vague comme avec une planche de surf et pousser la barre... Les équipets babords se sont vidés droit dans les équipets tribords.
amener des enfants en bas age et leur parents : qui ne savaient qu’il ne pouvaient pas toucher a ca..
vecu une derniere fois ( promis juré) le we dernier.
en plus les 2 minots avaient ete tartiné de creme..
comme ils se sont roulé partout,le lendemain j’avais toutes les traces jaune pisse sur le gelcoat,pieds ,mains,genoux…c’est la derniere fois😜
Expérience très récente: accepter une invitation á l'apéro au mouillage. (Une lointaine connaissance).
Résultat: un visionnage de photos de vacances qui a bien duré 2h. Je ne pouvais pas me barrer, j'étais venu dans leur annexe, et mon bato était trop loin pour revenir á la nage.
Quand j'ai enfin quitté leur salle de projection j'ai eu droit á un truc du genre "on remettra ça un autre jour".
regle d’or,toujours pouvoir s’echapper..donc avec ton annexe.
simuler un sms,et devoir retourner au bateau,a terre or what ever.
Faire confiance à un mono qui m'a dit "Le Kerpont ça passe" à 76 de coef marée descendante... La prochaine fois je ne fais confiance qu'a moi.
Partir avec un skipper diplômé moniteur au sein du club d'un gros comité d'entreprise qui pour faire plaisir à un des équipiers décide de rentrer un jour de gros coef de à la rochelle avant l'heure de marée et le voir paniquer parce qu'on était légèrement posé sur du sable.
Se prendre pour Mike Birch a poil dans un ciré jaune ac F 7 au près : bonjour les irritations et le froid an ventre … ac ses conséquences !
Faire confiance à un professionnel qui a révisé notre moteur pendant 5h (facture de main-d'œuvre) juste avant d'acheter notre voilier. Partir et tomber en panne car il avait soigneusement ranger le faisceau électrique en plaie sur l'arbre d'hélice qui l'a rongé. Vouloir réparer en mer en dégainant et en reconnectant les fils et avec une vague faire ripper le cutter dans la main. Obliger d'appeler le 16. Snsm. 7h aux urgences. 7 points de suture.
Pas d'excuse du professionnel qui répond que c'est à moi de vérifier mon moteur avant de prendre la mer. Sic. Mais qui a dégnié tout de même venir remettre le câble à peu près au propre car je devenais menaçant d'aller plus loin. J'ai appris ce jour-là qu'il ne faisait que ce qu'on leur demandait (changement de filtres en 5h...) sans faire un minimum d'inspection pour une révision annuelle car j'ai découvert une fuite de gasoil pendant la réparation.
C'est rassurant de confier un organe de sécurité à un professionnel...
Acheter une ancre haute performance sur la base d'essais de revue.
Après avoir influencé un ami avec les tests d'ancres haute performance de plusieurs revues, cet ami a équipé son bateau avec la "merveille" des essais, largement dimensionnée pour son bateau. On devait se succéder à 5 skippers pour la croisière annuelle du bateau vers la Grèce.
C'est comme cela que nous avons passé notre plus mauvaise croisière en 40 ans.
Chacun notre tour, nous avons vraiment cru être devenus très mauvais. Le mouillage dérapait tous les jours, même par beau temps. Il m'est arrivé de devoir nager par beau temps lors d'un bain pour rattraper le bateau. Avec de l'eau sous la quille, il m'est arrivé de déraper plus d'un mille nautique pour voir si cette ancre allait enfin se planter ou non dans le fond. Elle ne s'est jamais replantée. C'était un fond un peu dur avec des petits cailloux. L'ancre se mettait sur le côté et était parfaitement stable.
A notre repas de fin de croisière avec les différents équipages, on a découvert que chacun de nous avait vécu les mêmes problèmes; Heureusement, on a tous réussi à gérer ces dérapages sans casse pour le bateau. Cela nous a rassuré et nous a incité à débarquer cette ancre au plus tôt. Elle est toujours dans le jardin de cet ami.
