Sujet supprimé: [après 2 ans de voyage, debrieffing ....]

A la demande de La Capucine, le sujet, malgré sa richesse et les interventions intéressantes qu'il a suscité, a été supprimé.
Vous pouvez envoyer vos réactions en direct si vous le souhaitez.

L'Equipage

L'équipage
15 juil. 2005
15 juil. 2005

première réaction........ à chaud

Quel dommage !

C’est si rare de lire quelqu’un (un homme en plus) qui dépasse sa pudeur pour nous faire partage son mal être en revenant à la vie dite
« civilisée » avec des mots simples, presque des images, qui bouleversent.

Perso, on n’a pas trop compris les interventions qui parlaient d’argent, position sociale, nantis, etc…
Cela veut-il dire que seuls les défavorisés ont le droit de se trouver « démunis » devant le spleen et peuvent l’exprimer ?

Je suis sincèrement désolée que Vincent se soit senti obligé de demander la suppression de son fil.
Nous lui souhaitons bonne chance et meilleur moral pour reprendre pied dans la vie active et dans notre bonne société malgré la démonstration qu’il vient d’en avoir.

Vincent, comme on te l’a conseillé, rapproches-toi de Jacquot. Il saura à coup sûr recharger ton optimisme.

Bon vent à tous (un peu plus pour ceux qui la chance de naviguer)

Chantal
(Jacky travaille d’arrache-pied sur Boulal mais je suis certaine qu’il co-signe)

15 juil. 2005

Je partage

tout à fait l'avis de Chantal.

Dommage... Mais merci à Vincent que j'ai pris plaisir à lire.

Fraternité, Alain

15 juil. 2005

Mais

le motif ?

15 juil. 2005

le motif ?

ben, comment dire ?
j'allais devenir grossier. je sais il suffit de ne pas lire, mais vous le savez, quand on ecrit quelque chose on est tout excité à l'idée des réactions des autres et quand on se sent violemment aggressé ou simplement mal compris, qu'on sent qu'il faut une justification permanente, reexpliquer ce qui a deja était expliqué, ca fait se poser des questions sur le bien fondé de sa "mise a nu".
Donc, j'ai été très intime dans mon fil, et donc quelques agressions idiotes sont venus me frapper de plein fouet dans mon honneur.

Evidemment je m'attendais a ce que certains (comme JP que j'apprécie) mordent un peu, et je le savais, je l'ai bien pris et ca fait partie du jeu.
Mais quand on sous entend certaines choses sur ma famille ou sur mes capacités professionnelles, ca me fait vraiment mal.

je n'avais pas assez pesé mes mots surement, et les gens ont confondu coup de blues de littérateur "internetois" et désespoir caractéristique sans fondement d'un gamin gaté. Je n'avais pas envie que certaines personnes de ma famille ou de mon entourage puissent eux aussi avoir acces à ce genre de débordements, se sentent eux même blessés, soit par moi, soit par les réactions des autres.

Voila, c'est un peu enfantin surement, mais je préfere en rester la, c'est un jeu qui ne m'amuse pas.

En tout cas je remercie tous ceux qui m'ont compris, qui ont posé des questions, etc et ils étaient nombreux.

15 juil. 2005

dommage

C'est difficile de ne pas répondre et dans un cas comme celui-là c'était je pense la bonne tactique.
ceci-dit je me suis fait piéger une fois...
Si on l'ignore, l'agresseur insiste jusqu'à se mettre hors charte et se discrédite tout seul .
Encore faut-il que tous les autres contributeurs en fassent autant et ne répondent pas .
d'ailleurs à y regarder de plus près on aurait pû considérer certaines attaques comme diffamatoires et alerter l'équipage pour qu'elles soient masquées .

C'est surtout dommage pour ceux qui du coup n'auront pas lu ta prose !

:-)

15 juil. 200516 juin 2020

Je ne m'étais pas permis

d'intervenir sur le suget puisqu'il s'agissait de sentiments tout à fait personnel...

Mais pour votre retraite, je dirais que ce n'est pas parce que d'autres ne sont pas de votre avis ou qu'ils vous lancent des goguenardises que vous devez faiblir, le principal est d'assumer ses actes, et ses idées...

L'opinion des autres est simplement boyautante...

