Un miraculé !

et bravo a l équipage de l hélico

heu
j espère que sa sous cutale ne lui a pas arraché les bijoux de famille ! :heu:

tu as vu Serge ça recommence , plus le droit de plaisanter !

:mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

Je comprendrais la remarque si le gars ne s'en était pas sorti, mais comme il est sain et sauf, je ne vois pas où est le mal.

bonjour,il dit lui meme:je n'avais pas du attacher mon harnais comme il aurait fallu...

oui d’accord il a été super courageux et l'hélico a fait un travail sensationnel. une autre option aurait peut être été de prendre le premier opinel venu et de laisser la trinquette vivre sa vie plutôt que risquer la sienne, on voit qu'il ne reste plus que la ralingue
:jelaferme:

jehenne a raison,mais meme si on reste au lit,il se peut que votre plafond vous tombe dessus grace à quelques termites -c'est arrivé à un client dans les PO...

L'histoire par l'intéressé ...
www.nicematin.com[...]urvivre

takari : si il n'y avait pas de tempètes terribles , des naufragés hypothermiqués , d'étocs terrifiants , de nuits lugubres , de navires déchiquetés par les flots déchainés , de moteurs 4108 rougis à cause de cette putain de pipe d'échappement , de ces voiles claquant en lambeaux dans la furie des éléments , de cette baleine sur notre passage qui part avec nos appendices , de cette salope d'ancre surpatée hénaff .........
la plaisance ne serait pas ce qu'elle est et ce forum serait triste comme une mer sans marée et une mer sans marée sans pastis ....... en vérité , je vous le dis ...

Théoriquement impossible. 23h de survie en février...
A la fin des années 70 ou début 80, un caseyeur de St Malo surchargé a chaviré aux Sauvages ( entre Chausey et Minquiers), les 4 ou 5 marins se sont retrouvés à l'eau accrochés à quelque chose qui flottait sans gilet ni combinaison.
Le patron s'est laissé partir en 30 mn, deux autres matelots quelque temps après. Le dernier, dont c'était la première marée a dérivé 23 ou 26 h ( je ne sais plus) et a été retrouvé a une vingtaine de milles à proximité du Cap Fréhel!

Dans les années 80, en avril, une équipière se rendant à la course de l'Edhec est passé à l'eau dans l'estuaire de la Loire et a dérivé de nombreuses heures dont une nuit et a été retrouvée ( récit dans V&V)