Il apparaît que ces tests étaient tous réalisés dans le sable ce qui ne prouve vraiment rien pour ce qui concerne la tenue dans les herbiers ou sur d'autres fonds. En Méditerranée, il y a parfois du sable mais plus souvent d'épais herbiers de posidonie ou de grandes étendues de fonds durs avec comme de la terre tassée et de petites pierres.
Quelle bonne surprise de voir dans le dernier voiles et voiliers la publication du courrier d'un lecteur ayant subi les mêmes mésaventures avec cette ancre. C'est une bonne chose, car il m'arrive encore de voir cette ancre dans le davier de certains bateaux.
Compter prendre le bus un dimanche matin pour retrouver ma voiture au port de départ... bus ne circulant qu'en semaine bien sûr! et affréter un taxi pour finir :D
Jupiteri j'admire ta pugnacité. Il est vrai qu en cherchant bien on trouve des choses intéressantes. Il faut surtout apprendre à glisser sur tout le reste.
1) croire que si à l'aller, on a le vent dans le nez, au retour non.
2) garder sur soi un couteau sans cran de fermeture.
3) en accostant sur la plage, dire à son équipier(ére) de sauter ... trop tôt ...
4) et bien sûr le classique bout qui traine dans l'eau, puis dans l'hélice.
- Naviguer en équipier sur le bateau d'un proprio ou faire un stage avec un skipper que je ne connais pas suffisamment et avant d'avoir vérifié s'il est antipathique ou dictateur ; )
- Acheter un voilier qui n'a pas les critères de base essentiels qui correspondent à ma recherche (taille, lest, tirant d'eau, greement, etc)
Vendre un voilier entièrement retapé à des amis, à prix d'ami
(2 sorties et, depuis 15 ans, il meurt à petit feu sur un chantier...)
Entrer au port du Crouesty !
Un coup d'oeil à gauche... Un coup d'oeil à droite...
Bon, j'en profite pendant qu'ils ne sont pas là :
Prendre la belle-soeur et le beau-frère en croisière.
D'abord parce que la belle-soeur a le mal de mer, mais ça encore, on compatit (même si on en était sûr avant qu'elle mette le pied sur le bateau)...
Non, le pire... enfin, je vous raconte (je la fais brève, tout de même, j'oublie les détails sans importance) :
La cérémonie du lever durait jusqu'à 10 heures du matin, ensuite il y avait la cérémonie du caca qui nous menait jusqu'à 10 heures et demie bien sonnées... Pas facile pour quitter le mouillage et aller faire des courses avant que les commerces ne ferment (en Corse).
Et puis ça a un don très particulier de me foutre les nerf en pelotte quand on passe son temps à énumérer les barettes de GSM captées par le téléphone, surtout quant on passe dans la réserve de la Scandola, où, miracle, ça passe bien et qu'on en profite pour raconter tout un tas de c¤nn€r!es à des gens qui en racontent tout autant sur fesse-bouc au lieu de regarder ce qui se passe autour.
Remarquez, je crois qu'ils n'ont pas réellement envie de retenter l'expérience...
Remettre un dart 16 à l’eau seul à marée descendante dans une bâche qui se vide en se disant que sinon la séance est fichue et l’équipier qui est parti chercher un truc depuis 15min va forcément revenir…
Après une belle séance de traîne derrière le bateau il est parti vivre sa vie seul avant que la sécurité n’aille le récupérer.
En conséquence, faire confiance à un équipier inconnu que me donne le club de voile et qui ne se rend pas compte qu’il n’y connaît rien
Et donc: agir dans la précipitation en comptant sur l’action d’un tiers
Mettre un t-shirt blanc que je viens d’acheter pour un carénage.
Nourrir les orques au polyester. C'est pas bon pour leur santé et on a découvert depuis qu'ils aimaient ça, surtout le sandwich mousse polyester