Disons que je suis un peu deçu de cette escampette...

pfffzzzz

15 juil. 2005

déception sentimentale ...

N'avez vous donc rien compris camarade sans pattes ? N'aviez vous donc point vu que ce fil était simplement une manière de me rapprocher de vous ? Je vous demandai sans détour votre avis sur une certaine boisson au houblon et vous n'avez daigné me répondre. Ton ce long fil, Cobra, c'était pour vous. Un manière secrete de dire "Cobra, interesse-toi a moi, ne vois-tu pas que je t'attends, que je me meure d'amour pour toi". Même la nuit, mes soupirs sifflent comme le ferai votre langue sur mon cou. Ah Cobra !

Moi le novice en bières, l'innocent des plaisirs pétillants, je comptai sur vous pour m'initier dans une secrète alcôve au bienfait du frétillement, à cette mousse que l'on retient comme un soupir murmuré a l'ombre des grands cèdres.

Tout était allégorie monsieur Cobra. Un sentiment infini d'abandon m'a terrassé quand je vous vis participer à d'autres discussions outrageusement techniques et compris que vous délaisseriez, une fois encore, ma peau avide du contact de votre grand corps mou et sauvage. Vous me laissâtes seul et désoeuvré.
Aucune porte ne s'ouvrait dans votre coeur, il fallait en terminer avec cette sotte mascarade et détruire rapidement tout trace des mes turpides extatiques, quitte à passer pour un vil poltron, pour un couard, pour un rebus du courage.
J'ai brulé chacune de vos contributions que je collectionnais pieusement depuis si longtemps, que j'imprimais sur des papiers gauffrés et encadrais d'enluminures en or, d'entrelacs serpentins. J'ai vidé des placards entiers de vos petits dessins, et je me suis acharné à les rendre au néant, à la froide palpitation des ténèbres d'où ils n'auraient jamais dus être tirés.
Ah Monsieur Cobra, vous êtes le maître en mon âme et vous jouez de l'indifférence comme Yehudi Menuhin du trombone à coulisse. Vous sifflez et bêtement je sors du panier et danse au rythme de votre mélodie cynique.

Cobra, aime-moi ! Il est temps. J'étais braise, comète, brasier, prêt te donner tant de cette chaleur indispensable. Et doucement je me refroidis, je sens le vent qui frappe à ma porte, prêt à emporter à l'horizon mes cendres glacées. Viens à moi, Cobra et excuse ce tutoiement, je n'en peux plus de t'attendre mon doux, mon tendre reptile.

Vincent.

ps : ce message est hautement personnel, quiconque le liras ira très probablement en enfer par le tram 33.

15 juil. 200516 juin 2020

J'en reste sans patte,

mais tant de ferveur et de concupiscence dans votre révélation me font craindre, qu'il soit à voile ou à vapeur, un amour de carnaval

Ne soyez pas déçu cher amis, vous ne souffrirez que quelque temps, par contre si je répondais possitivement à vos avance, vous n'auriez que quelques instant de bonheur....
Supreme, souverain, d’exception tout simplement mais tellement foudroyant

Cela dit, je comprend parfaitement votre émoi, seul sur le continent alors que votre rêve, comme un délire aigu s' abandonne dans les îles,

Si vous le souhaitez, je puis vous mettre en relation avec quelques charmantes cobrettes que je qualifierais pour le moins de mordante...

Cela bien sur ne sera pas aussi pharaonique que l'adoration de votre serviteur, mais cela sera assurement plus reposant.

Pour le rêve ambré, je recherche de ce pas "coulé" que vous me connaissez les références d'un bon guide vous permettant une initiation à moindre risque

Acceptez cher amis, l'expression de ma compatissance la plus sincère

pfffzzzz

15 juil. 2005

Sans voix

Ma foi tant pis, et je boirais une roteuse (une fois n'est pas coutume) à votre santé.

Vous pensez pas qu'on pourrait faire un disque?

Pour je sais pas qui ou quelle cause, mais c'est très mode de récupérer pour se donner bonne concience non?

Pour autant que l'on trouve les sponsors pour cette bonne cause. D'autant qu'ils se sont pas mal manifestés sur ce fil malheureusement supprimé. Donc ce devrait-être assez facile.

Bon, ok, ok, je sens que vous aimez pas mon humour. Pas vrai?

