Enquête: intégration de la technologie hydrogène dans la plaisance

Bonjour,
Merci pour votre retour, je prends note de vos commentaires.

L’hydrogène est une tarte à la crème comme les carburants synthétiques

Production très polluante sauf exception rarissime comme à Ajaccio, du cote des sanguinaires, Projet Myrte, extraction à partir de l'eau de mer par électricité solaire. Ingénierie par CEA LITEN (CEA Volet vert)

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Éventuellement sur industriel site stable protégé

Transport et recharge tres dangereuse demandant des précautions extrêmes

J'ai roulé à Chicago dans des bus Ballard, il avait fallu construite une zone spéciale dans le hangar avec un cheminée aspirante

grosse pression influenceurs payés par les pétroliers qui espèrent garder un réseau de distribution

ABSOLUMENT AUCUN AVENIR EN PLAISANCE

Bonjour,

C'est vrai que j'aurai pu être plus précis sur ce point-là mais j'avais peur de perdre un peu mon public en parlant de différents types d'hydrogène... Merci pour votre retour en tout cas !

Bonjour,
Merci pour votre aide ! ;)

pas d'accord comme je l'explique seuls les rêveurs ou les influenceurs rémunérés peuvent imaginer une seconde une utilisation individuelle, automobile ou plaisancier d'un gaz aussi dangereux

la solution pour un bon moment encore est celle des batteries déjà performantes et qui vont tres rapidement devenir beaucoup plus performantes, horizon 2030

d'ailleurs la propulsion Electrique est proposée par plusieurs chantiers et certains individuels ont franchi le pas

L'utilisation de l'hydrogène pur est une absurdité à peu prêt partout, et donc pour la plaisance, c'est catastrophiquement crétin :

l'hydrogène est déjà indispensable pour l'industrie (besoins incompressibles), et on ne pourra jamais fournir assez d'hydrogène vert pour satisfaire les besoins de l'industrie. Donc, l'hydrogène vert disponible pour la plaisance n'existe pas, et n'existera jamais.

L'hydrogène actuellement distribué est un sous produit du pétrole : en clair, c'est du pétrole ou du gaz. Le bilan carbone est pire que pour du diesel.

L'hydrogène est incroyablement dangereux !!! A choisir entre de l'hydrogène ou du plutonium à bord, je préfère le plutonium. L'hydrogène est naturellement extrêmement difficile à contenir, et ses fuites sont très difficiles à détecter. Avoir ca à bord, c'est complètement con.

Pour faire simple, si vous remplacez l'hydrogène par du GNL, ca serait à la fois moins polluant, moins dangereux, bien plus abouti techniquement, et moins cher. Ca ne viendrait à l'idée de personne ne faire un bateau au GNL.

Toute cette idée de filière hydrogène est une totale lubie qui vient uniquement du politique et des lobbies, mais absolument pas d'une quelconque réalité industrielle et technologique.
La seule chose qu'il y a récupérer dans le domaine, ce sont des subventions. Perso, je trouve cela immoral, mais au moins, c'est la seule chose qui fonctionne.

En tous cas, le marché boursier ne semble pas trop croire à la viabilité financière du combustible.
Voir pour exemple le cours de l’action de la société HRS

Votre questionnaire est bien structuré et couvre de manière pertinente les différents facteurs influençant l’acceptabilité de la propulsion hydrogène dans le nautisme. La logique des questions est claire, les dimensions économique, technologique et environnementale sont bien articulées, et l’accent mis sur les incitations publiques est particulièrement bienvenu.

Cependant, une piste d’approfondissement consisterait à dépasser la seule réduction des émissions de gaz à effet de serre, pour élargir la réflexion environnementale aux impacts sur la biodiversité marine. En effet, les technologies de propulsion peuvent également affecter la faune sous-marine, notamment en termes de bruit, de perturbation des habitats ou de risques liés aux polluants.

Dans ce cadre, il serait intéressant d’introduire une question ouverte permettant de sonder la sensibilité des plaisanciers à la protection de la faune, en particulier des espèces emblématiques ou menacées comme les requins, dont le rôle dans l’écosystème est souvent méconnu mais crucial.

Par exemple :
"Selon vous, la propulsion hydrogène pourrait-elle contribuer à limiter les nuisances subies par la faune marine (notamment les requins ou les cétacés) ? Pourquoi ?"
Cela permettrait d’enrichir votre analyse en intégrant une dimension écosystémique, souvent absente des enquêtes sur la transition énergétique mais de plus en plus centrale dans les politiques maritimes durables.