Cordialement

Sing a song.

16 juil. 2005

Y'a pas à dire

la taverne du bout du quai, c'était déjà le must à mon goût
les sujets supprimés à la demande de l'auteur, c'est le nec plus ultra
ça réchauffe le coeur
de tous les conteurs d'histoires
de tous les esseulés du haut de leur perchoir
perdus parmi les leurs sur un bout de comptoir
tout seul et si nombreux mais il ne peut les voir
encore aveuglé du soleil qu'il voit bien disparaître
derrière la ligne qu'il ne distingue plus dans la fumée
du bar derrière le serveur
comme à l'heure
où le ciel et la mer, siamoises s'inondent et se noient

bancale et un peu gauche mais retenu par
les coudes bien à plat sur le zinc
de retour
du comptoir
des indes ou bien d'ailleurs
de tous les débiteurs
il se sent le porteur

son voyage est un fleuve
qui croît, comme d'autres, des crues saisonnières
et qu'inexorablement conduit vince à la mer

le rêve est là, sûrement.....

17 juil. 2005

çà me fait penser à un film de henri Verneuil

dialogues de Audiard où Jean Gabin dit à Suzanne Flon " tu m'emmerdes, gentiment mais tu m'emmerdes "
vous connaissez ?

18 juil. 2005

avec

belmondo qui fait le torero avec les bagnoles sur la nationale...

c'est trop fort, ça! le sujet est supprimé et tout le monde y revient qund même! tu vois, vincent, quand l'émotion est trop forte...

il va falloir ressupprimer le sujet déjà supprimer (:&gt)

18 juil. 2005

disons ...

que ca fait plaisir mais que comme moi être un peu lent, moi pas comprendre toutes allusions ...
genre celle de gatsby ??? rien compris !

enfin, bon, ca aurait pu etre bien de le garder mais ma sensibilité actuelle me disait que c'était mieux de le supprimer! alors oui, "parle pas trop fort on pourrait croire que t'es pas mort" c'est malheureusement souvent le cas et j'ai manque de courage devant certains post.

mais ca ne m'empèchera pas de continuer a dialoguer et puis a me donner un peu, mais moins ! Le souci c'est qu'au niveau interventions techniques je dis pas mal de c....... alors je suis obligé de rester au niveau psycho ou philo ou humour !!
"c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa g..."
donc je continue de participer mais sans rien dire de très malin, et tant mieux ca augmente l'entropie et ca participe à la destruction a long terme de l'univers : ca m'aide a vivre de prendre pour un démiurge.

enfin si quelqu'un pouvait m'expliquer au fur et a mesure certaines interventions a double sens ou a fort caractère culturel que je ne comprends pas ca m'aiderait !

18 juil. 2005

Ben non tu peux pas comprendre...

Si tu restais devant ta télé comme tout le monde au lieu de te balader sur les océans !
:-D

Bon alors j'explique pour les inculturés du ciné club : c'était au sujet de la prose de Rêvance 2 qui m'évoquait l'ambiance du film en question où un vieil alcoolique guéri se paye une nuit d'ivresse délirante mais bon faut le voir...
Donc rien de perso à ton endroit mais je suis surpris d'apprendre que tu ressembles à Suzanne Flon ?
M'étonne moins de l'idylle avec Cobra ...

:-D
amicalement

18 juil. 2005

moi je dis encore!!

j'aime bien quand on dit pas que des trucs très malin, comme ça je peux comprendre (ou du moins le croire!) et d'ailleurs, puisque tu demandes des explications (et ça c'est pas malin, parce qui si tu crois que des mecs comme moi ont des explications à te donner sur ton goût du voyage!...) personne n'a dit que tu n'étais pas malin!
non, restons simples, et méditons avec confucius:
"on n'a d'empire que sur soi-même"
roger, la même chose, steplaît

18 juil. 2005

Vieux proverbe !

Bonjour,
Une fois de plus voila le vieil adage de ma maman prouvé voir éprouvé "Pour vivre heureux vivons cachés"
Mais il est vrai que nous sommes très bizarres nous les humains!
Cordialement
votre.

AAAh, mais si on recute Audiard

"- Y'a pas de bonnes habitudes. L'habitude, c'est une façon de mourir sur place."

aussi du singe en hiver ;o))

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